Lire la première et la seconde partie.
Les origines de l’islam : loin des falsifications historiques
L’histoire officielle de l’islam des origines ressemble à une intrigue d’Agatha Christie où le crime, parfait en apparence, masque les éléments d’un puzzle qu’il suffit de rassembler pour mettre en lumière la vérité. Le doute s’est glissé dans l’esprit des historiens modernes à partir du moment où ils se sont rendus compte que les récits des auteurs musulmans tardifs contenaient une foule de détails que les premiers auteurs ignoraient. Là où Ibn Ishaq (mort en 768) ne fait que mentionner une des nombreuses razzias de Mahomet, Al Waqidi (mort en 823) donnera, cinquante ans plus tard, la date exacte de la razzia, l’endroit où elle a eu lieu, les personnes impliquées, les raisons pour lesquelles Mahomet l’a ordonnée, le butin récolté et d’autres informations qu’Ibn Ishaq, pourtant moins éloigné des événements, ignore totalement. Il est difficile dans un tel cas de prendre ces informations pour de l’argent comptant, mais il y a plus : si les faussetés se sont accumulées à une cadence aussi vertigineuse au cours des deux générations séparant Ibn Ishaq d’Al Waqidi, il n’est pas illégitime de conclure qu’elles se sont multipliées encore plus vite au cours des quatre générations qui séparent Mahomet d’Ibn Ishaq. C’est pourquoi l’histoire officielle de Mahomet et de ses successeurs immédiats doit être abordée avec une bonne dose de scepticisme.
Les témoignages archéologiques
Ils contredisent l’histoire officielle telle qu’elle est enseignée au point de remettre en question tout ce qui est dit et répété au sujet de Mahomet et du coran. En effet, il est généralement admis que Mahomet, à la deuxième année de l’Hégire (sa fuite présumée de La Mecque vers Médine), vers 624, a ordonné à ses fidèles médinois de ne plus se tourner vers Jérusalem (située au Nord) pour prier mais vers la Mecque (située au Sud), et cela est clairement établi dans la seconde sourate du coran.
Or toutes les mosquées construites dans les pays conquis au cours des décennies suivantes sont orientées vers Jérusalem. Celle de Wasit, de Kufa en Irak et d’une troisième proche de Bagdad, mais également celle de Fostat, proche du Caire en Égypte, il en va de même pour les lieux de prière attenants aux palais des califes omeyades. Or toutes ces mosquées ont été construites plus de cinquante ans après la mort de Mahomet, leurs bâtisseurs musulmans n’étaient pas supposés ignorer l’injonction coranique leur ordonnant d’orienter les édifices en direction de la Mecque. Ceci est corroboré par un voyageur chrétien du nom de Jacob d’Édesse, dans sa lettre écrite en langue syriaque en 705 et conservée au British Museum. Il fait référence aux Hagariens (les conquérants arabes) en affirmant ceci : « Il est clair que ce n’est pas vers le Sud que les Juifs et les Hagariens vivant en Syrie se tournent pour prier mais en direction de Jérusalem, là ou se trouve leur Kaaba, le site patriarcal de leur race ». La conclusion qu’il est possible de tirer de ces faits est que la prière en direction de la Mecque n’a jamais été ordonnée par Mahomet et qu’il s’agit d’un commandement émanant des califes abbassides. La signification de ce fait est majeure comme on le verra plus tard. Le terme islam et musulman n’existait pas encore et les conquérants arabes étaient appelés Hagariens. Cette appellation exige une explication. Les Arabes se considéraient comme les descendants d’Abraham par Ismaël, le fils qu’il a eu de Hagar l’esclave égyptienne de son épouse Sarah, d’où l’appellation hagarien qui les attribue à Hagar, quand à l’appellation ismaélite elle les attribue à son fils Ismaël. Les Arabes comme les juifs se réclamaient d’Abraham et il était donc dans l’ordre des choses qu’ils prient en direction de Jérusalem.
Les témoignages épigraphiques 
Il s’agit d’inscriptions et de
« graffitis » retrouvés en grand nombre sur les parois rocheuses du désert au Néguev et en Jordanie. Ils ont été relevés méthodiquement et étudiés par Yehuda Nevo de l’Université de Jérusalem. Dans son ouvrage
«Vers une préhistoire de l’islam », il démontre que les inscriptions à caractère religieux datant du septième siècle affichent une croyance monothéiste qui à l’évidence ne correspond pas à l’islam mais de laquelle l’islam aurait pu se développer. Aucune mention de Mahomet et absence totale de formules du type « Mahomet est l’envoyé d’Allah » et ce, jusqu’à la fin du septième siècle. Nevo explique :
«Ce n’est qu’après l’an 700 que le contenu religieux des inscriptions rocheuses devient plus évident, cependant malgré leur caractère religieux, ces inscriptions ne font pas mention du prophète Mahomet ni de son message. La profession de foi des Arabes était clairement monothéiste, elle s’apparentait à un courant sectaire judéo-chrétien dont les traits particuliers le distinguaient nettement des autres religions monothéistes incluant l’islam. Les formules mahométanes ne sont apparues que vers 740 mais elles ne contiennent aucun autre élément les rattachant à l’islam. Ce n’est qu’autour de 820 que les inscriptions rocheuses acquièrent un caractère clairement islamique coïncidant avec l’apparition des premiers corans et la diffusion des hadiths. »
La première mention de « Mahomet est l’envoyé d’Allah » n’est pas gravée sur un rocher du désert mais se trouve sur une pièce de monnaie syrienne datant de 690. Une triple profession de foi : « Allah est le seul dieu, Mahomet est son prophète et Mahomet est son esclave » se trouve à Jérusalem. En d’autres termes, la doctrine de base de l’islam n’origine pas d’Arabie mais des pays conquis. Laissons le dernier mot à Nevo :
« Nous possédons un corpus impressionnant d’inscriptions arabes précédant l’apparition des écritures islamiques, tous ces éléments contredisent le coran et les hadiths.»
Les témoignages documentaires
Au cinquième siècle, un chroniqueur chrétien du nom de Sozomenus a remarqué la présence chez les ismaéliens (les Arabes) d’une croyance monothéiste primitive identique à celle des hébreux du temps de Moïse et qui aurait subi l’influence du paganisme ambiant. Les tribus arabes, au contact des juifs, avaient pris conscience de leurs origines; juifs et arabes se réclamaient alors d’un ancêtre commun : Abraham. Selon un chroniqueur arménien écrivant en 660, un prophète est apparu chez les ismaéliens (les Arabes) ; il avait fondé une communauté qui rassemblait des ismaéliens et des Juifs unis par leur ascendance commune (Abraham). Ce prophète proclamait la venue d’un messie ayant pour mission de libérer Jérusalem et la restituer aux descendants d’Abraham (Juifs et Arabes). Plus loin, le chroniqueur parle des dangers qui menacent ceux qui tombent entre leurs mains. Enfin, il évoque la rupture survenue entre Juifs et Arabes après la conquête de Jérusalem. D’autres sources, grecques et syriaques, confirment les mêmes informations. À la lecture on reste sur l’impression que la carrière de Mahomet n’a pas eu pour théâtre l’Arabie, aucune mention n’est faite de la Mecque, les conquérants arabes priaient en direction de Jérusalem. Juifs et Arabes s’étaient unis pour reconquérir la ville sainte. La source grecque la plus ancienne prétend que Mahomet était en vie en 634, soit deux ans après sa mort telle qu’elle est datée par la tradition islamique. Aucune mention n’est faite d’écriture sacrée avant la fin du septième siècle. Un document arabe du huitième siècle connu sous l’appellation « al Fiqh al Akbar » (la grande jurisprudence) dresse un parallèle comparatif entre l’islam et les autres religions, cet ouvrage ne fait aucune mention du coran. Si le coran existait, il aurait été impensable de ne pas s’y référer.
Le puzzle des origines de l’islam
Tout porte à croire que l’islam tel que nous le connaissons n’existait pas du temps de Mahomet et de ses successeurs immédiats. L’affirmation selon laquelle tous les éléments de la doctrine ont été définitivement établis par Mahomet ne s’appuie sur aucune preuve tangible, elle est de surcroît contredite par les données archéologiques, épigraphiques et documentaires. L’islam a été lentement élaboré au cours du siècle qui a suivi l’avènement des califes abbassides plus de cent cinquante ans après la mort de Mahomet, c’est durant cette époque que l’édition du coran a été réalisée et que le corpus des hadiths a vu le jour. C’est aussi durant cette période que la loi islamique a été promulguée et que l’histoire officielle de l’islam a été établie. Mahomet a très probablement existé mais les gestes et les paroles qui lui sont prêtés ne reposent sur aucune évidence historique. Ils ont été consignés par écrit plus de cent ans après sa mort à une époque où les luttes pour le pouvoir et les querelles dogmatiques ont amené les califes à se constituer une religion sur mesure propre à consolider leur pouvoir et à éliminer la dissidence et l’opposition.

Le portrait que fait de Mahomet l’histoire officielle de l’islam est extrêmement négatif si l’on tient compte des normes éthiques de son temps. Même s’il est difficile voire impossible dans ce cas précis de distinguer les éléments historiques de la fiction, il n’en demeure pas moins que la personnalité de Mahomet, telle qu’elle nous est présentée, s’inscrit parfaitement dans l’idéologie islamique pour laquelle elle constitue le pilier central. L’idéologie religieuse conçue pour soutenir l’arbitraire des califes et imposer à leurs sujets la soumission ne pouvait avoir pour fondateur un prophète pacifique et humble, voilà pourquoi les califes se sont donné un prophète à leur image. Il est peu probable que Mahomet soit l’auteur ou l’inspirateur principal du coran, cet écrit a de multiples sources, la bible, le talmud, la littérature rabbinique, les évangiles apocryphes, les textes hérétiques chrétiens, les textes de la liturgie syriaque, les contes et les légendes grecques et syriennes, les récits mythologiques zoroastriens, les légendes arabes, la poésie arabe préislamique etc. D’autre part les versets haineux et intolérants, les menaces de l’enfer, les appels au meurtre des incroyants, les dispositions légales et les châtiments barbares peuvent être attribués, du moins en partie, à Hajjaj ibn Yousuf gouverneur de l’Irak sous le règne du calife omeyade Abd-el-Malik. Les premiers conquérants arabes n’étaient pas des musulmans dans le vrai sens du terme, ils professaient une croyance très proche du judaïsme et s’étaient même alliés avec les juifs. Leur objectif initial était d’ordre messianique soit la restitution par la force de la terre promise à Abraham. Ces conquérants ne venaient pas du centre de l’Arabie mais de territoires limitrophes de la Palestine et de la Syrie , ils n’étaient donc pas originaires de La Mecque. Les arabes monothéistes, après la conquête de la Palestine, se sont empressés de rompre leur alliance avec les juifs et se sont retournés contre eux. Soit par nécessité ou par « nationalisme » ils se sont alliés avec les tribus païennes du Nord et du centre de l’Arabie pour constituer les armées qui devaient conquérir une grande partie du monde civilisé. À cause de ce changement d’alliance les arabes monothéistes ont dû intégrer dans leurs pratiques religieuses des rites païens, les mêmes qui sont encore pratiqués dans le pèlerinage musulman, le Hajj. Certains indices portent à croire que les conquêtes arabes au-delà de la Palestine auraient eu lieu même sans l’islam à cause du caractère belliqueux des tribus arabes, de l’organisation guerrière qu’elles se sont donnée, du caractère pacifique des pays à conquérir et de leurs immenses richesses source de convoitise. La facilité et la rapidité avec lesquelles les arabes ont réalisé leurs conquêtes les ont conforté dans l’idée que la divinité était de leur côté et que leur système de croyance était supérieur. Pour les conquérants arabes, Jérusalem est demeurée la ville sainte durant au moins une centaine d’années, par la suite le sentiment d’appartenir à une nation supérieure les a conduits à élever La Mecque au rang de ville sainte afin de supplanter Jérusalem et consacrer sur le plan religieux la domination des arabes. L’impérialisme arabe a préexisté à l’islam, sans lui l’islam n’aurait jamais vu le jour. En tant qu’idéologie l’islam a été établi après coup pour servir d’assise religieuse au fait accompli et consolider le pouvoir des califes. Le coran, la sunna du prophète et le corpus des lois islamiques sont le produit de l’époque qui les a mis au monde, ils appartiennent à un moment historique précis et n’ont pour raison d’être que le perpétuer.
Les musulmans prisonniers du mythe
L’histoire officielle de l’islam des origines est une falsification de l’histoire mais c’est une falsification sacralisée, c’est un mensonge érigé en dogme. Les crimes de l’impérialisme islamique sont les seuls à être vénérés de nos jours et à servir d’exemples à suivre pour tous les musulmans. Le coran, la sunna du prophète et la charia ne peuvent se dégager du neuvième siècle qui les a sécrétés ; prisonniers de leur époque ils sont également pour l’esprit des musulmans une prison dont il est difficile pour ces derniers de se libérer.
je suis toujours sceptique sur la légitimité que se donnent les Arabes d’etre des descendants d’Ismaël. Pourquoi? parce que Agar la servante n’était pas arabe mais égyptienne, ce qui est assez différent. L’arabisation de l’Egypte a faussé les perspectives, et c’est encore une captation qui arrange l’histoire. Ce seont les Arabes qui ont revendiqué cete filiation, tout en omettant de reconnaître finalement – après quelques hésitations – que l’enfant du sacrifice était Isaac, remplacé par Ismaël pour la cause.
Bien évidemment qu’ils ne sont pas les descendants d’Ismaël, Hagar n’est même pas mentionnée dans le Coran….à propos de sacrifices d’animaux, déjà à l’époque les arabes sacrifiaient des chameaux ou autres animaux devant la Kaaba…(ou les Kaaba, paraît il qu’il y en avait plusieurs)….ils se revendiquent bien aujourd’hui du « Caveau des Patriarches » et du « Tombeau de Joseph » (qu’ils ont à plusieurs reprises profané et détruit, au passage)….ils n’en sont pas à leurs premières coraneries et mensonges !!! Ce sont des pillards à tous les niveaux…
CET article tend à dire que Jérusalem est cité dans le coran CE QUI EST SCANDALEUX!!!!
JERUSALEM n’est pas cité dans le Coran UNE SEULE FOIS. Ils n’ont aucun droit sur cette ville, même pas sur 1 cm²
A aucun moment l’article ne dit cela………
Tout le monde sait très bien que le Coran ne cite pas une fois Jérusalem, faut arrêter de voir le mal là où il ne l’est pas, et surtout dans un article qui a pour vocation, justement, de démonter les mensonges sur lequel l’islam s’est construit…
NE ME PRENEZ PAS DE HAUT SVP JE SAIS LIRE
je cite le texte:
» En effet, il est généralement admis que Mahomet, à la deuxième année de l’Hégire (sa fuite présumée de La Mecque vers Médine), vers 624, a ordonné à ses fidèles médinois de ne plus se tourner vers Jérusalem (située au Nord) pour prier mais vers la Mecque (située au Sud), et cela est clairement établi dans la seconde sourate du coran »
Si un texte dit que Mahommet demande aux juifs de ne plus prier vers un endroit c’est bien qu’il cite cet endroit
Non, et cela vous aurait pris 2 secondes de retrouver ladite sourate et de vérifier par vous même…..
C’est dans les haddith qu’il est « précisé » que c’est de Jérusalem que parle ladite sourate :
Maintenant, il serait peut être temps de cesser de se croire pris de haut et de baisser un peu le niveau d’agressivité…
@Gally
j’avais pris la peine de vérifier puisque j’ai un coran at home. Je l’ai lu en long, en large et en travers Ceci veut donc bien dire qu’il y a une erreur dans l’article puisqu’il ne parle que du coran et cette erreur on ne peut la laisser passer. C’est tout ce que j’ai voulu dire.
Je vous présente mes excuses
« je suis toujours sceptique sur la légitimité que se donnent les Arabes d’etre des descendants d’Ismaël. Pourquoi? parce que Agar la servante n’était pas arabe mais égyptienne, ce qui est assez différent. »
Hagar est la matriarche des arabes qui ne sont jamais cités dans la bible avant l’apparition de la lignée ismaélite.
Une recherche avec le code strong n°6163 « Arabiy » démontre que ce terme n’est employé que par Jérémie Néhémie et Esaïe
Résumé autrement on peut dire que les arabes/ismaélites sont un croisement entre le sémite Abraham et la shamite Hagar.
ce que vous dites a propos de la falsification du coran 15 % de musulman serait d’accord avec vous ce sont les chiites !
Ils ne valent pas mieux, niveau sauvagerie, perversion sexuelle et volonté de dominer le kouffar par tous les moyens…
Forcément , puisque leur référence commune est le CORAN , qui selon tous les musulmans , est la parole d’ Allah .
il ne valent pas mieux mais ils sont beaucoup plus rationnelle que les sunnites car eux ils réfléchissent avant d’agir regardez la différence entre Nasrallah et Benladen. Nasrallah et beaucoup plus rationelle que Ben Laden dasn ces actes
Oui, vachement rationnel de penser qu’en détruisant Jérusalem ils feront revenir l’imam caché et ressusciterons tous………
Évitez de parler de sujets que vous ne maîtrisez visiblement absolument pas, le chiisme duodécimain est encore plus allumé (si si, c’est possible) que l’Islam sunnite, vu que lui s’imagine pouvoir déclencher par une apocalypse nucléaire la fin des temps.
Nasrallah lorsqu’il parle de Jérusalem en réalité il s’en fous c’est du bla-bla pour s’attirer les bonnes grâce des arabe naïf ensuite le chiites plus allumé que les sunnites. Ceux ne sont pas ces dernier qui se font sauté dans les marchée au pakistan ? qui commet des attentats au Nigéria contre les chrétien ? t’as déjà entendu parler d’un attentat commis par un chiite au milieux d’un place pour tuer des infidèle toi ?
Oui, tous les jours en Irak.
Garde ton baratin pour les ignorants, mais évite ici, c’est perdu d’avance. On connait entre autres tous le coup des « clés du paradis » en bois que distribuaient les chiites aux enfants qu’ils envoyaient « déminer » les champs de mine lors de la guerre Iran / Irak…
Ah ça, pour être allumés, ils le sont….ça ne fait aucun doute…
Voilà un spécimen…AU FOU !!!!!!!
http://www.youtube.com/watch?v=5qlt1CsrTec
Gally. Désolé mais en Irak les attentats suicides sont le fait des sunnites. Les Américains disaient d’ailleurs que les sunnites étaient comme des loups envers les chiites (autrement dit beaucoup plus agressifs). Cela dit je me souviens des attentats à Paris en 86 et notamment celui devant chez Tati. Ce ne sont pas des gentils mais le choléra par rapport à la peste.
Les chiites n’ont malheureusement que peu de leçons à recevoir de qui que ce soit niveau terrorisme. Pour ceux qui en doute, regarder le dernier cas en Bulgarie.
Et il ne me semble pas qu’ils se dispensent à l’occasion de l’attentat suicide, même si leur prédilection va plus à la voiture piégée 😉
J’ai juste dit que les chiites étaient un peu moins pires que les sunnites comme le choléra qui est un peu moins pire et moins meurtrier que la peste. Je n’ai jamais dit que c’était une bonne idée d’attraper le choléra.
Je suppose que vous connaissez le livre de Bernard Raquin…
Mahomet, un Juif….ha ha ha…
http://coranix.org/biblio/raquin.htm
Tout en bas de la page….ses recherches et sa quête personnelle sur les origines de l’islam…
Sommaire :
Chapitre 1 : Adieu à une femme aimée, page 9
Chapitre 2 : Comment fabriquer une religion, page 25
Chapitre 3 : Jésus réinterprété par le Coran, page 47
Chapitre 4 : Comment des hérétiques inventèrent l’islam, page 61
La théologie rétrospective, page 64
L’origine d’Allah, page 71
La descente aux enfers : un mythe ancestral, page 72
Le paradis coranique, page 73
La chute du diable dans le Coran, page 76
La chute d’Allah, page 78
Les califes sont les guerriers et non les rabbins, page 80
Chapitre 5 : Reconquérir Jérusalem ! page 83
Reconstruisons le Temple ! page 89
Les mahométans se tournent vers Israël, page 91
Chapitre 6 : Violence divine ou humaine ? page 97
Le sacrifice, page 106
L’esclavage, page 110
Théologie ou superstition ? page 111
La haine de la femme, page 116
Chapitre 7 : Qui a écrit le Coran ? page 125
Chronologie, page 125
Le contexte religieux au 7ème siècle, page 127
Les différents rédacteurs des sourates, page 130
La fiction de l’illettrisme, page 141
Comment fabriquer des sourates, page 147
Pourquoi la langue arabe n’existait pas, page 151
Comment le Coran a-t-il été rédigé ? page 153
Le Coran est-il autre chose qu’une compilation ? page 157
Les superstitions du Coran, page 164
Inimitabilité du Coran ? page 170
Quelques extraits du vrai Coran, page 176
Chapitre 8 : La légende de Mahomet, page 179
Théologie de Gabriel ou élaboration laborieuse ? page 185
La grotte, page 190
La légende des Sept Dormants, page 194
Le voyage céleste de Mahomet, page 195
La légende de La Mecque, page 198
La légende de Médine, page 200
La bataille du Fossé, page 203
La charte de Médine, page 208
L’aggravation de la fiction, page 215
Toutes les religions sont polythéistes, page 223
Aucune trace de Mahomet… page 225
Comment le nom « Mahomet » a été inventé, page 231
Abou Bakr décrète la mort de Mahomet, page 232
Chapitre 9 : La Grande Déesse de la Kaaba, page 237
Le pèlerinage, page 240
Chapitre 10 : Pour que cessent les holocaustes, page 249
Du pardon, page 251
Nostalgie, page 253
Faisons un rêve, page 254
Fatwa, page 257
Annexe 1 : Les livres utilisés pour écrire le Coran, page 261
Annexe 2 : Les rédacteurs du Coran, page 262
Annexe 3 : Comment a été fabriqué le Coran, page 264
Bibliographie, page 267
je voudrais acheter ce livre, mais je ne trouve aucun site pour le commander. pouvez vous m`indiquer ou le commander , merci pour le renseignement.
http://www.amazon.fr/Un-Juif-nomm%C3%A9-Mahomet-monoth%C3%A9ismes/dp/2952370303
….même sur amazon il est indisponible !!!…si vous avez un scoop, merci de m’en informer également !!!
bonne journée
je pense avoir trouvé pour le commander :
http://www.bernard-raquin.fr/spiritualite/table-Mhmt.html
Un musulman sunnite qui « tape » sur les chiites…à mon avis, ce doit être un chaoui qui a fait la vidéo….ti bouffe ou ti bouffe pas, ti crêve quand même !!! LOL
http://www.youtube.com/watch?v=LCVFN6PO7iQ&NR=1&feature=endscreen
Tous plus barbares les uns que les autres !
Monsieur Pierre le terme prêtres ne s’applique pas pour des imams.
Pour être précis c’est le terme utilisé par le traducteur. Je ne parle pas le turc et je pense que vous non plus donc nous ne savons pas.
Comme tous les Turcs du temps de l’empire Mustafa Kemal avait initialement un nom à l’arabe c’est à a dire Mustafa bin (fils de ) suivi du prénom du père. Plus tard son prof de maths le surnomma Kamal (perfection) car il avait toujours 10/10. Quand il devint chef d’Etat il abolit les noms à l’arabe et les remplaça par un système à l’occidentale. Pour son propre nom il choisit non pas Kamal mais un nom à la sonorité proche: Kemal (Forteresse).
Ataturk (père des Turcs) est juste un surnom.
merci JFM pour avoir exprimé ce que je voulait dire un peu plus haut concernant sunnites/chiites 🙂
Jésus(psl) est aussi considéré comme un mythe par l’Histoire. De nombreux historiens mettent en parallèle Jésus(psl) avec Mithra la divinité païenne de Rome avant l’avènement du Christianisme.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Mythras
J’espere qu’aprés cela nous allons debattre dans le respect,comme nos ancetre le faisait au dixieme siecle deja,chretien et musulman debatté mais les chretiens n’ont jamais pu avoir le dernier mot.Aujourdhui encore c’est le cas.
Cela fait 200 ans au moins que beaucoup essaient de démonter et réfuter l’histoire de Jésus, en toute liberté et avec beaucoup de moyens, et aucun historien sérieux ne vous rejoindra. Un mythe? même Michel Onfray n’arrive pas à être crédible.
Saint Louis IX et le coran : « Je n’y ai vu qu’ordures et impuretés »
Le 25 08 2014 Avec 25 Commentaires
Le site de France Catholique a publié hier un magnifique article du Père Daniel-Ange, intitulé « Louis de France, les djihadistes du Levant et les idéologues d’Occident ». Je ne saurais trop vous en recommander la lecture complète (voyez au lien source ci-dessous). Le Père Daniel-Ange signale le dialogue rapporté par Joinville, entre le saint roi et l’émir Fakhr-ad-Din Yusuf, dont le roi était le prisonnier après avoir perdu la bataille de Fariskur (6 avril 1250), en Égypte, lors de la septième croisade. En voici le passage qui traite du coran.
« Ce que veut ce Roi missionnaire, en finale, c’est la Gloire du Ciel, la Gloire du Royaume éternel, la propre Gloire du Ressuscité, non seulement pour ce Sultan [émir Fakhr-ad-Din Yusuf], mais pour touts les musulmans du monde. Le sultan alors de rebondir sur ce mot et d’évoquer le ciel selon le Coran : “Nous espérons, en suivant la loi du très bénin Mahomet arriver à jouir des plus grands délices dans l’avenir”. (…) Et le Roi de répliquer, droit dans le mille : “Je ne puis assez m’étonner que vous, qui êtes des hommes discrets et circonspects (il discerne le meilleur en eux), vous ajoutiez foi à cet enchanteur Mahomet qui commande et promet tant de choses déshonnêtes”. Et se référant, non à l’Évangile, mais au simple bon sens humain, d’ajouter : “En effet, j’ai regardé et examiné son Alcoran et je n’y ai vu qu’ordures et impuretés, tandis que d’après les sages anciens, voire même les païens, l’honnêteté est le souverain bien dans cette vie”. Quel amour de la Vérité ! Quelle audace ! Quels risques encourus, puisque le sultan d’un seul geste peut le faire décapiter d’un seul coup de sabre. »
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