Publié par Gilles William Goldnadel le 21 septembre 2014

225318_565275730159013_110304293_n

J’en veux à Joséphine, cette militante socialiste anonyme qui vient de commettre un assassinat littéraire contre son propre camp.

Celle-ci a publié « La bêtise de gauche* » que j’avais promis à un éditeur d’écrire à la fin de l’année. Tant pis pour moi. Tant mieux pour nous.

Voilà des mois que je recommande ici même de railler la gauche plutôt que l’insulter. Qu’après avoir dynamité sa moralité avec les explosifs de ses impostures journalières, il fallait la viser à la tête.

Ses anciens camarades, autrefois si superbes, rasent à présent les murs

Joséphine l’a fait. À l’en croire, ses anciens camarades, autrefois si superbes, rasent à présent les murs.

Il fut un temps où pour briller dans les salons, ou conquérir une femme, il convenait de porter à gauche, la tête comme le cœur. C’était il y a beau temps. D’avant Léonarda et dame Taubira. Aujourd’hui, je ne recommanderais pas à un jeune Rastignac, à un Don Juan en herbe, le même port de tête.

Cet article vous a intéressé ? Inscrivez-vous à notre newsletter pour recevoir les nouveaux articles de Dreuz, une fois
par jour en fin d’après-midi.

Chaque semaine, nous livre sur un plateau, un bel échantillon de la bêtise de gauche.

Regardez voir un peu ce préfet qui s’oblige à reloger dans le parc immobilier réservé, nonobstant un arrêt de la cour d’appel de Versailles prononçant l’expulsion de son logement HLM, une famille ayant abrité les trafics de drogue d’enfants condamnés en justice. Quant à l’expulsion, toutes assurances ont été données que l’État restera l’arme au pied.

Il faut dire que l’extrême gauche de Boulogne a pétitionné pour arriver à ce déni de justice et d’autorité étatique.

Pendant ce temps, des familles honnêtes, éligibles aux logements sociaux repasseront.

Un jour, pour me venger de Joséphine, j’écrirai un livre sur la bêtise de gauche contaminant la droite.

Comme cette Aurore B, soi-disant « bébé Sarko », crachant à la télé sur Valeurs actuelles en présence d’une ministre de l’Education nationale extatique. Il faudra un jour lui apprendre que le mot “ayatollah” n’est pas arabe, mais perse.

Rien de plus bête que la droite, lorsqu’elle singe la gauche.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Gilles-William Goldnadel. Publié avec l’aimable autorisation de Valeurs actuelles.

* En achetant le livre avec ce lien, vous bénéficiez d’une remise de 5*, et vous soutenez Dreuz qui reçoit une commission de 5%.

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous