L’Algérie enregistre un taux moyen de productivité de moins de 0,2%. Une moyenne très en deçà des normes qui est de 4 à 5%, selon l’expert international Abdelmalek Serraï cité par la journaliste Salima Akkouche dans Le Soir d’Algérie (lien vers l’article).
“L’Algérien serait très fainéant et ne travaille pas suffisamment. A moins de 0,2%, le taux moyen de la productivité en Algérie est très faible, voire nul”, écrit la journaliste.
Selon Abdelmalek Serraï, qui a donné les chiffres de la productivité en marge d’une conférence de presse au siège de l’UGCAA (Union générale des commerçants et artisans algériens) “la rentabilité du travailleur algérien est catastrophique, pourtant, souligne M. Serraï, deux Algériens sur trois trouvent généralement du travail.”.
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«Le travailleur doit au moins bosser 173 heures par mois pour garantir une rentabilité», a déclaré Serraï, seulement voilà, “nous sommes … loin de la norme voulue”.
«Le plus grave, ajoute Serraï, c’est que nous souffrons toujours des séquelles des années 1986 et 1988 où nous avons trop dépensé et le taux de croissance était trop faible».
Abdelmalek Serraï: La production moyenne du travail entre les années 84 et 88 était de moins de 2,3% contre un capital positif de 0,3%. C’est très grave, car si le taux de production du travailleur est négatif alors que l’injection du capital est importante, c’est qu’il y a un problème quelque part.
Abdelmalek Serraï: mais l’Algérie a enregistré, entre les années 2000 à 2013, 0,8% de taux de productivité et une moyenne générale du capital de 0,4%.
La vraie question est de se demander si les Algériens qui travaillent en France sont aussi fainéants. Et ça, en France, on ne peut pas le demander – ça stigmatise.
En fait, en France, on ne peut plus rien demander : demander stigmatise !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hervé Roubaix pour Dreuz.info.
en France ils font beaucoup d’enfants et ainsi ils profitent des allocations familiale de la sécu de la Cmu du Rsa , des HLM etc…bien avant les Français :reallyangry:
Il y a une vingtaine d’années, une Tunisienne m’a déclaré :
“les Marocains travaillent dans l’agriculture en France, nous et les Algériens NOUS SOMMES TROP FIERS POUR CELA… ”
ils viennent en effet pour se faire entretenir….. par nous, par nos grand’mères retraitées qui ont commencé à payer des impôts en 2013…. pour ces fainéants….
Et dire qu’ils ont voulu leur liberté………………. Pour suivre les Pieds-noirs qu’ils détestaient…………….
Et vive le FLN et les porteurs de valises socialo-communistes.
Comment Asher Cohen et Caroline vont-ils réécrire cette partie de l’histoire ?
Ben oui, Jacqueline, ils travaillent dur pour la France, ces bébés sont cette fameuse Chonce pour la France !!!
Nos dirigeants comptent bien nous remplacer par cette “chonce” , il y en a bien un qui sortira gouverneur du Califat !!!
Et la France entière aura gagné le paradis ! c’est-il pas beau ?
D`accord maryse. !!
Ils ont peut-être pris en France leurs habitudes de paresse, vu que chez nous on rase gratis !
Mr Roubaix, votre article rebondi sur ce que j’ai écrit hier sous votre précédent article sur Dreuz, http://www.dreuz.info/2014/10/lomerta-sur-les-forces-vives-qui-quittent-la-france/#comment-373178, concernant ces Juifs d’AFN venus se planquer en France dans des sinécures, parce qu’ils ne voulaient pas fournir l’effort et le travail que demandait la vie en Israël. Je pense que la Colonisation et les exclusions sociales qu’elle a produites a joué une grande part dans cette paresse.
Asher Cohen …
Arrête ! Tu sais très bien que l’Algérie a été créée par la France. Seuls des nomades, des pirates et des esclavagistes se trouvaient sur cette terre qui ne s’appelait pas encore Algérie.
Alors tes conneries concernant la soi-disant colonisation qui a rendu fainéants les juifs et les arabes, du vent ! A force, tu n’es plus rigolo !!!
En France, les algériens sont pour près de 90%: Soit au chômage, soit dans la rue pour casser les magasins et bruler les voitures, soit en prison ! Les 10% restants sont des personnes âgées et des femmes avec leurS bébéS qui ne travaillent pas. Je ne dois pas beaucoup me tromper !
Quand aux algériens en Algérie, nous savons parfaitement qu’ils ne foutent rien et cela se voit sur les photos récentes, la grande majorité des magasins comportent toujours leur nom en français et sont fermés.
Où sont les entreprises et usines algériennes ? Où trouve-t-on les fruits et légumes algériens ? Ils ont le gaz et le pétrole trouvés par la France mais que produisent-ils avec l’argent que ça leur rapporte ?
Si c’était risible, je me tordrais de rire !!!
René Caillié vers 1828 avait lors de son voyage
observé que les maures ou les arabes se divisaient
en 5 catégories :
les hassanes, les zénagues, les marabouts, les laratines et les esclaves.
Les noms donnés ici à ces catégories varient selon
les régions et les époques, mais l’organisation globale de la politique et de l’économie RESTE, dans tous les pays musulmans, même aujourd’hui ..
Les esclaves ont eux, par contre, presque entièrement disparu, quoiqu’on observe un certain retour vers les modèles économiques et sociaux de l’époque mahométane, d’avant ou d’après..
Rien n’a été effacé chez les musulmans !
Les hassanes
Ce sont des guerriers. Ce sont eux qui font la guerre : leurs armées se composent d’eux et de leurs esclaves.
Ce sont toujours les hassanes qui font des descentes pour piller et faire des esclaves, rarement les zénagues les accompagnent, sauf par l’appât du pillage..
Ils sont hautains et fiers : ils traitent inhumainement leurs malheureux tributaires, et les méprisent au point que la plus grande insulte qu’on puisse faire à un hassane, c’est de l’appeler zénague.
Les hassanes sont paresseux, menteurs, voleurs,
gourmands, envieux, superstitieux.
Enfin ils réunissent toutes les mauvaises qualités.
Un hassane qui possède un cheval, un fusil,
se regarde comme le plus heureux des hommes.
Les zénagues
Cette classe, méprisée de toutes les autres,
est harcelée par toutes :
si les marabouts ne les maltraitent pas comme le font les hassanes, ils les menacent des foudres de la religion et du feu éternel ; ainsi le malheureux tributaire,
dans l’espoir d’une autre vie plus heureuse se dépouille pour satisfaire la cupidité de ses insatiables maîtres.
Les zénagues ont de nombreux troupeaux de moutons et de chèvres, qui produisent beaucoup de lait avec lequel il font du beurre, qu’ils vont échanger. On leur permet la possession de quelques esclaves, qu’ils emploient à la culture et à garder leurs troupeaux;
Les femmes zénagues, laborieuses par besoin,
filent et tissent le poil de mouton et de chameau,
pour faire des tentes; ce sont elles aussi qui les cousent. Elles tannent le cuir, font les varrois, en un mot tous les ouvrages, excepté ceux en fer.
Les haddads (ouvriers en fer) sont de cette classe, et peut-être plus malheureux encore que ceux qui se livrent à la culture et au soin des troupeaux. Ils ne peuvent habiter de camp particulier les hassanes les pilleraient;
ils sont obligés, pour se soustraire à leur rapacité, de se tenir dans les camps des marabouts, et de les faire dépositaires de ce qu’ils possèdent.
Les marabouts
Les marabouts sont aussi paresseux que les hassanes;
ils ne font d’autre exercice que d’aller à la mosquée , et leur seule distraction est la lecture du Coran.
Quelquefois ils font la conversation, couchés sur le sable, et s’endorment en causant religion ou politique.
De toutes les classes des Maures, les marabouts sont ceux qui donnent le moins et demandent le plus. Leur qualité de prêtres les faisant considérer comme les dipensateurs de la grâce, on ne les refuse jamais dans la persuasion où sont les autres Maures de gagner le ciel par ces libéralités.
Ce n’est pas seulement aux hassanes qu’ils adressent leurs demandes : ils s’obsèdent aussi entre eux mais c’est sur-tout envers les zénagues.
Ceux des marabouts qui n’ont pas d’esclaves pour travailler,trop paresseux pour se liver eux-mêmes au travail, resteraient sans vêtemens, si les zénagues ne leur fournissaient les moyens d’en acheter;
c’est encore de ces malheureux qu’ils obtiennent
un sac de beurre qu’ils vont vendre.
On pensera peut-être qu’ils savent reconnaître
tant de bienfaits, et apprécier les privations que s’impose le crédule zénague pour les satisfaire :
non, l’ingratitude est encore un de leurs vices;
à peine ont-ils obtenu ce qu’ils desirent,
qu’ils décrient leur bienfaiteur, le maudissent,
et le vouent au feu éternel.
Quelques-uns des plus misérables, qui n’ont aucun moyen d’existence, se fixent dans les camps zénagues
pour instruire les enfants; outre leur nourriture,
ils reçoivent comme paiement des moutons, du beurre, des cuirs tannés , ou de l’étoffe pour faire une tente.
Les marabouts ne sont pas plus susceptibles d’amitié que de reconnaissance.
Les laratines
Les laratines fils de hassanes sont guerriers;
ceux qui sont fils de marabouts reçoivent de l’instruction,
et embrassent la profession de leur père.
Fiers du privilége attaché à leur naissance,
ils sont peu soumis à leurs maîtres;
ce n’est que par la force que ceux-ci peuvent les contraindre
à leur payer la rétribution qui leur est due.
Ils ne possèdent que peu de bestiaux; car, dans la crainte qu’ils s’affranchissent s’ils devenaient riches, on ne leur permet pas d’augmenter leurs troupeaux.
Ce sont eux et les zénagues qui prennent soin des troupeaux
que les hassanes font garder hors de leur camp.
Les esclaves
Les esclaves forment la cinquième classe, ce sont des nègres
ou des captifs. Ils sont chargés de tous les travaux du camp,
du soin des troupeaux, de la provision d’eau et de bois,
et de la culture des champs. Les femmes pilent le mil,
préparent les aliments, servent leurs maîtresses,
abreuvent les veaux, vont chercher de l’eau, et,
chez les marabouts, vont à la récolte.
En voyage, les esclaves portent sur leur tête ce qui
ne peut être chargé sur les animaux.
Ils sont, comme je l’ai déjà dit, mal traités, mal nourris,
et fouettés au moindre caprice du maître,
sans même avoir commis la plus légère faute.
Rarement on les appelle par leur nom, mais par celui d’esclave.
En un mot, il n’est sorte de vexations qu’on ne leur fasse endurer.
Ces malheureux sont mal vêtus, et travaillent beaucoup;
mais je ne me suis pas aperçu qu’ils fussent très-maltraités.
Ils sont obligés presque toujours de pourvoir à leur nourriture :
ils cultivent, à cet effet, un champ particulier pour eux;
Les Maures se rasent toutes les parties poilues du corps,
excepté la barbe, qu’ils laissent croître,
et pour laquelle ils ont une grande vénération.
Une belle barbe est la plus belle parure d’un musulman.
Il est si doux de vivre sans rien faire, de se reposer sur
les soins d’autrui pour sa subsistance,
chacun fait son possible pour avoir des serviteurs :
toute leur ambition se borne à avoir douze ou quinze esclaves ,
qu’ils occupent entièrement aux cultures.
Tous en dehors des zénagues et des esclaves
ils aiment mieux se passer de manger une partie du jour
que de s’assujettir à travailler;
ils prétendent que ce travail les détournerait de l’étude du Coran,
prétexte spécieux pour faire excuser leur paresse.
Ils sont tous naturellement paresseux:
ils font beaucoup travailler leurs esclaves;
mais ceux qui n’en ont pas, sont obligés de cultiver leurs champs,
et travaillent si peu, que la récolte ne leur suffit jamais
pour l’année entière : alors ils ont recours au commerce,
pour se procurer les surplus de grains et de sel.
Je n’ai pas remarqué que les zénagues se querellassent souvent:
il est dangereux de les insulter, et plus encore de provoquer
les auteurs de leurs jours. Ils sont vindicatifs , très curieux ,
envieux, menteurs , importuns, intéressés, même avides, ignorans
et superstitieux : ils ne sont pas précisément voleurs,
puisqu’ils ne se volent pas entre eux ;
mais du moins leur probité est très-suspecte, ils sont cupidites.
Ils ne se confient jamais rien avant de l’avoir compté ou mesuré
plusieurs fois, même entre parents; ils sont, en général, méfiants,
et peu scrupuleux sur les moyens de se procurer ce qui leur plaît.
DONC EN GROS :
il y a des guerriers
il y a des “PRIEURS”
il y a des paysans et autres travailleurs, commerçants ..
et il y avait des esclaves.
De nos jours, les guerriers sont soit des militaires, soit des terroristes.
les “prieurs” sont devenus moins importants, sauf dans les mosquées
d’occident. Les esclaves il n’y en a presque plus.
Quand aux autres, ils ne sont pas très nombreux..
Il y a un gros malaise dans le fonctionnement économique en Islam.
L’islam ne sait pas fonctionner sans “esclavage”
sauf -et encore- pour des régions privilégiées (Arabie saoudite, Algérie,..)
qui possèdent du pétrole et d’autres richesses
car un musulman travailleur est rare, très rare
le musulman est plutôt un “profiteur” qui va tenter de “profiter” au maximum
des systèmes, des réglementations
pour ne rien faire et vivre paisiblement.
nous voyons celà tous les jours..
Les abrutis qui ont fait venir en france des “travailleurs” musulmans
n’avaient rien compris..
@xads
Merci beaucoup pour cette observation de René Caillié datant de 1828 et qui est d’une grande précision. Il ne faut pas que ces voyageurs aient posé leur regard pour rien. C’est aussi en observant ce qui se passe aujourd’hui que nous pouvons visualiser le futur de nos enfants et petits-enfants. Et pour l’instant, ce n’est pas très réjouissant.