« Entartete Kunst » ! « Attaques à la liberté de création », s’indigne Fleur Pellerin qui nous lance cette violente attaque vocabulistique tweetée, datant « des jours les plus sombres de notre histoire »
Salauds de Parisiens qui ont l’outrecuidance d’exprimer tout haut leur indignation contre un engin, dit « oeuvre d’art », choisi par le Comité Vendôme en association avec la ville de Paris, et un de ses représentant, Bruno Julliard, qui n’a jamais rien fait d’autre de sa vie que s’agiter dans les couloirs des syndicats étudiants, bien à l’abri financier.
C’est le produit de cette engeance fonctionnarisée, planquée, rémunérée par nos contributions fiscales.
Cette fange qui se sert au lieu de servir.
Qu’à cela ne tienne, on va justement se faire remarquer, puisque le contribuable, jamais associé, payera ! Je rappelle que l’héritage Delanoë a laissé de lourdes dettes aux bobos qui l’on élu, et par ricochet à tous ceux qui n’ont pas voté pour lui.
Madame la Ministre de la Culture Pellerin, socialiste, se déguise en Ministre de la Propaganda Staffel avec ses tweets d’un mauvais goût achevé.
Sur la sellette, ceux qui contestent l’exposition d’une « œuvre » de « l’artiste » pornocrate, scatologue, scatologiste, scatophile ou scatophage, l’Américain Paul MacCarthy, que l’on a installé sur la place Vendôme, joyaux de l’architecture de Jules Hardouint Mansart, considérée comme la place la plus luxueuse du monde.
Une sorte de plug anal monumental en plastique gonflable, de couleur verte … une couleur peu prisée des Français.
« Le vert, c’est à gerber », comme dirait l’autre …
« L’engin » n’étant pas à l’abri d’un concours d’arbalètes, l’on mettra en place un service de sécurité, avec l’argent du contribuable. Seulement, le contribuable, lui, en a plus que marre de se faire racketter pour les turpitudes d’élites à encéphalogramme plat au service d’une spéculation financière d’Etat dont elles déclaraient pourtant, par la voix de leur président, qu’elles étaient son ennemie.
Et ce qui se veut « art », de Paul McCathy à Daniel Buren, de Jeff Koons en passant par Takashi Murakami ou Lucio Fontana, est devenu pure spéculation financière d’économie mixte.
Certains tycoons asiatiques achètent ces « objets » pour les stocker dans des containers installés sur les docks de divers ports, attendant des jours meilleurs pour spéculer au mieux sur leurs investissements.
C’est la bourse à la connerie humaine financée par la connivence des élites de gauche. Voilà où se retrouvent ces « œuvres ».
Alors que l’art est fait pour être montré, regardé, médité, admiré, parce que les artistes parlent à vos yeux, à vos coeurs …
Et que disent vos yeux en regardant ce plug anal, dressé sur cette place majestueuse ? Chose que certains ont même voulu faire passer pour un « arbre » ? On est en plein Festivus Festivus, et Philippe Murray doit bien se marrer, de là haut.
Quelques courageux ont dégonflé la baudruche, « l’exposition » aura fait long feu, et l’artiste aura été molesté par des enragés, en guise de reconnaissance.
Alors que Paul McCarthy est contesté par le public, je rappelle que de tous temps, après Giotto, à savoir après que l’art se soit émancipé de ses mécènes royaux, il devint le poil à gratter, sinon du public, mais aussi et surtout des élites. C’est sa fonction humaine, humaniste d’exister. Nous avons besoin de l’art et l’art a besoin de nous.
L’art, c’est comme l’air que nous respirons. Il nous est vital.
Je ne ferai ici pas un cours d’histoire de l’art, je n’en ai pas les compétences. Juste m’arrêter aux impressionnistes qui connurent turbulences, quolibets et insultes, dont Edouard Manet et Camille Pissaro, qui exposaient au Salon des Refusés, en 1863, toutefois, autorisé par Napoléon III, mais qui fut l’illustration de l’émergence d’une peinture en opposition au goût officiel.
Cela devint la fonction des artistes de critiquer, d’ouvrir les yeux de leurs contemporains sur la société dans laquelle ils vivent.
Le plug anal de MacCarthy, nous montrerait-il la merde dans laquelle le monde est plongé ?
Que dire des colonnes de Buren, place du Palais Royal, initiative sous le règne Mitterrand, instiguée par l’inénarrable Jack Lang. Cela est l’art officiel de la France, et les « artistes officiels » la représentation.
La France que ses élites ont fait dégénérer, ont vendue. Ainsi, la rénovation du Théâtre Impérial Napoléon III, au Château de Fontainebleau que l’on doit au Qatar.
Il serait souhaitable de revenir à l’initiative de Jules Ferry qui libéra les artistes de la tutelle de l’Etat par un discours prononcé en 1881. Ce qui ferait disparaitre le ministère de la propaganda Staffel internationaliste socialiste.
[message_box title= »M. Jules Ferry, président du Conseil des Ministres » color= »blue »]
Mesdames et Messieurs,
Bien que nous soyons dans un bâtiment de l’État, l’État est aujourd’hui votre hôte en ma personne, et je tiens à bien le dire et à bien le préciser, ce qui s’est fait cette année n’est pas seulement un essai, c’est à nos yeux une situation
définitive et qui se perpétuera.
Messieurs, vous voilà en République vous aussi, et, bien que vous ayez été un peu surpris au premier abord, je crois que vous commencez déjà à vous y accoutumer.
C’est, en effet, un très bon régime, que celui qui consiste à se gouverner soi-même ; vous venez d’en donner la preuve dans des conditions nouvelles, difficiles, mais que je considère, quant à moi, comme absolument satisfaisantes.
On est particulièrement propre, en effet, à vivre en République, quand on est, comme vous, une élite intellectuelle assez nombreuse, assez fortement constituée pour avoir un idéal élevé et pour faire passer, avant les visées particulières et avant les intérêts privés, les grands intérêts de l’Art français.
Vous avez essayé de ce régime, et vous avez montré du premier coup, que vous en étiez capables, Vous aviez à élire un jury sur les bases d’un suffrage, le plus large et le plus étendu qui ait encore été expérimenté. Qu’en est-il sorti ? Une assemblée qui comprend les plus respectés parmi les anciens et les premiers parmi les jeunes, et, du premier coup, votre suffrage universel a su mettre la main sur les meilleurs, dans tous les ordres et sans distinction d’école.
Puis, vous avez eu à décerner des récompenses, ou, du moins, vos élus, ces élus d’un choix si spontané et si excellent, ont eu à décerner des récompenses… Qui ont-ils choisi pour le placer au premier rang? Ils ont donné leur plus haute couronne à la grande tradition du grand art décoratif, au plus brillant représentant qui soit parmi nous de la grande école florentine, à Baudry !
Ce sont là, pour des premiers pas, des pas virils, et véritablement nous méconnaissions, à la fois et l’idée que nous nous sommes faite du rôle de l’État vis-à-vis des beaux-arts, et le grand exemple que vous venez de donner, si nous considérions comme une simple expérience ce qui est, je le répète, un régime définitif. Oui, Messieurs, nous avons abdiqué pour tout de bon, abdiqué pour jamais. Ce n’est pas là la fausse abdication de Charles-Quint, s’enterrant vivant au monastère de Saint-Just ; c’est une abdication définitive, j’ai l’honneur de vous le signifier.
Il faudra donc désormais et à tout jamais faire vos affaires, en matières d’expositions, comme vous les avez faites cette année, Car nous ne voulons plus en reprendre le gouvernement. Non pas qu’il nous fût incommode: mais il reposait sur une base essentiellement fausse, et l’on voyait plus clairement, d’année en année, ce qu’il y avait de contradictoire au fond de cette organisation. Qu’était-ce, en effet, Messieurs, qu’un jury, élu pour la plus grande partie, maître des récompenses et des admissions, maître du placement des ouvrages, puisqu’il donnait des numéros… Qu’était-ce qu’un jury élu, ayant la puissance de fait et n’ayant pas la responsabilité qu’il laissait tout entière à l’État.
Ne valait-il pas beaucoup mieux se résoudre à ce que nous avons fait, à ce que le Conseil supérieur des Beaux-Arts, après une longue et sérieuse discussion, a posé en principe ?
Le rôle de l’État n’est pas de faire les affaires des artistes ; le rôle de l’État n’est pas d’être votre ménagère, Messieurs ; vous devez régler vous-mêmes vos propres affaires. Le rôle de l’État est exclusivement un rôle d’enseignement et un rôle d’encouragement. Il doit bien concevoir et bien définir ce rôle d’encouragement : qu’il se garde bien d’encourager les fausses vocations, de multiplier les médiocrités besogneuses ; la séparation que nous avons faite a précisément pour but de couper court, en enfermant l’État dans sa véritable fonction, à des abus sur lesquels je n’insiste pas. »
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Revenons à la entartete Kunst, « l’art dégénéré », expression des nazis, en opposition « à leur goût » désignant essentiellement les peintres et musiciens juifs.
Nombre de chefs d’oeuvres furent détruits par ces barbares, et leurs auteurs voués aux gémonies, si ce n’est à l’exil, ou la mort.
Sans oublier l’autodafé d’auteurs juifs, Place Unter den Linden à Berlin en mai 1933.
Voilà qu’encore une fois on nous lançe un vocable nazi à la figure parce que certains contestent – et c’est bien leur droit – cette chose qui ressemble à un plug anal au beau milieu de la prestigieuse place.
Inversion des valeurs : c’est le peuple qui serait dégénéré, puisqu’il ne comprend décidément rien au « goût officiel ».
Madame Pellerin sacrifie à la mode du retour « de la bête immonde » par ses commentaires imbéciles. Comme pour sa prédécesseur Filippetti, c’est le niveau zéro pour cette fonction.
Elle méconnait le passé agité du monde artistique depuis Giotto.
Elle ignore que les artistes ne font jamais l’unanimité. Même les génies reconnus et populaires. Pourquoi cette référence violente au nazisme ? Pourquoi ne pas rendre la liberté aux artistes, comme l’instituait Jules Ferry, ce qui nous éviterait le goût officiel imposé par ce régime socialiste totalitaire.
Ils nous imposent leur goût et occultent de grands artistes, dont le témoignage pourrait contredire leurs choix politiquement corrects et bien pensants.

Et concernant Paul MacCarthy, voilà de lui l’« œuvre » que j’aimerai voir exposée devant la Grande Mosquée de Paris :
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.
La position de cet énorme porcelet tout rose me fait penser à celle de certains fidèles … dont je ne préciserai pas le culte, sinon Dreuz va subir une nouvelle attaque d’aliens , dont la couleur sacrée est le vert.
Je me demande quelle serait la réaction des musulmans si cette « œuvre d’art » « enjolivait » une place devant un lieu d’adoration dédié à une certaine divinité lunaire?
« La position de cet énorme porcelet tout rose me fait penser à celle de certains fidèles …dont je ne préciserai pas le culte »
Oui n’en dites pas plus, n’en dites surtout pas plus. 🙂
Merci Sylvia de citer ce discours de Jules Ferry. En matière d’art encore plus qu’ailleurs, l’État ne remplit plus son rôle d’enseignement et outrepasse son rôle d’encouragement.
En ne trouvant rien d’autre à déclarer que ceci : « On dirait que certains soutiendraient volontiers le retour d’une définition officielle de l’art dégénéré », notre ministre de la « Culture », ressortant ainsi cette vieille ficelle stalinienne qui consiste à rejeter le contradicteur dans le camps du « fascisme » afin de le faire taire, notre ministre, donc, de la « Culture » très officielle, subventionnante et trébuchante, ne fait qu’afficher son inculture crasse, son ignorance de l’art contemporain ou non, et les affligeantes limites de sa pensée. Si on avait quelque raison de la soupçonner de savoir lire, on lui rappellerait volontiers qu’une partie des futuristes italiens se compromirent avec le fascisme – les autres se déclarant marxistes – ou encore que Goebbels défendit l’art moderne face à Rosenberg jusqu’à ce que Hitler tranche en faveur du second, mais à quoi bon…
On peut s’amuser à imaginer dans un moment comme celui-ci ce qui se passe dans la tête des crétins qui nous gouvernent : « Oh ! que je suis progressiste !… Oh ! que je suis fier d’être du bon côté de l’histoire quand tant de fascistes autour de moi menacent la liberté d’expression ! Oh ! que je suis rebelle en ce miroir ! »
Mais le pire, c’est de se dire que les autres ministères ne sont pas mieux lotis. Je pense notamment à celui de l’Éduc Nat qui ne cesse depuis quelques temps de tomber plus bas que terre, jusqu’au-delà du possible.
Chère Sylvia, vous avez sans doute compris pourquoi notre ministre se montre si pressée à ranger les dégonfleurs de baudruche dans le camp des nazis. Mais je ne suis pas certain qu’elle-même ait saisi le fond de sa propre pensée. Je vais donc l’y aider, au cas où l’un de ses sbires nous lirait, puisqu’il paraît que nous sommes surveillés.
Ce qu’il est convenu d’appeler l’art contemporain se construit sur – et se justifie par – des événements fondateurs désormais bien connus : l’urinoir de Duchamp (que celui-ci n’appréciât guère ses successeurs est une autre histoire), la merde d’artiste de Manzoni, qui apposait aussi sa signature sur des femmes nues pour en faire des œuvres d’art, etc. Le commissaire d’exposition, pataphysicien et ami de Joseph Beuys, Harald Szeemann, résume tout d’une phrase : « Il suffit de croire que c’est de l’art ». Le statut d’artiste confère désormais le pouvoir de transformer n’importe quel objet, ici un simple gonflable, ou n’importe quelle attitude (cf. l’exposition « Quand les attitudes deviennent forme, Berne, 1969), en œuvre d’art.
Les auteurs du dégonflage vont plus loin, puisqu’ils se donnent le pouvoir d’accomplir un geste artistique sans passer par la reconnaissance des institutions. C’est un geste révolutionnaire, dont le milieu de l’art contemporain, jaloux de ses prérogatives, a bien compris l’immense portée. D’où l’urgence à faire passer les dégonfleurs pour des nazis.
S’il y a un procès et si les avocats sont malins, on va assister à un débat passionnant, car de deux choses l’une : ou bien les autorités feront valoir que les dégonfleurs ont agi sans autorisation, mettant ainsi en évidence la nature foncièrement réactionnaire de leur discours et le caractère officiel de l’art qu’elles promeuvent ; ou bien la qualité artistique du geste des auteurs sera reconnue, et les conséquences en seront incommensurables.
Sans le savoir, les dégonfleurs de la place Vendôme ont levé un gros lièvre.
Excellente analyse. My hat off to you!
Ça a commencé, si ma mémoire est bonne, avec la pyramide du Louvre. Jadis, chaque fois que je retournais en France, je passais une ou deux journées au Louvre. Jusqu’à un laid jour où j’y trouvai cette pyramide plantée la comme un bubon.
Depuis, on a eu droit à des écrevisses gonflables à Versailles et a d’autres horreurs dont le but évident est promouvoir la laideur institutionnelle, comme Simon Leys l’avait si justement remarqué à propos de la Révolution Culturelle de Mao et de sa grognasse Jiang Qing.
Voilà le but du bouchon de fion de McCarthy, rien d’autre.
Cela se résume en quelques mots: « N’ayant ni goût ni talent, je vous condamne à chanter les louanges des pires étrons. Et je vous emmerde. »
Si cette affaire se termine au tribunal et si les dégonfleurs perdent le procès (autrement dit si les dégonflés le gagnent), ce que l’on sait depuis longtemps deviendra évident, à savoir que l’art contemporain n’est pas l’espace de liberté qu’il prétend être, mais plutôt une formidable entreprise de pouvoir sur les consciences, un vaste projet terroriste aux mains du politique ; si les dégonfleurs le gagnent, ce sera le signal que le peuple a désormais le droit de reprendre le pouvoir symbolique confisqué par les « élites ». Dans tous les cas l’art contemporain, en tant que pouvoir de caste, sera perdant. C’est pour ça que le petit monde de la « création », inquiet, réagit par l’insulte.
En somme le pouvoir ne peut que perdre en produisant une jurispudence dangereuse pour lui, ou gagner en dévoilant ses cartes. Je ne serais donc guère surpris qu’on ne retrouve pas les auteurs afin d’éviter un procés à risque, ou que celui-ci soit étouffé ou travesti comme nos très disciplinés journalistes savent le faire. Mais avec nos « élites » rien n’est jamais certain, pas même la conscience de leurs propres intérêts de classe.
Quoi qu’il en soit, ce dégonflage aura valeur emblématique : les superstructures commencent à céder.
Les Deux Plateaux (les « colonnes ») de Buren ont précédé la Pyramide du Louvre, qui réalise avec des matériaux actuels un projet du 19e siècle.
cette œuvre de Mc Carthy dégonflé avait la couleur verte des islamistes palos !
de toute façon » l’œuvre » en forme de suppositoire défigurait la Place Vendôme ..
De toutes façons, les Ministères de la Culture n’existent que dans les pays totalitaires et servant à la promotion d’un art officiel. Dans les Arts Plastiques, celui choisi par les élites est tout droit sorti des poubelles, des égoûts, des fosses septiques (Mc Carthy en est l’exemple parfait) ou des objets dérivés kitsch (les pitoyables au niveau artistique mais richissimes Koons ou Murakami qui seraient plus à leur place chez Disney). Dans le domaine musical, on ne dit pas un mot de la mort de Dutilleux mais où nous vante les pseudo-musiques primitives issues de la diversité qui sont d’une nullité musicale crasse alliée, puisqu’il y a des paroles, à un même goût que les plasticiens pour nager dans l’ordure. Au cinéma, on subventionne des produits indigents prétendument comiques ou des films à message pour vanter le métissage, la promiscuité sexuelle (homo de préférence) et cracher sur les valeurs. Dans les régimes totalitaires, ils étaient plus francs, le Ministère de la Culture s’appelait Ministère de la Propagande. Ce ne sont les destructeurs du produit déféqué par Mc Carthy qui font penser au nazisme mais bel et bien la Ministre Pellerin, émule de Goebbels et sa ridicule comparse, la maire de Paris, la semi-illettrée Hidalgo. Il est urgent de supprimer ce Ministère nuisible, ennemi de la création et de le remplacer par une simple directiondu patrimoine pour protéger les trèsors d’hier de notre civilisation auxquels ces fausses élites préfèrent les obsessions anales d’un Mc Carthy dont la place est à l’asile pas dans les musées.
Le Ministère de la Culture n’est pas près d’être supprimé ni remplacé, car il est un rouage essentiel du pouvoir. Pour lui, le peuple est un grand enfant toujours susceptible d’ouvrir les yeux et de s’écrier : « Le roi est nu ! ». Voilà pourquoi il faut un Ministère de la Rééducation Permanente, qu’évidemment en démocratie on ne peut appeler comme ça…
la réponse de GW. Goldnadel et à sa suite les commentaires
http://www.lefigaro.fr/vox/societe/2014/10/20/31003-20141020ARTFIG00175-le-requisitoire-de-goldnadel-lettre-ouverte-a-paul-mccarthy.php
J’espère que McCarthy sait lire le Français ou qu’on va lui traduire…
qu’est-ce qu’on en a fiche de ce dégénéré ?
Il est grand temps que nos rebelles subventionnés comprennent que leurs provocations à deux ronds (ou à deux millions d’euros) ne provoquent rien ni personne, si ce n’est la lassitude du petit peuple qui a d’autres chats à fouetter. Mais si l’article de Monsieur Goldnadell sera lu à coup sûr, on peut être tout aussi certain que son message ne sera pas reçu par le milieu inculte, borné et intellectuellement limité de l’art contemporain, que je connais pour l’avoir fréquenté et dont Mme Pellerin est la parfaite image.
peu importe c’est un premier pas pour nous pauvres incultes vus par les gauchards !
Libé, toujours égal à lui-même, ose déclarer : « L’amusant de l’histoire est que c’est le propre des œuvres satiriques (c’est-à-dire qui critiquent les mœurs contemporaines) que de révéler non pas l’esprit tordu de leur créateur, mais la saleté profonde de ceux qui en sont choqués. » Et de citer Molière !
Mais qui, à part les journalistes de Libération, peut encore être assez con pour croire, en 2014, au « pouvoir satirique » d’un plug anal géant ?
Ces gens-là veulent se croire subversifs, jusqu’à se prendre pour Molière ! Les pauvrets… Qui aura le courage de leur expliquer qu’ils sont les suppôts du pouvoir ?
http://www.lepoint.fr/societe/zizi-sexuel-plus-de-37-000-signataires-contre-l-exposition-20-10-2014-1874194_23.php
du vent , de l’air !