Barack Hussein Obama aura tout fait pour dissocier le terrorisme de l’islam. Il a totalement échoué, car les musulmans s’obstinent à le contredire à un rythme effréné.

La semaine dernière, Alton Nolen, musulman de 30 ans, a décapité une de ses collègues en criant Allah ou Akbar, dans une usine agro-alimentaire dont il venait d’être licencié, à Moore en Oklahoma, mais le président américain refuse de considérer cela comme un acte terroriste.

Et les médias, largement de gauche et donc islamo-complices comme un peu partout en Occident, ont emboité le pas et mis en marche la machine à désinformer.

Ils ont caché à quoi ressemble Nolem aujourd’hui – ça stigmatiserait la haine contre les extrémistes bouddhistes :

Ils ont préféré publier cette photo, vicelards de journalistes, un noir comme les autres qui n’évoque pas l’islam :

« Il parlait en arabe pendant qu’il décapitait sa victime avec un grand couteau de cuisine », a déclaré Greg Mashburn, le procureur du comté de Cleveland, ajoutant que l’accusé est raciste et qu’il déteste les Blancs.

Nolen venait d’être licencié. Il est rentré chez lui, a pris un long couteau, et est retourné devant l’entrée de l’usine. Là, il a attrapé une de ses collègues, Colleen Hufford, une blanche, l’a attaquée par derrière, l’a tuée puis l’a décapitée.

Il a ensuite tenté de décapiter un autre collègue, mais en a été empêché par plusieurs personnes.

Heureusement, le port d’armes est inscrit dans la Constitution, et le directeur de l’entreprise, Mark Vaughn, armé, lui a tiré dessus, l’empêchant de faire un carnage.

Mashburn a expliqué que M. Nolen avait été renvoyé parce qu’il avait, le même jour, proféré des insultes racistes.

«D’après ce que j’ai compris, l’altercation était fondée sur le fait qu’il n’aimait pas les Blancs», a affirmé le procureur, et qu’il a tenté de convertir des collègues à l’Islam.

Ce n’est pas la France, il n’y a pas de mur des cons, ni de syndicat marxiste de la magistrature qui a détruit l’indépendance de la justice, pour remettre Nolen au bout de quelques années de prison. Il a été inculpé de meurtre, ce mardi, et il risque la peine de mort, selon les procureurs. Au pire, ce sera la prison à vie sans possibilité de remise de peine.

Mais le problème est ailleurs. Il loge tout près du président pour qui la plus grosse menace pour la planète est le réchauffement climatique, et l’islam une religion d’amour.

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A la base militaire de Fort Hood, en 2009, Nidal Malik Hasan, un médecin militaire, tuait 13 personnes et en blessait 30 autres en criant Allah ouh Akbar (Dieu est le plus grand).

• Les services du contre espionage avaient en main les emails qu’échangeait Hasan avec l’imam yemenite radical Anwar al-Awlaki,

• Ses collègues avaient remarqué qu’il avait progressivement glissé vers la radicalisation,

• En 2013, Fox News publiait une série de documents dans lesquels Hasan se faisait appeler SoA (Soldier of Allah) – soldat d’Allah,

• Dans une de ses notes, Hasan écrivait : « dans la démocratie américaine, ‘nous le peuple’ gouvernons selon ce que ‘nous le peuple’ pensons être juste ou mauvais, même si cela va spécifiquement contre ce que Allah le tout-puissant ordonne. »

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Et bien le département de la Défense refusa le classement en acte terroriste. Au lieu de cela, Obama décida qu’il s’agissait d’un « accident sur le lieu de travail », car l’islam est une religion de paix.

Nous sommes à deux doigt d’assister à une répétition de Fort Hood.

Le FBI a reçu instruction « d’enquêter » sur l’agression, afin de déterminer si elle peut être qualifiée d’attaque terroriste.

Non parce que vous comprenez, un musulman qui prêche l’islam, qui hait les blancs, qui est « obsédé par l’idée de la décapitation», selon les déclaration aux journalistes du procureur lors de la conférence de presse, qui décapite une femme en criant Allah ouh Akbar, il faut que le FBI enquête pour déterminer si c’est un acte terroriste.

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