Dans l’Italie dirigée par la nouvelle coqueluche de l’Union européenne Matteo Renzi, les citoyens italiens, étranglés par le chômage et la rigueur, comme des millions d’Européens, plongent dans la pauvreté et la misère.

De plus en plus nombreuses sont les victimes d’un système injuste, imposé par l’UE, qui agit contre ses propres citoyens.

Tous les ingrédients d’une crise sociale majeure s’accumulent et dans ce pays, miné par une profonde récession, la crise vire souvent à la tragédie : le nombre de suicides explose.

Dès lors, dans un pays économiquement laminé, le flux ininterrompu d’immigrants bénéficiant d’avantages sociaux refusés aux Italiens de souche, de plus en plus soumis à une pression fiscale sans précédent, suscite un légitime sentiment d’injustice, de révolte et de colère.

Si encore les immigrants étaient reconnaissants.

Mais non, à peine débarqués et restaurés, ils font la grimace, critiquent la qualité des repas offerts et même les refusent en les jetant à terre. Ils réclament la nourriture de leur pays d’origine, se plaignent des structures d’accueil, de la présence de moustiques dans leurs chambres, certains étant pourtant logés dans des hôtels trois étoiles avec piscine, dans des chambres dotées de tout le confort. Ils se lamentent de la lenteur administrative pour l’obtention de leurs papiers, exigent avec arrogance leurs droits, sans mentionner leurs devoirs, et l’expriment parfois avec violence, en créant des émeutes, bloquant des routes, agressant les policiers, sans oublier les affrontements ethniques dans les centres d’accueil.

En guise de remerciement de leur avoir sauvé la vie, leur ingratitude dessine bien souvent des sourires amers sur les lèvres de leurs bienfaiteurs.

« Tandis que des centaines de milliers de familles italiennes font la queue pour obtenir un plat de pâtes, les immigrants méprisent, ce que notre pays leur donne généreusement. Des milliers d’Italiens vivent dans la pauvreté et ne mangent même pas un repas par jour, et bien sûr, encore moins deux ou trois. Ils ne se plaignent pas que la nourriture n’est pas bonne, ni que ce n’est pas la nourriture de leur pays.

Mais quand vous êtes hébergé chez quelqu’un, vous mangez sa nourriture, non ?

Les nombreuses fois où j’ai été hébergé en Angleterre, je ne m’attendais pas à manger des spaghettis. »
– Antonio De Lieto, président du syndicat de la police Libero Sindicato di Polizia, a ainsi exprimé son indignation.

Attitude similaire en France, de la part des clandestins de Calais : mépris et rejet de la nourriture qui leur généreusement offerte par des bénévoles :

Ecoutez la réaction désabusée d’un membre de l’association Salam, qui prépare les repas :

La Mission « Mare Nostrum » engloutit plus de 9 millions d’euros par mois. Chaque réfugié, vrai ou faux, coûte aux contribuables 30 Euros par jour.

700 millions d’euros ont été débloqués pour créer dans chaque région du pays, dix mille nouvelles places dans les centres d’accueil. Mais face à l’afflux continu, qui est loin de se tarir, dépassées par la situation, les autorités font, comme d’habitude, appel … aux citoyens, pour résoudre les problèmes qu’elles ont créé et continuent à créer.

Une solution extravagante a été proposée au Maire de Rome, ville en faillite, par le sous-secrétaire du ministère de l’intérieur Domenico Manzione, proposition que le Maire de Rome s’est empressé d’accepter avec un enthousiasme des plus touchants.

« Proposer des immigrés à des familles d’accueil contre un salaire de 900 Euros/mois, prélevés sur les finances publiques, soit 30 Euros/jour pour un réfugié enfant, ou adulte.

Afin de montrer l’exemple au bon peuple, l’ensemble des membres du gouvernement ne devrait-il pas faire le premier pas et accueillir gratuitement au sein de leurs familles respectives l’un de ces pauvres réfugiés à la recherche d’une vie meilleure ?

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Ils pourraient ainsi vivre un expérience des plus enrichissantes, être enfin connectés à la réalité du fameux « vivre ensemble” qu’ils imposent si gentiment aux autres – sans leur demander leur avis.

Mais ne rêvons pas.

Le métissage et tous les prétendus « bienfaits » du multiculturalisme, c’est réservé au petit peuple, et non aux élites, et cette proposition soulève déjà une marée de polémiques. Si de nombreuses familles dans le besoin pourraient être attirées par l’idée, de multiples questions quant au contrôle des familles d’accueil et les risques encourus par ces dernières demeurent en suspens. Si l’invité est de confession musulmane, la majorité de ces réfugiés étant issus de « pieux » pays musulmans, la famille d’accueil devra-t-elle modifier sa façon de vivre, pour la rendre halal compatible, afin de ne pas froisser sa sensibilité « religieuse » et ainsi éviter toute accusation de racisme et d’islamophobie ?

Ci-après, une réaction plutôt modérée par rapport à d’autres beaucoup plus violentes, rédigée par Giorgia Meloni, Présidente du groupe « Fratelli d’Italia » sur sa page FB  :

« L’Etat italien ne te donne pas 30 Euros par jour pour nourrir ton fils s’il est chômeur. Ma proposition : que l’UE paye pour l’accueil. Ces 900 Euros par mois devraient être accordés aux centaines de milliers d’Italiens désespérés. »

Pour l’ancien bourgmeste de Rome Gianni Alemanni, une telle proposition pourrait déclencher une guerre des pauvres. Le gouvernement se sert du désespoir des familles qui n’arrivent pas à finir le mois.

La Lega Nord, qui milite pour l’indépendance de la Vénétie, à l’écoute des doléances des citoyens italiens inquiets du basculement de leur pays vers une société dans laquelle ils se sentent de plus en plus étrangers, a décidé d’organiser une manifestation de masse le 18 octobre prochain pour dire « Stop à Mare Nostrum ». « Stop à l’invasion ».

La Lega espère rassembler environ 100.000 personnes.

Un membre de la Lega a publié ce petit article sur l’islamisation de l’Italie, son invasion et les injustices sociales dont sont victimes les Italiens de souche.

« Dimanche dernier, sur la Place Maggiolini à Parabiago, petite ville située en Lombardie dans la province de Milan, les citoyens ont été surpris de voir un stand pour la promotion de la « religion » islamique. Le prédicateur, en possession de toutes les autorisations légales, agissait dans le respect de la loi.

Nous importons chaque semaine des milliers de personnes de culture et de traditions diamétralement opposées aux nôtres.

J’ai bien écrit : « nous importons » car le gouvernement, non seulement ne se limite pas à les laisser venir, sans rien dire, mais va même les chercher dans les eaux internationales, parfois jusqu’aux confins d’autres nations, pour les amener dans ce qui devrait être notre patrie.

Plus cette politique angélique durera, plus nous assisterons à ce genre d’opérations.

Hélas, l’angélisme de ces dernières années, mêlé à un « étrange » sens de l’égalité, conduit peu à peu à notre disparition.

Etrange sens de l’égalité, en effet, car il est à sens unique : nous considérons et accordons, à juste titre, à toutes les personnes les mêmes droits (même celui de faire du prosélytisme religieux dans nos villes).

Les autres, les étrangers dans notre patrie, n’accordent aucune liberté, aucun droit, dans leurs pays d’origine. Leur religion est imposée – souvent avec violence – aux étrangers. Les femmes, considérées le plus souvent comme des êtres inférieurs, sont utilisées comme esclaves, mais, une fois chez nous, parfois avant même de poser les pieds sur notre sol, ils exigent, revendiquent, prétendent obtenir tous les droits, oubliant très souvent complètement leurs devoirs.

La pauvre Italie ne possède plus aucune identité, et les responsables en sont également les citoyens qui votent pour les partis favorables à une immigration de masse, et agissent en conséquence.

Ils sont en train de nous envahir avec votre consentement.

La nation italienne est un pays à la dérive, elle aide les étrangers, mais non ses propres citoyens.

La seule façon d’arrêter cette injustice, c’est de mettre un terme à l’INVASION.

Une grande manifestation est prévue le samedi 18 octobre à Milan pour dire « Stop à Mare Nostrum ». Arrêtons l’invasion. Défendons nos frontières.

Y serez-vous ou continuerez-vous à voter pour le PD ? »

Dario Quieti, Lega Nord Parabiago, ISLAM IN PIAZZA MAGGIOLINI

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« Mare Nostrum” doit prendre fin avait déclaré le ministre italien de l’intérieur, A. Alfano.

Eh bien, l’UE a entendu sa prière, mais d’une seule oreille. Non seulement, Mare Nostrum ne sera pas remplacé par une opération européenne, contrairement à ce qu’avait laissé sous-entendre le ministre italien, mais il sera désormais soutenu par l’opération Triton, et ce dès novembre.

« Il doit être clair que Triton ne remplacera pas Mare Nostrum », a affirmé Cécilia Malmström, Madame encore plus d’immigration.

Financé par Frontex, Triton va dans un premier temps compter 5 navires patrouilleurs et trois avions. Les navires et avions de Triton soutiendront les bateaux italiens, mais ne seront pas en première ligne, au plus près des côtes libyennes, d’où embarquent les migrants. Les passagers des embarcations en détresse, secourus par les navires de l’opération Triton seront toujours débarqués en Italie, qui continuera ainsi à se charger de leur accueil et des demandes d’asile.

Bref, au lieu d’endiguer le flux, Triton aidera Mare Nostrum a ouvrir encore plus les vannes d’une invasion musulmane de plus en plus massive de l’Italie et conséquemment de l’occident, et ce pour le plus grand désespoir des Italiens, dont la colère, de moins en moins sourde, n’attend qu’une étincelle pour s’embraser.

Si le but de ces opérations est d’ouvrir plus largement les portes de l’Europe, eh bien, l’objectif sera largement atteint.

Comme feu le Colonel Kadhafi le déclarait en 2010 :

« Nous vous conquerrons par vos valeurs démocratiques, nous vous dominerons par nos valeurs musulmanes. »

Eh bien, la conquête est en marche, avec la complicité de l’UE.

A nous de l’arrêter avant que les ténèbres de l’islam ne s’abattent sur notre civilisation des Lumières.

Geert Wilders a donné la marche à suivre, lors de son discours au parlement néerlandais le 2 octobre dernier. Il suffit d’avoir la volonté de l’appliquer, mais là est la pierre d’achoppement : ce manque de volonté de la part des dirigeants européens, tous actuellement pro-Eurabia par pur intérêt, et cette passivité du peuple européen, responsable de sa mort lente.

Les peuples européens devraient réagir à l’unisson, car un autre cauchemar se profile à l’horizon, grâce à l’opération Mare Nostrum, utilisé comme Cheval de Troie par les djihadistes de l’Etat islamique.

En effet, selon des informations révélées au journal Bild am Sonntag par des sources proches des services secrets américains, des combattants de l’Etat islamique, déguisés en réfugies syriens et munis de faux passeports, déferleraient sur l’Europe afin d’y mener des attaques et des décapitations, et y semer la terreur.

Quatre djihadistes britanniques de retour de Syrie viennent d’être arrêtés à Londres : ces gentils combattants d’Allah projetaient de décapiter d’innocents passants dans les rues de Londres.

L’immigration massive, majoritairement musulmane, n’est pas un symbole de progrès ou de réussite contre le racisme, bien au contraire, elle NOURRIT le racisme mutuel et les tensions sociales, car cette politique des plus iniques vise à privilégier l’immigré, au lieu de soutenir le natif du pays et en temps de crise.

Cela suscite un légitime sentiment d’injustice profond, de colère et de ressentiment envers les réfugiés. En favorisant l’immigré au détriment de ses citoyens de souche, l’Etat est lui-même perçu comme raciste à l’égard de son propre peuple.

Cette stratégie aberrante, voire malhonnête, visant à promouvoir le multiculturalisme dans les pays occidentaux, n’est en réalité qu’une tentative de destruction des nations et de dilution de ses peuples dans un métissage forcé, conformément au projet Eurabia.

L’establishment gauchiste, en prônant le multiculturalisme comme la pierre angulaire d’une société parfaite, s’égare dans un chemin des plus tortueux, dont la seule issue sera le clash sanglant des civilisations. Les générations futures le maudiront.

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