
Agés de 18 ans à 20 ans, le trio qui a passé sa première nuit en prison, conteste les faits. Leur avocate s’indigne que la qualification d’antisémitisme ait été retenue.
Mis en examen, ils ont passé leur première nuit en prison. Le trio d’auteurs présumés de l’agression de Créteil lundi dernier sont désormais poursuivi pour “vol avec arme”, “séquestration”, “viol en réunion”, et “violences en raison de l’appartenance religieuse”. Que sait-on de ces trois suspects ?
Trois jeunes de 18 à 20 ans. Ils s’appellent Ladji, Yacine et Omar et habitent tous dans le même périmètre à Créteil, à moins de 200 m de leurs victimes, ou dans la ville voisine de Bonneuil-sur-Marne. Ils sont âgés de 18 à 20 ans et sont tous plus ou moins connus de la police pour de petits délits et une affaire de drogue.
Ils contestent les faits. C’est le plus jeune qui a effectué les repérages, le 10 novembre dernier. C’est lui qui sonne à la porte des victimes en demandant du sucre. Le jeune homme a été formellement reconnu. Les deux autres font partie du trio qui a attaqué le jeune couple, lundi avec un pistolet et un fusil à canon scié. On a retrouvé sur eux les bijoux volés ce jour-là. Mais devant les enquêteurs de la PJ, le duo conteste tous les faits qui leurs sont reprochés.
Leur avocate dénonce la qualification d’antisémitisme. Leur avocate, Me Marie Dosé, s’insurge quant à elle contre le fait que la qualification antisémite ait été retenue. Elle dénonce surtout la précipitation, à ses yeux, du ministre de l’Intérieur à communiquer sur ce dossier dès mercredi matin.
“Parler d’acte antisémite, que les victimes le fasse dans les médias, c’est très bien. Mais que le ministère de l’Intérieur en parle trop vite, alors même que la justice n’en est pas saisie, c’est choquant”, dénonce l’avocate.
“Dans une démocratie, dans une république, la séparation des pouvoirs existe. Ce ne sont pas les médias ou l’exploitation des faits divers qui doivent faire l’institution judiciaire”, poursuit l’avocate. “Je considère que la justice n’a pas été rendue sereinement. On est ici dans l’exploitation d’un faits divers que je ne m’explique pas. La pression qui est exercée à ce moment-là sur le magistrat instructeur ne peut pas garantir son indépendance”, conclut-elle.
Un quatrième homme, qui a participé à une première agression survenue quelques semaines plus tôt, reste quant à lui toujours activement recherché.
http://www.europe1.fr/faits-divers/agression-de-creteil-que-sait-on-des-trois-suspects-2308561
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Ladji, Yacine et Omar
3 prénoms qui fleurent bon la banlieue parisienne, ou 3 sales voyous d’origine magrébine défendus par une avocate qui aurait préféré qu’il s’agisse de gens d’extrême droaaaaaaaaaaate !!!! La langue de bois ça l’étouffe pas non plus ???L’antisémitisme connaît pas non plus ?
Nous ignorons dans quel état se trouvent ces pauvres victimes, pouvons-nous les aider en quelque domaine que ce soit ???
le procureur reconnaît l’antisémitisme de ce crime, mais il le qualifie “d’antisémitisme basique, primaire, idiot”.
Ce qui laisserait supposer qu’il peut exister un antisémitisme élaboré, secondaire, et intelligent?
Une justice à géométrie variable semble oublier que toute forme de haine envers Israël et les juifs est à combattre : avant, pendant et après, le délit, qu’il soit mineur ou majeur.
L’antisémitisme “élaboré, secondaire, et intelligent” est celui qui s’étale dans les médias subventionnés, sous le nom d’antisionisme.
d’où elle sort leur avocate ? serait elle pro-muzz ?
il a deux black et un muzz , ils ont prémédités leur agression en suivant le père du jeune homme agressé , ils ont suivit son frère qui
travail comme vendeur dans un magasin de fringue à Créteil-Soleil
pensant qu’il était le propriétaire du magasin ! alors les 3 racailles
se sont dit que les juifs devaient avoir de l’argent chez eux …et ils ont prémédité leur opération commando avec violence …
pour moi c’est un acte antiJuif !
il y aura un rassemblement Dimanche Place des Abymes dans le quartier du Port de Créteil !
Qui est Maitre Dosé ?
pour vous faire une idée, voici un extrait d’une interview accordée au Figaro.
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La vérité est-elle l’affaire de l’avocat?
«L’innocence ou la culpabilité de mon client ne m’importent pas, tranche Me Haïk. S’il nie les faits, je ne lui demande jamais si, en réalité, il est coupable. Je cherche les failles du dossier qui vont me permettre de le défendre de manière totalement libre et, comme les avocats de la pièce, j’élabore un scénario, une histoire crédible à raconter au tribunal. L’avocat est un inventeur. Toutes les armes sont bonnes pour défendre. L’angoisse de perdre le procès me donne du punch. Cela vaut pour tous les clients.».Me Dosé partage cette approche: «Souvent, lors de la première entrevue, le client teste sur son avocat un système de défense. Je lui explique que je vais me détacher de la problématique coupable ou innocent pour instaurer une forme de distance entre lui et moi. C’est ainsi que l’on peut prétendre obtenir un acquittement ou, en cas de reconnaissance de culpabilité par l’accusé, une peine moins lourde. Dans une affaire de viol, par exemple, la plaidoirie idéale peut consister à dire, bien que cela paraisse paradoxal: “Mon client ne reconnaît pas les faits parce que c’est impossible pour lui.”»
Existe-t-il des cas indéfendables?
«Je ne connais pas d’infraction maudite, rétorque Me Dosé. Il y a dix ans, quand j’ai débuté, les violeurs étaient persuadés qu’ils devaient désigner une avocate. Violeurs, meurtriers, terroristes, je défends quiconque fait appel à moi. J’entends parfois des confrères dire: “Ah ça, je ne pourrais pas…” Dans ce cas, il ne faut pas se dire pénaliste.»
Un bon avocat coûte-t-il forcément cher?
Me Dosé nuance: «Moi aussi, il m’arrive de plaider pour rien, mais cela se passe rarement bien. Si j’interviens gratuitement, le client me prend d’une certaine façon en otage: l’avocat ne doit être à la merci ni de la puissance ni du désastre financier de son client.»
Peut-on «lâcher» un client en route?
«Je ne me suis jamais retrouvée en situation de le faire à cause du client lui-même,complète Me Dosé, mais en raison de son entourage ou de sa famille, qui se montraient grossiers, voire menaçants.»
Un procès peut-il être perdu d’avance?
Me Dosé garde en mémoire une audience de trois heures pendant laquelle la présidente n’a «pas jeté un regard»à son client. Résultat: une«plaidoirie de défoulement»et une peine«excessivement sévère».
Est-ce grave de perdre un procès?
Pour Me Dosé, un mauvais résultat entraîne une remise en cause personnelle: «En juin 2008, aux assises, mon client a été très lourdement condamné. Il ne s’est pas passé une journée depuis sans que j’y repense.»
merci pour vos renseignements gédéon !!
en cas ça ne lui fera pas une bonne réputation dans la communauté
juive .. le principale c’est que les trois agresseurs restent longtemps en prison ….
“On est ici dans l’exploitation d’un faits divers que je ne m’explique pas.”
On en serait presque à souhaiter qu’il lui arrive un fait divers de ce genre.
Les blacks sont muzz aussi, des Maliens ou des Sénégalais sans doute. Le fait qu’ils soient noirs ne compte pas, ce qui importe c’est leur appartenance à la pseudo-religion de criminels qu’est le mahométisme.
Les médias nous présentent ceci comme un fait divers, ce n’est pas un fait divers. Car les criminels n’ont pas assouvi un instinct primaire né d’une sexualité déviante, maladive pour le viol et d’une frustration pécuniaire issue de la jalousie pour le vol. Non, il s’agit ici de la volonté délibérée, assumée d’annihiler intégralement l’autre, de le détruire au-delà de son physique, de le pulvériser dans son identité profonde, dans l’expression de sa personnalité, dans l’essence même de son âme, voilà ce qu’il y a là derrière ces actes. On est bien au-delà du fait divers, on est dans l’animalité absolue, dans la barbarie la plus totale. Alors je m’insurge, je hurle devant ces tribunaux et ces médias qui banalisent la destruction de mes frères et sœurs, car les barbares, on les connaît, mais cette collaboration est maintenant devenue inique et insupportable.
Zut ! moi qui croyais qu’ils étaient blonds aux yeux bleus et qu’ils s’appelaient Vladimir…