
Les médias présentent Bertrand Bilâl Nzohabonayo comme un garçon jovial, gentil, qui s’était converti à l’islam depuis déjà longtemps – ce sont les mots de France info qui lui donne même du “jeune homme”, alors que la motivation terroriste est aujourd’hui retenue et qu’il a poignardé trois policiers.

Aucun média n’a songé à enquêter du coté de sa mosquée. Une mosquée pourtant bien loin des valeurs du vivre ensemble… et qu’il fréquentait.
Sur le site de la mosquée, le ton est donné : “..j’atteste qu’il n’y a de divinité digne d’adoration qu’Allah Unique et sans associé.” (les associés sont les rabbins et les moines. La référence à Allah comme étant la seule divinité digne d’adoration est un rejet explicite de tolérance envers les autres religions)
[quote]Interdiction formelle de fêter le jour de l’an[/quote]
Dans un de ses sermons, sur sa chaîne Youtube, l’imam intégriste Mohamed François interdit aux musulmans tous mélanges avec les Français non musulmans, et incite explicitement à rejeter la France, ses traditions, son peuple et même le calendrier : “Il convient de rappeler en tout premier lieu, que le Prophète nous a mis en garde de ne pas s’assimiler à des fêtes ou des traditions d’un autre peuple.»

Mohamed François : « Le premier de l’an ne correspond en aucun cas à nos traditions religieuses. Sachez, et nous sommes là pour vous le rappeler, que le conseil de la fatwa dans les pays musulmans avec à sa tête un grand nombres de savants éminents, ont bien évidemment stipulé que la célébration d’une fête qui n’est pas la nôtre, fait de nous des innovateurs et fait de nous des gens qui appartiennent à une autre communauté.”
Mohamed François: “Comment peux-tu oser fêter une fête qui n’est pas la tienne et qui ne correspond en rien à tes références religieuses ?”
Mohamed François: “Donc, Mon Frère, Ma Soeur, je te conseille ainsi qu’à moi-même la crainte d’Allah en ce 31 décembre, ne réveillonne pas, ne fas pas partie des gens qui célèbrent cette fête, par laquelle Dieu n’a fait descendre aucun texte, ni aucune preuve.”
Mohamed François: “…rappelle-toi qu’il y a trois fêtes : aïd-el-fitr, qui marque la fin du Ramadan, l’aïd oul afta, qui marque la fin du pélerinage et l’aïd oul aouzbour, la fête de la semaine. En dehors de ces trois fêtes aucune autre fête n’est légiférée en Islam, ceci est un rappel pour toi mon Frère et toi ma Soeur. »
Voilà les prêches qu’a entendu Bilâl Nzohabonayo, le terroriste qui a tenté d’égorger trois policiers au commissariat de Joué-Lès-Tours, mais aussi tous ceux qui fréquentent la Grande mosquée de Mohamed François, l’imam de la mosquée, un Français converti à l’Islam en 1989, qui a appris l’arabe et la loi de l’islam, la charia, avec le cheikh radical algérien Abdelhamid Bouzouina expulsé du territoire français, et invite à ses prêches des imams radicaux comme Mehdi Kabir, Nader Abou Anas, Hassen Bounamcha, ou encore Hani Ramadan, le frère de Tariq, qui compare les juifs à “des serpents, une race de vipères.”
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[quote]La lignée jihadiste[/quote]
Le 26 février 2004, Abdelhamid Bouzouina fait l’objet d’un arrêté d’expulsion pour « atteinte à l’ordre public, du fait de son activité doctrinale salafiste» avec «nécessité impérieuse pour la sûreté de l’État et la sécurité publique », de l’expulser car l’imam, appelait « ouvertement à la violence et à la haine » et était le « principal vecteur de l’idéologie salafiste dans la région lyonnaise », en lien « avec des éléments très déterminés de la mouvance intégriste islamiste (…), en relation avec des organisations prônant des actes terroristes.»
Abdelhamid Bouzouina a formé Mohamed François.
Et Mohamed François est l’imam de la mosquée où Bilâl Nzohabonayo priait et écoutait le prêche de l’imam radical, qui, sur son site, va jusqu’à imposer à ses fidèles la façon de dormir : sur le coté, et interdit de dormir sur le ventre, en précisant “c’est là une façon de se coucher que Allah n’aime pas”.
[quote]De Abdelhamid Bouzouina à la mosquée de Joué-Lès-Tours à Bilâl Nzohabonayo, la boucle du jihad est bouclée[/quote]
Bilâl Nzohabonayo s’est conformé aux injonctions jihadistes du cheikh Abdelhamid Bouzouina qui appelait « ouvertement à la violence et à la haine», et le 20 décembre 2014, il entre dans le commissariat et hurle Allahu Akbaar (Allah est le plus grand)
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Leger pour Dreuz.info.
Source : IslamEurope
Il a oublie la fete aid el diable q`il “adore”. Religion des fou. Adorer l`Allah??
Bonjour,
je suis le fils du regretté Abdelhamid Bouzouina décédé le 21 juin 2005 que vous présentez ici, avec l’Imam Mohamed François qui était un de ses élèves, comme un prédicateur extrémiste, vous utilisez même le terme d’injonction djihadistes qui auraient été données par mon père et que Bilal aurait suivie si elles étaient réelles évidemment car il n’y a aucun moment dans votre article ne serait qu’une preuve de vos accusations envers mon père et envers l’Imam Mohamed François qui justifieraient le passage a un acte terroriste.
Ensuite vous affirmez qu’il aurait fait l’objet d’un arrêté d’expulsion en 2004 dont ni moi ni ma famille aient eu vent jusqu’avant d’avoir lu votre article mensonger car mon père a émigré en Belgique en 1994 avant d’avoir plus tard sa nationalité Belge, avant de conclure triomphalement “De Abdelhamid Bouzouina à la mosquée de Joué-Lès-Tours à Bilâl Nzohabonayo, la boucle du jihad est bouclée”.
On apprend une chose avec votre article dénué de sens et plein de “a la France on fait comme les Français” c’est qu’il n’y a aucune preuve tangible de ce que vous avancez a aucun moment et le jeu de la malhonnêteté intellectuelle est omniprésent.