Si vous lisez les tweets de SOS Racisme, vous avez constaté que l’organisation auto-proclamée utilise le racisme comme l’ivrogne le lampadaire : pas pour sa lumière mais pour déjecter.
SOS Racisme sait, en 140 caractères, déverser une haine qui est allée jusqu’à irriter le CSA.
Lorsqu’Eric Zemmour, traité de con dans une chanson par un rappeur, a perdu son procès en appel pour diffamation, SOS Racisme a tweeté : “Zemmour est un con : confirmation judiciaire.” (Essayez ça contre un noir, SOS Racisme vous traîne droit devant les tribunaux.)
Très à l’aise en flic de la pensée bas du front, SOS Racisme utilise ces jours-ci les deniers publics pour porter atteinte à une valeur essentielle de la démocratie, le droit à liberté d’expression, et particulièrement celui qui entre tous doit être le plus protégé, le journaliste, dont le rôle essentiel est d’informer, et non de répéter ce que SOS Racisme autorise et permet.
L’organisation, qui se croit en charge de définir les bonnes mœurs et la morale publique, a tenté de tuer médiatiquement le journaliste Zemmour, de le faire interdire des médias – tous les médias.
4 jours après @itele, @RTLFrance ne prend pas ses responsabilités Nous on continue à signer ! http://t.co/7oey6RwCVA pic.twitter.com/x3Wuy6xCtB
— SOS Racisme (@SOS_Racisme) 23 Décembre 2014
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L’association SOS Racisme a monté une campagne d’incitation à la haine d’Eric Zemmour parce qu’elle n’est capable que de haine – lisez leurs tweets, ils en regorgent.
“Si la haine répond à la haine, comment la haine finira-t-elle ?” demandait Bouddha…
Ce n’est pas Bouddha mais le CSA qui a remis SOS Racisme à sa place.
En réponse aux tentatives d’intimidation, le CSA légèrement irrité, a taclé SOS Racisme, lui a recommandé de s’occuper de ses dossiers, qui ne sont pas de dire qui a droit d’antenne.
“Le principe de la liberté de communication… permet aux éditeurs de traiter les sujets ou d’inviter les personnalités de leur choix … [et] la loi confère au [CSA], la mission de veiller à ce que les programmes… ne contiennent aucune incitation à la haine ou à la violence” a expliqué le président du CSA à Dominique Sopo.
En clair, le CSA dit à SOS Racisme :
Ne tentez pas de museler la liberté de communication.
Ce n’est pas vous, SOS Racisme, qui décidez qui les éditeurs peuvent inviter et quels sujets ils doivent traiter, mais les éditeurs eux-mêmes.
Et ce n’est pas vous, SOS Racisme, qui veillez à ce que les programmes n’incitent pas à la haine, mais le CSA.
Voilà pour leur grade.
Merci au CSA d’avoir rappelé à cette officine liberticide comment fonctionne – même mal – une démocratie.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Vidéo très intéressante,
Omar Djellil un ancien de SOS racisme , balance sur SOS racisme et ses dérives vidéo 8 mn
Sos Racisme ne reconnaît pas le racisme anti-blanc, c’est officiel
https://www.youtube.com/watch?v=MX8SljhtqI4
@ rmimausa
merci pour la vidéo ; franchement, je savais ces gens-là infréquentables mais entendre un de leurs anciens militants dire que cette association est en fait une bande de malfaiteurs, de malfaisants pour la république ça fait froid dans le dos ! Il aura mis du temps cet homme-là pour avoir le courage de dénoncer et de rejoindre la droite ;
chapeau !
“Allumer par le CSA ” ?????
Je trouve que le CSA met des gants jusqu’aux coudes pour leur répondre !!!