Le Canard Enchaîné révèle que Chérif Kouachi avait sur son PC des « photos de petits enfants, filles et garçons [où] on les voit se faire violer, en tous sens ». C’était en 2010.
Soupçonné d’avoir participé à une tentative d’évasion de plusieurs détenus condamnés pour terrorisme, Chérif Kouachi avait passé cinq mois en détention provisoire.
Examinant son ordinateur, la police reconstitue des fichiers que Kouachi avait tenté d’effacer. S’y trouvaient des images pédo-pornographiques d’une violence extrême.
La justice était ce qu’elle est, le pédocriminel accusé de complicité d’évasion est relâché, sous “contrôle judiciaire”.
Et la justice étant exactement ce qu’elle est, lorsque le procureur de la république a reçu la copie du procès-verbal précisant que ce qu’étaient les images effacées, aucun juge ne fut désigné pour instruire l’affaire, qui fut classée sans suite.
Olé !
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A l’image du prophète.
Normal, un taré reste un taré, heureusement que la police l’ai buté !