Nous rapportions hier que des musulmans ont menacés de leur arme des soldats qui protègent un collège juif du Raincy, dans la nuit de samedi à dimanche. Il s’agissait d’un hoax monté par l’AFP et BFM !
Immédiatement après la diffusion de l’information, Benjamin Tagger le directeur de l’établissement scolaire juif a réagi et a alerté les médias : c’est un hoax de l’AFP et BFM. Rien de ce qui a été rapporté ne s’est produit.
« Encore une affabulation de BFM » peste le directeur de l’établissement. « Ce n’est pas la première fois que BFM s’illustre de cette façon, de manière lamentable et complètement irresponsable » ajoute Benjamin Tagger.
«… c’est de la folie, ils ont crée une psychose depuis ce début d’après-midi je ne gère que cette affaire… les coups de fils des parents apeurés, les élèves inquiets, la presse qui appelle ! » a encore déclaré le directeur de l’école à nos confrères d’ActuJ.
En réalité, il s’est passé une chose très banale qui a été « dramatisée à l’envie, transformant un fait fréquent lors d’une faction, en attaque terroriste potentielle » accuse le directeur :
« Une camionnette s’est arrêté devant l’école des filles à la sortie de shabbat, devant les hommes en faction. Les militaires ont levé leurs armes et la camionnette est repartie. Pas de cagoules, pas de fusils, juste un bruit non identifié. »
Nous pensions, à tort donc, que l’AFP et BFM n’inventent des hoax que pour diaboliser Israël et présenter les évènements du Moyen Orient sous une version simpliste : les gentils victimes palestiniens d’un coté, les méchants tueurs israéliens de l’autre. D’ailleurs on les entend peu, BFM et l’AFP, ainsi que les communistes et les Verts, ces derniers jours où les Palestiniens de Jérusalem et Gaza brûlent le drapeaux français et promettent d’autres attentats terroristes en France.
Bien entendu, les journalistes ne s’excuseront pas. Les journalistes français ne s’excusent jamais. Jean-Jacques Bourdin, si rapide à dénoncer et se moquer de l’erreur de Fox News sur les no-go zones est resté bruyamment silencieux. Les boutonneux rédacteurs des sites « spécialisés » dans la traque des hoax également…
Le bâtiment scolaire de Gagny de l’école Merkaz Hatorah a été la cible de plusieurs attentats terroristes en 2003. L’école avait été dévastée par une suite d’incendies criminels commis par de jeunes musulmans.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
J’avait déjà coupé I-Télé,……….. Suite aux reportages malsains de cet été depuis la Bande de GAZA.
Je m’étais reporté sur BFM,….. Que je vais devoir supprimer de ma télécommande.
De plus en plus dur d’obtenir une info SAINE dans ce pays.
Pour l’instant je navigue entre DREUZ, i24news et BusinessBourse.com, ….. Je n’ai pas trouvé mieux.
A bon entendeur !
En fait, je ne connaissait l’Histoire de la seconde guerre mondiale (avec la collaboration de VICHY) que par ce que l’on m’en avait raconté (hélas ma grand-mère, ma tante et mon grand-oncle ont été déportés par la Police Française et ne sont jamais revenus).
Mais je vois à la manière dont se comporte l’AFP et BFM, que la FRANCE n’a absolument pas tiré de leçons de cette époque et que quand il s’agit d’accuser les Juifs et de leur faire porter le chapeau pour ce qui va mal en FRANCE, certains sont toujours les premiers à attiser le feu.
Je reconnais quand même l’effort que fait le Gouvernement pour essayer de stabiliser la situation (bien que je ne soit pas de gauche) et je dis un chaleureux Merci aux Militaires, à la Police et à la Gendarmerie pour les efforts qu’ils font en ce moment pour protéger les Ecoles et les lieux Juifs.
Mais si des médias tels que l’AFP et BFM font le contraire, il ne faut pas s’étonner que ça aille mal en FRANCE aujourd’hui !
Voici ce qui s’est réellement passé et Opex 360 n’est pas du genre à faire de l’intox ou du hoax :
http://www.opex360.com/2015/01/19/deux-militaires-ont-ete-menaces-devant-college-en-seine-saint-denis/
« Selon les éléments disponibles, le véhicule s’est arrêté devant l’établissement scolaire. Les deux militaires s’en sont approchés afin de demander au conducteur de circuler. Un passager, cagoulé, a alors tiré vers l’arrière la culasse d’une arme, comme s’il allait ouvrir le feu.
Les soldats ont armé à leur tour leur Famas… Et le conducteur a démarré en trombe. Selon une source policière proche du dossier et interrogée par l’AFP, « il n’était pas possible dans l’immédiat de savoir s’il s’agissait d’une arme létale ou factice, ni si les auteurs des menaces avaient l’intention de passer à l’acte ou s’il s’agissait d’une provocation ». Une enquête a été ouverte. »