Une bombe incendiaire a été lancée par un jeune contre une mosquée de la ville d’Uppsala (est) dans la nuit de mercredi à jeudi.

C’est la troisième attaque de mosquée en huit jours en Suède.

“Quelqu’un a jeté une bombe incendiaire, un cocktail Molotov contre le bâtiment”, a déclaré à l’agence de presse suédoise TT, un porte-parole de la police d’Uppsala, Torsten Hemlin, qui a précisé que la bombe n’avait pas mis le feu à la mosquée.

“Ils ont également écrit des slogans racistes vulgaires.”

“L’attaque a été classée comme tentative d’incendie criminel, vandalisme et incitation à la haine”, a indiqué la police, mais il s’agit certainement du geste d’une personne mentalement instable et non d’un acte terroriste.

Trois jours avant, un jeune psychologiquement fragilisé avait déclenché un incendie au rez-de-chaussée d’une mosquée d’Eslöv (sud).

Le jour de Noël, cinq personnes avaient été blessées dans l’incendie d’une mosquée au rez-de-chaussée d’un immeuble d’Eskilstuna (centre) provoqué par un loup solitaire.

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La police suédoise recherche activement l’auteur de l’attaque qui ne peut être qu’un déséquilibré, rien de grave donc.

Selon le magazine antiraciste Expo, il y a eu plus d’une dizaine d’attaques contre des mosquées en 2014, en Suède.

Ces incidents feront les choux gras de l’extrême gauche islamo-gauchiste, qui a bien entendu tenté d’en tirer un avantage politique.

Sans stigmatiser, il serait coupable de faire le moindre amalgame entre ces incidents, certainement le fait de jeunes désœuvrés en mal de reconnaissance sociale.

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