Publié par Jean-Patrick Grumberg le 25 février 2015

Place-de-la-Republique-1280

L’autel à la mémoire des 17 victimes des attentats de Paris, érigé place de la République, a encore été saccagé. C’est la quatrième fois en quinze jours. Il est une insulte envers la diversité et devra peut-être être retiré.

Les couronnes de fleurs ont été arrachées, les messages ont été retirés des pochettes et les grands crayons ont été cassés en deux, dénonce Sabrina, instigatrice du collectif qui prend soin des lieux depuis plus d’un mois.

“Pourquoi ? Pourquoi détruire ce symbole de paix, en hommage à nos victimes des attentats ??… Stupeur et colère au 17”, écrivent les bisounours du collectif “17 plus jamais”, qui sont tellement encroutés dans le politiquement correct qu’ils ne peuvent pas, ou ne veulent pas regarder cette réalité : l’islam n’a pas achevé son œuvre de domination et de destruction après l’attentat à Charlie Hebdo et à l’HyperCacher, il s’agit d’une continuité. Leur tolérance est nulle. Leur livre saint, le coran, donne des ordres, ils obéissent car ils croient en l’enseignement qu’ils reçoivent.

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Notez bien mes mots: aujourd’hui ils détruisent le mémorial, demain ils voudront assassiner les auteurs des livres sur la théorie de l’évolution des espèces, et la dénonceront comme islamophobe car elle contredit les écrits coraniques.

Les membres du collectif ont décidé de porter plainte auprès des services de police, après avoir remis en état le lieu de mémoire.

Supposons que la police fasse une enquête. Supposons que la police trouve les coupables. Elle s’apercevra que ce sont des délinquants, des repris de justice qui ont déjà commis des agressions, des violences, des vols, du traffic de drogue, et qui sont et seront remis en liberté – et n’accusons pas Christiane Taubira car le syndicat de la magistrature n’est pas né hier, il a juste reçu à sa tête un des leurs.

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Ce n’est pas parce que le premier ministre Manuel Valls s’est résolu a déclaré que la menace terroriste est parmi vous que l’abcès est vidé et que tout va soudainement mieux.

Au lieu de se demander pour quelle raison des pieux musulmans détruisent constamment le “symbole de paix” que représente l’autel érigé aux victimes de Charlie Hebdo, peut-être pourraient-ils grandir un peu et comprendre que le mot paix n’est pas au vocabulaire de l’Etat islamique. Peut-être devraient ils apprendre le sens du mot califat, et comprendre que la justification des crimes se trouve dans le coran. Ou est-ce trop leur demander, et qu’ils ne peuvent aller au delà du pourquoi.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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