
Une jeune femme de 30 ans s’est décidée à porter plainte contre son mari violent, et ce n’est pas un banal cas de difficultés conjugales, mais d’incompatibilité entre l’islam et la démocratie.
[quote]Sa demande est totalement légitime, car conforme aux versets du coran[/quote]
Le mari, d’origine marocaine, a menacé de brûler sa femme à l’acide, au visage et aux parties génitales, si elle refuse de faire l’amour aussi souvent qu’il le réclame. Sa demande est totalement légitime, car les versets du coran sont explicites : une femme n’a absolument aucun droit de refuser d’avoir des rapports sexuels avec son mari, lequel peut la prendre quand il le souhaite, et le coran règle à la fois la vie religieuse et la vie civile de chaque mahométan.
Le 26 janvier dernier, la jeune femme de 30 ans, armée de courage, a décidé de porter plainte auprès du Service de police de la ville de Québec.
Une procureure aux poursuites criminelles et pénales, Me Rachel Gagnon, s’est immédiatement saisie de l’affaire.
A l’audience, la jeune femme raconte être victime de violences, de coups au visage, depuis son arrivée au Québec en 2003. Même les enfants du couple seraient régulièrement frappés, « dans un but d’éducation ».
Et c’est à l’audience qu’elle dévoile que son mari, un marocain de 40 ans, exigeait d’elle qu’elle se soumette à ses demandes sexuelles, envie ou non, les vendredis, samedis et dimanches.
«Il lui disait: “Écoute, si je te dis qu’on fait le sexe, c’est moi qui décide”», a indiqué au tribunal la procureure, en précisant que le musulman citait le Coran à la jeune femme pour justifier ses demandes.
Et lorsqu’elle a finalement annoncé son intention de divorcer «parce qu’elle le trouvait trop agressif», le marocain lui a dit que «pour quelques sous, il pouvait trouver quelqu’un pour lui brûler le visage et les parties génitales à l’acide», comme au Maroc. Et pour confirmer, «il lui a montré des articles sur internet relatant cette pratique», a ajouté la procureure.
Le juge Bernard Lemieux décidera aujourd’hui vendredi de remettre ou non en liberté le pieux musulman qui applique strictement le « livre incréé » auquel tout musulman doit obéir sous peine d’être un mauvais musulman.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Source : Journal de Québec
On appelle ça faire l’amour, vraiment ? Qu’est-ce que l’amour a à voir dans les coutumes barbares des mahométans qui méprisent les femmes et les considèrent moins que des animaux ? « Si elle refuse de se laisser baiser à chaque fois qu’il en a envie » ou « prendre » si les mots vous font peur. Au moins les anglais ont « have sex » qui est plus clair que le langage français, peu adapté aux rites d’accouplement des débiles barbares qui nous ont envahis.
Le Coran dit que la femme est un champ de labour pour son mari !!
il peut le » travailler » à sa guise .
Sourate 2 Verset 223 : la femme est un champs. Tu la bourres quand tu veux.
Dans l’islam, la femme est une perle précieuse, m’a dit une fois une musulmane. Une perle, qui est souvent aspergée d’acide, il me semble. Sort des plus funestes pour une perle!
Je plains ces malheureuses soumises à de tels barbares.
Une perle précieuse qui ne semble pas avoir sa place au paradis puisqu’il n’en est question nulle part…
On se demande si, à notre èpoque cela peut-être encore possible…
Si cela est encore possible?? Pour les musulmans, tout est possible, car ils vivent pas « encore » a notre epoque, qque 10 siecle en arriere.!!