Après les attentats terroristes islamistes du week-end dernier dans la capitale danoise, la phalange habituelle des apologistes de l’islam entra rapidement en action pour exonérer la belle « religion » de paix, de tolérance et d’amour de ces actes criminels.

Très vite, le premier ministre Helle Thorning-Schmitd arriva sur le lieu du premier attentat, l’Institut culturel de Krudttønden, pour y exprimer sa sympathie aux familles de la victime et des policiers blessés lors de l’échange de tir avec le terroriste el-Hussein.

Dans son discours, elle mit l’accent sur l’importance d’une union nationale en ces temps d’horreur. Lars Vilks, l’artiste suédois, devenu célèbre pour avoir dessiné Mahomet avec un corps de chien – probablement la cible du tueur – et l’Ambassadeur de France, étaient présents.

La première question, posée par un journaliste à Madame Helle Thorning-Schmid, fut : « Pensez-vous que ces attentats vont affecter les Musulmans au Danemark ? »

Par contre, aucun des journalistes présents ne demanda :

« Que comptez-vous faire pour nous protéger de la sauvagerie islamique ? »

 Ou :

« Pourquoi continuez-vous à accepter cet afflux massif d’immigrants musulmans, alors que nous avons été manifestement incapables d’intégrer, ceux qui sont déjà présents sur notre sol ? »

La seule préoccupation des journalistes concernait la stigmatisation possible de la communauté musulmane danoise …

Or, ces questions sont de plus en plus posées par un nombre croissant de citoyens ordinaires danois, mais jusqu’à présent, aucun politicien n’accepte de reconnaître le lien entre la terreur, l’immigration, la création de communautés musulmanes parallèles et l’islam.

Pourtant, tandis qu’il vidait son arme automatique contre la porte vitrée du centre de Krudttønden après avoir abattu le réalisateur de 55 ans Finn Norgaard qui se trouvait à l’extérieur, el-Hussein hurlait en arabe, mais ce « détail » fut passé sous silence.

El Hussein parvint à s’échapper et quelques heures plus tard, un peu avant une heure du matin, il se rendit devant la synagogue à Krystalgade dans le centre de Copenhague, pour y perpétrer le second attentat. Devant la synagogue, se trouvait Dan Uzan, 37 ans, un gardien bénévole de la communauté juive et deux policiers. Ils assuraient la sécurité, pendant que se déroulait une fête à l’occasion d’une Batmitzvah à l’intérieur du bâtiment, derrière la synagogue. El -Hussein parvint à s’approcher de la clôture, en se faisant passer pour un ivrogne, puis abattit Dan Uzan et blessa les deux policiers, dont les armes automatiques ne fonctionnaient pas.

Au moment de cette deuxième attaque, son identité était déjà connue de la police. Il fut tué quelques heures plus tard devant un building dans le quartier de Nørrebro, à forte population musulmane, après avoir ouvert le feu sur la police.

Deux individus, suspectés de complicité, âgés de 19 et 22 ans, furent arrêtés peu de temps après et incarcérés dans l’attente de leur jugement.

Aucune mention de l’islam dans les déclarations officielles

Après ces deux attaques, les politiciens auraient dû clairement comprendre que le Danemark faisait bien face au terrorisme motivé par la « religion » islamique et dirigé contre la liberté d’expression et la communauté juive, tout comme à Paris.

Néanmoins, aucun membre de la classe politique, que ce soit du gouvernement ou de l’opposition, ne crut bon de mentionner l’islam comme source d’inspiration de ces actes horribles. Bien au contraire, tous mirent l’accent sur l’importance d’une union entre toutes les religions.

Le leader de la communauté religieuse juive, (Mosaisk Troessamfund), Dan Rosenberg Asmussen, insista sur la nécessité pour les chrétiens, musulmans et juifs, de rester unis en ces temps d’adversité.

Dan Rosenberg Asmussen aurait été drôlement déçu, s’il avait entendu ce que l’imam Hajj Saeed de la mosquée Al-Faruq de Copenhague déclara à son troupeau, le jour avant les attaques terroristes.

Dans sa prêche, l’imam rejetait tout idée d’un dialogue interconfessionnel, car, comme il le fit remarquer à ses fidèles, le prophète avait déclaré la guerre à ses voisins juifs au lieu de s’engager dans un dialogue.

Le jour suivant les attentats, le porte-parole du principal parti libéral d’opposition (Venstre) déclara à la télévision :

« Laissez-moi être clair : nous avons à faire à un petit groupe, qui pervertit le coran. »

En d’autres termes, nous, les Danois, ne devons pas nous inquiéter, nous n’avons rien à craindre du nombre grandissant de musulmans dans notre pays, qui propagent l’islam …

Nous ne sommes une fois encore confrontés qu’à un ou à plusieurs musulmans ayant une conception totalement erronée de leur propre religion, une lecture toxique du coran.

Curieusement, le tueur lui ne faisait aucun mystère du fait qu’il agissait conformément à l’enseignement coranique.

Le samedi, à 15h24, neuf minutes avant la première attaque contre le Krudttønden, il posta le commentaire suivant sur sa page FB :

«Je suis les ordres d’Abu Bakr avec obéissance et humilité dans les mauvais jours, comme dans les bons et je ne désobéirai pas aux ordres reçus, à moins que je ne témoigne ouvertement d’incrédulité.»

Le message FB fut révélé par le quotidien national B.T., qui l’avait traduit de l’arabe en danois. Selon le journal, el-Hussein se référait au calife autoproclamé de l’EI, Abu Bakr al-Baghdadi, et lui témoignait de sa fidélité.

Un peu plus tôt, à 15h01, el-Hussein cita la sourate 59 – verset 2 sur sa page FB :

« C’est lui qui a expulsé de leurs maisons, ceux parmi les gens du Livre qui ne croyaient pas, lors du premier exode. Vous ne pensiez pas qu’ils partiraient, et ils pensaient qu’en vérité leurs forteresses les défendraient contre Allah. Mais Allah est venu à eux par où ils ne s’attendaient point, et a lancé la terreur dans leurs coeurs. Ils démolissaient leurs maisons de leurs propres mains, autant que des mains des croyants. Tirez-en une leçon, ô vous êtes doués de clairvoyance.”

Il semblerait donc que le tueur, Omar el-Hussein n’avait pas du tout mal interprété le coran. Il avait simplement suivi l’enseignement d’Allah et de son prophète. Mais l’islam n’est jamais coupable de rien … ce sont les sociétés occidentales les seules responsables.

Un petit groupe ?

Comment le ministre Inger Stojberg et les autres politiciens savent-ils que les Danois sont confrontés à un « petit groupe » ?

Ils devraient mieux s’informer, car il apparaît qu’Omar el-Hussein et ses complices ont un fan club à l’intérieur et autour de la zone musulmane de Nørrebro à Copenhague, comme cela a été démontré par la vidéo française publiée dans le blog Gates of Vienna.

La TV danoise avait interrogé d’autres jeunes musulmans qui exprimèrent ouvertement leur soutien à el-Hussein et déclarèrent publiquement que quiconque osait critiquer le prophète – comme dans ce cas, l’artiste suédois Lars Vilks – devait être tué.

(Les équipes des télévisions danoise et française n’eurent aucun problème à trouver des musulmans dans la rue qui soutenaient et faisaient l’éloge des actions d’Omar el –Hussein ou apportaient des fleurs, transformant le lieu où l’islamiste fut abattu par la police, lors d’un échange de tirs, en mémorial.)

En outre, l’organisation musulmane radicale Hizb ut-Tahir, qui régulièrement rassemble plus d’un millier de supporters lors de manifestations à Copenhague, refusa de condamner ces actes de terreur.

A se demander pourquoi cette organisation d’illuminés n’est pas interdite au pays de la petite sirène et ailleurs en Occident.

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Ces tarés d’Allah militent ouvertement pour le renversement des démocraties et l’instauration d’une théocratie fasciste.

Le Hizb ut Tahrir, c’est la charia : interdiction des partis non islamistes, exécution des homosexuels, des apostats, des blasphémateurs et des adultères, soumission et infériorisation des femmes et des non musulmans, et autres violations graves des droits humains.

Leur chanson thème : les musulmans en marche vers la victoire :

Junes Kock, un converti, devenu le porte-parole pour la Scandinavie de cette organisation islamiste radicale, déclara, dans un communiqué de presse :

“Il est vital, pour nous musulmans, de ne pas nous distancier [des actions d’el- Hussein], mais de placer les faits dans leur contexte exact. Ce sont les politiciens et médias danois qui devraient s’éloigner des politiques qui ont créé les circonstances menant à la haine, aux menaces, aux attaques violentes et éventuellement au meurtre, quelles que soient les victimes. Nous ne devons en aucune circonstance céder à la pression ou accepter l’hypothèse que l’islam est le coupable. »

L’Hizb ut-Tahrir peut être rassuré : l’islam ne sera pas mis sur le banc des accusés.

Selon toute probabilité, les politiques et les médias continueront à clamer que les Danois n’ont rien à craindre de l’islam.

La question est de savoir si les citoyens danois ordinaires continueront à croire en leurs mensonges rassurants.

Au Danemark, comme partout ailleurs en Occident, après un attentat commis par un ou des musulmans au nom d’Allah Akbar, le même discours d’apaisement, de plus en plus indigeste dans son déni de la crue réalité, retentit :

« Ce sont les Musulmans les principales victimes des crimes commis au nom de l’islam. »

Peu importe si les victimes de ces crimes sont majoritairement des non musulmans, des chrétiens, des juifs. Les familles des 21 chrétiens coptes décapités par les égorgeurs de l’Etat islamique apprécieront sans doute. L’important, c’ est de rassurer la communauté musulmane d’où sont issus les tueurs d’Allah, de condamner d’éventuels actes anti-musulmans, et d’interdire toute critique de l’islam.

Plus ou moins 500 musulmans ont participé aux funérailles de l’assassin el-Hussein à Copenhague. Ces musulmans approuvaient les meurtres de deux innocents, l’un coupable à leurs yeux de défendre la liberté d’expression, l’autre, coupable d’être juif.

Serait-ce une pure utopie d’imaginer qu’un jour 500 ou 1000 musulmans descendront dans la rue pour protester contre les attaques meurtrières d’islamistes pour délit de blasphème, contre les attentats sanglants visant les synagogues, les écoles, les magasins cacher, ou pour dénoncer tout simplement l’antisémitisme ?

Sans doute, oui.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : Terror Strikes Copenhagen « It Is the Danes’ Fault » by Lars Hedegaard
http://www.gatestoneinstitute.org/5239/terror-copenhagen