A la faveur d’une comparution devant le tribunal d’Amiens pour violences, une mère de 8 enfants dont 6 lui ont été retirés, déclare au juge qu’elle touche 2300€ par mois : presque 1 000€ de RSA couple, et 1 300 euros d’allocations familiales. 2300€ sans travailler, avec deux enfants à charge…
[quote]« J’arrête tout de suite de travailler et je vais me mettre à pondre » s’exclame l’avocate[/quote]
Stupeur dans la salle d’audience, indique le Courrier Picard qui rapporte la scandaleuse affaire, au point qu’une des avocates, après avoir vérifié que les papiers tendus par la délinquante confirment ses dires, s’exclame : « J’arrête tout de suite de travailler et je vais me mettre à pondre ».
Philippe Théveniaud, le président de la caisse d’allocations familiales de la Somme, confirme l’abérant laxisme qui consiste à maintenir les allocations aux parents dont les enfants leur ont été retirés :
« Je suis souvent interpellé sur le sujet mais on ne peut rien faire. En tant que CAF, je dois respecter la loi. C’est vrai, dans 80 % des cas, les familles continuent à toucher les allocations. De la même manière, depuis huit ans que je suis président, jamais un préfet n’a demandé la suspension des allocations pour un enfant déscolarisé. Les politiques parlent beaucoup mais c’est à eux de légiférer ! »
En réalité, la loi existe, mais elle n’est pas appliquée, déplore Christophe Béchu, sénateur-maire UMP d’Angers. La loi prévoit la suspension du versement des allocations à l’ASE (aide sociale à l’enfance) quand les enfants sont retirés au parents, et le maintien une exception.
« Le problème, c’est que l’exception est devenue la règle ! dit Christophe Béchu qui précise qu’il a « été interpellé par des familles d’accueil dans mon département, ulcérées que des parents auteurs de maltraitances graves continuent à toucher l’allocation de rentrée scolaire et s’en servent pour acheter un écran plat. Je pensais que sur un tel sujet, on pouvait obtenir un consensus au nom du bon sens et j’avais travaillé avec mon collègue de l’Aisne, Yves Daudigny ».
« Comment expliquer aux parents qui élèvent leurs enfants que d’autres, qui ne supportent aucune charge, perçoivent les mêmes allocations ? » ajoute C. Béchu, qui précise que la collectivité, dans ce cas, supporte deux fois la charge des enfants retirés :
« L’absurdité de ce système, c’est que quand le juge désigne pour s’occuper de l’enfant un tiers de confiance – l’oncle, la grand-mère ou la marraine – il lui attribue les allocations ».
Et rappelle que « quand des parents ont la terrible douleur de perdre un enfant, les allocations sont supprimées.»
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.
Source : Le Courrier Picard
Elles ne les éduques meme pas !
Des dysfonctionnements du millefeuille français : qui fait quoi ? les fichiers pas mis à jour et ça roule vaille que vaille, c’est vrai pour le cas de cette personne, c’est vrai aussi pour les djihadistes à qui on continue allègrement à verser le RSA c’est autrement plus grave lorsque ça touche notre sécurité
C’est la gabegie à la Française, que des élus et des fonctionnaires qui ne sont responsables de rien et pou’ cause ce n’est pas leur argent, je suis sure que si on creuse un peu dans le système d’aides sociales, des histoires pareilles il y en a des milliers. La France est un pays riche mais avec un tel laisser aller, elle s’appauvrit et nous nous devons payer de plus en plus d’impôts de taxes de charges; etc…
On comprend mieux pourquoi Ibrahim-Au-Fisc pourrait dire « Pays de M….e !!! »
Le peut de fonctionnaires qui travaillent sur les dossiers comme celui ci, et autre, ramènes largement leurs payes mais malheureusement ils ne sont pas assez nombreux.
Une responsable à la secu qui avait enregistré un Sri Lankais à la CMU sur une simple déclaration verbale de son nom (sans justifier de son identité)et d’une adresse postale à une association pour qui j’avais fait l’interprete en Anglais, m’étant etonné devant tant de facilité accordée, je m’étais vu répondre, »moi je fait mon travail, je ne suis pas de la police », on ne doit plus s’etonner de toute cette gabgie à nos frais.