Les familles des trois adolescentes qui se sont enfuies mi-février de Londres pour rejoindre la Syrie ont critiqué la police britannique pour avoir manqué de les avertir du risque de radicalisation des adolescentes.
Shamima Begum, 15 ans, Kadiza Sultana, 16 ans, et Amira Abase, 15 ans, toutes trois scolarisées à la Bethnal Green Academy (est de Londres), ont quitté la capitale britannique le 17 février, pour se rendre à Istanbul. Elles sont soupçonnées d’avoir depuis rejoint les djihadistes du groupe État islamique (EI) en Syrie.
Toutes trois avaient fait partie du groupe de sept jeunes filles entendues par la police début décembre 2014 alors que les forces de l’ordre enquêtaient sur la disparition d’une élève de cette école, partie en Syrie.
Deux officiers de la section antiterroriste (SO15) de la police britannique sont retournés à la Bethnal Green Academy début février, pour parler de nouveau à ce même groupe d’adolescentes.
Au cours de cette deuxième réunion, la police leur a donné des lettres à transmettre à leurs parents, visant à demander la permission pour une audition plus approfondie. Mais les jeunes filles n’ont pas transmis ces lettres à leurs familles.
«Nous n’en serions pas là aujourd’hui si nous avions vu cette lettre», a estimé sur la télévision ITV News la soeur de Kadiza, Halima Khanom, regrettant que la police ne l’ait pas donnée directement aux familles.
«Nous les aurions arrêtées. Nous en aurions discuté et nous aurions confisqué leurs passeports. Cela ne serait pas arrivé», a quant à lui assuré le père d’Amira, Abase Hussein.
«Avec le recul, nous reconnaissons que les lettres auraient pu être données directement aux parents», a admis la police dans un communiqué publié samedi.
«Cependant, les parents avaient été mis au courant par la direction de l’école du départ de la première fille en Syrie (et savaient) que toutes les adolescentes se montraient coopératives, qu’elles étaient toutes traitées comme des témoins potentiels et qu’absolument rien n’indiquait qu’elles avaient elles-mêmes l’intention de se se rendre en Syrie», pointe Scotland Yard.
La police britannique a précisé que l’enquête sur la disparition de ces jeunes filles continuait, sous la houlette du SO15 assisté par les «autorités turques qui font de bons progrès dans la poursuite de l’enquête en Turquie».
«Cela reste une priorité d’empêcher les gens de voyager pour rejoindre des groupes terroristes, qu’ils soient des terroristes déterminés, des individus radicalisés ou des adolescents vulnérables», rappelle la police.
http://www.lapresse.ca/international/europe/201503/07/01-4850142-les-familles-des-jeunes-filles-parties-en-syrie-critiquent-la-police.php
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Ces familles feraient beaucoup mieux en s’attaquant aux diffuseurs du coran , vendeurs , éditeurs et imams de toutes engeances , tout est écrit dans ce livre de guerre à l’Occident …
Si ces familles veulent vraiment bien faire, elles n’ont qu’à faire une grande interview sur les dangers potentiels de l’envoi de jeunes filles en Syrie.
Et si ces jeunes filles veulent faire quelque chose également, elles peuvent témoigner de leur quotidien (qui a dû être du Djiad sexuel) et la manière dont elles ont été enrôlée.
Cela éviterait peut-être à d’autres de se faire avoir !
Mais ces jeunes filles et leurs familles ont-elles vraiment envie de témoigner ? J’en doute ! Mieux vaut accuser la Police, dans la parfaite continuation du Djiad (accuser l’Occident) et le but en est bien sûr d’en tirer de l’argent !
Au Royaume Anglais de faire son travail et de les payer pour qu’elles témoignent dans une émission.
On verra alors la véritable motivation de ces gens : avertir et empêcher d’autres jeunes de se faire avoir ou juste traîner la Police en Justice afin de demander de l’argent !
la police n’est pas fautive si les jeunes filles sont parti faire le jihad ?
les parents sont fautifs de ne pas avoir surveiller leur fille qui se radicalisait !! c’est eux qui en sont responsables , non ?
maintenant ils ont les yeux pour pleurer !!