La France moisie et haineuse à l’œuvre : le cimetière Saint-Roch de Castres a été vandalisé, les services de la Ville ont constaté 216 dégradations de tombes : crucifix arrachés, croix descellées, statues brisées…

Le maire de la ville, Pascal Bugis (DVD), avait initialement évoqué le nombre de 250 à 300 tombes vandalisées. Dans la soirée, la procureure-adjointe de Castres, Charlotte Beluet, revoyait ce chiffre à la baisse, évoquant 80 tombes dégradées. Puis jeudi 16 avril, dans la matinée, le chiffre était finalement porté à 216, après un comptage effectué en fin de soirée par les services de la Ville.

Aucune inscription, tag ou revendication n’a été retrouvée dans le cimetière et aucune sépulture n’a été ouverte.

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Dans la droite ligne de l’atmosphère christianophobe que font régner les autorités françaises, le parquet de Castres a déjà décidé que rien ne permet de dire qu’il s’agisse d’«actes à caractère religieux ou racial»…

Notons tout de même que le gouvernement n’est pas resté indifférent.

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• Bernard Cazeneuve se rendra sur place, jeudi 16 avril,
• Le président de la République a condamné ces « actes indignes qui portent atteinte aux valeurs de notre République »,
• Et un communiqué de l’Élysée indique que « tout serait mis en œuvre pour que les auteurs soient rapidement identifiés et punis », ce qui, nous le savons, est un mensonge : ils seront identifiés, mais pas punis.

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Alors que les politiques ont la bouche pleine du mot islamophobie, ce sont les agressions et profanations contre la chrétienté qui posent le vrai problème de l’intolérance, en France.

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