La justice française a relaxé les deux policiers poursuivis pour non-assistance à personne en danger, après la mort de deux « jeunes » qui s’étaient réfugiés dans une centrale électrique et avaient été electrocutés, déclenchant une vague d’émeutes dans tout le pays. 10 ans avant de les relaxer, c’est un vrai gâchis pour les deux policiers.
Un drame s’était produit, le soir du 27 octobre 2005, lorsqu’à Clichy-sous-Bois, trois « jeunes » s’étaient enfuis en voyant la police, et s’étaient cachés dans un transformateur électrique. Deux d’entre eux, Zyed Benna, 17 ans, et Bouna Traoré, 15 ans, avaient trouvé la mort, électrocutés.
Leur décès avait donné le prétexte à trois semaines d’émeutes dans toute la France.
Mais le tribunal correctionnel de Rennes, après dix ans de procès, a conclus que les deux policiers (en fait un policier et une policière) n’ont commis aucune faute et n’étaient pas coupables.
[quote]Ces jeunes ont été imprudents, ils sont totalement responsables de leur mort[/quote]
Le tribunal a ainsi confirmé ce qu’on sait depuis 10 ans : ces jeunes ont été imprudents, ils sont totalement responsables de leur mort, aussi tragique qu’elle fût, et 10 ans de la vie de deux policiers a été suspendue inutilement.
Le tribunal correctionnel de Rennes a relaxé les deux policiers, Sébastien Gaillemin et Stéphanie Klein, poursuivis pour non-assistance à personne en danger.
Le procès, qui s’est tenu du 16 au 20 mars dernier, opposait deux thèses autour d’une même phrase : celle de Sébastien Gaillemin, gardien de la paix qui, en voyant des jeunes se diriger vers l’installation électrique, avait dit sur la radio de la police : «S’ils rentrent sur le site EDF, je ne donne pas cher de leur peau».
Stéphanie Klein, alors au standard du commissariat de Livry-Gargan, avait reçu l’appel.
Pour les parties civiles, cette phrase révélait que les fonctionnaires de police savaient que les jeunes risquaient leur vie et avaient volontairement omis d’alerter les secours.
Pour la défense, cette phrase démontrait que le danger évoqué était hypothétique. «S’ils rentrent…» démontrait que les policiers ne savaient pas si les jeunes étaient entrés ou pas.
D’ailleurs le policier avait vérifié, et n’avait trouvé personne dans le site EDF.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
c’est exactement la réflexion que nous nous sommes faite ! Par dessus le marché rien ne prouve que la gauche à l’époque n’avait pas rajouter un peu d’huile sur le feu juste pour emmerder le monde ! Ca vous étonnerait ?
Huile sur le feu :
http://blogs.mediapart.fr/blog/edwy-plenel/261009/m-besson-la-france-est-clichy-sous-bois
Mignard un avocat très proche du ps , rien que ça un livre pour en rajouter, ils n’ont vraiment peur de rien à gauche , tant pis pour la couverture médias montrée dans le monde entier parlant de RIOTS en France . Il me semble que « ségoparcequec’estunefemme » avait lancé une menace du meme genre et il y avait aussi Hamadi .. sur une autre histoire filmée en caméra cachée (mobile) maintenant tous journalistes, donc attaqué hamadi avait mis en garde si je veux je fais descendre la banlieue .
la nausée c’est faible !
Amal gametou en plus l’avocat des famille est ……justement Mignard – avec qui ,entre autre chose , travaille un des fils hollande et royal
en plus j’ai cru comprendre que les familles réclament des compensations sonnantes et » très buchantes » chiffrées en millions
réclamaient !
Hamadi , c’est l’ethnosexologue ?
De plus sur tous les transformateurs edf, même les plus petits situés en rase campagne est écrit l’inscription:
« Danger de mort »
Il est vraiment triste de perdre la vie de cette façon.
S’ils se sont cachés, c’est qu’ils avaient quelque chose à se reprocher et craignaient la police. Il est toujours plus facile de culpabiliser l’autre que de reconnaître ses propres fautes. La Moralité Islamique prescrit-elle de ne jamais reconnaître ses fautes et de toujours culpabiliser l’autre?
Toujours !… un islamiste pris la main dans l’sac vous affirmera que c’est pas sa main !
Asher Cohen : il semble que la porte du local à l’époque était fracturée et que les « jeunes » avaient l’habitude de s’y introduire , allez savoir pourquoi ?
qui se souve=ient encore des meneurs des manifs anti CPE de de Villepin ?
Hamad et Bruno Julliard dans le role des représentants des lycéens , à l’époque Julliard avait 26 ans ! total tous les deux ont été largement remerciés par la gauche
Une chose est sûr, ils ne savaient pas lire car ils n’allaient pas à l’école. :silly: