La police a abattu deux musulmans qui ont ouvert le feu avec des fusils d’assaut AK-47 (Kalashnikov), près d’un centre où se tenait un concours de caricatures de Mahomet, à Garland, en banlieue de Dallas au Texas.

[quote]L’islam, un danger planétaire uniforme[/quote]

Le concours de dessins de Mahomet (ou Muḥammad ou Mohammed), était organisé par l’association «American Freedom Defense Initiative» de Pamela Geller, qui lutte pour montrer le vrai visage de l’islam : un danger planétaire uniforme, et empêcher qu’il impose, par la terreur comme pour Charlie Hebdo, ses lois totalitaires au monde libre. Geert Wilders, l’un des invités, venait de terminer un discours sur les dangers de l’islam.

Deux islamistes «se sont approchés en voiture» du Curtis Culwell Center de Garland, où se tenait le concours de caricatures, et ils ont ouvert le feu contre un agent de sécurité, le blessant à la cheville.

Selon le site internet SITE, l’attentat a été revendiqué par des « sympathisants » de l’Etat Islamique (EI).

Le 3 mai, Abu Hussain Al Britani a twitté que «deux de nos frères ont ouvert le feu contre l’exposition artistique du prophète Mahomet au Texas» car «Ils pensaient qu’ils étaient à l’abri des soldats de l’Etat islamique au Texas».

Robert Spencer, de Jihad Watch, que les négationnistes du fait islamique qualifient d’islamophobe parce qu’il dénonce les dangers de l’islam, avait prévenu, lors d’une conférence à l’Université Madison du Wisconsin, le 29 avril dernier, que l’Etat islamique allait frapper aux Etats Unis — soit quelques jours seulement avant la tentative d’attentat de grande envergure projetée par les terroristes, lors du concours de caricatures organisé par l’AFDI et Jihad Watch à Garland.

200 personnes sauvées grâce à la loi sur les armes

L’attentat s’est produit au Texas, et heureusement pour la vie des 200 participants, les armes sont autorisées – et chargées.

Quand les terroristes ont tiré, les deux policiers sur place ont immédiatement dégainé et les ont abattu. Ils n’ont pas hésité un instant, et les médias locaux rapportent que la fusillade n’a duré que quelques secondes.

Sans cela, et les grands médias ont préféré feindre l’ignorer, les djihadistes auraient pénétré dans la salle, et auraient commis un carnage, comme leurs frères islamistes au Musée du Pardo à Tunis le mois dernier.

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Il me semble également essentiel de rappeler – les médias ne le font pas non plus – que l’Amérique repose sur des valeurs judéo-chrétiennes où la différence entre le bien et le mal est clairement comprise de tous, que ce ne sont pas des notions relatives, que la vie humaine est la chose la plus sacrée, et que chaque Américain comprend qu’il est de son devoir de la protéger.

C’est parce que les policiers américains croient en ces valeurs qu’ils n’ont pas hésité à se débarrasser de deux monstres. Les 200 personnes et dessinateurs visés par l’attentat doivent la vie à ces valeurs.

Par comparaison, on se souvient que la protection policière avait été supprimée devant Charlie Hebdo parce qu’en France, la vie humaine ne vaut pas grand chose – les faibles condamnations des criminels le montrent, et qu’il est notoire que les armes des policiers ne sont pas chargées – pour ne pas risquer, parce que les coupables sont considérées comme des victimes, de blesser les voyous.

Nul n’a besoin d’une imagination débordante pour se représenter la salle et ses participants, si les policiers n’avaient pas d’armes chargées, pas les idées très claires sur la valeur de la vie humaine, et s’ils n’avaient pas tiré, neutralisant les deux terroristes armés de Kalashnikov.

« Je préfère vos condamnations à vos condoléances » disait le premier ministre israélien Golda Meir. Quelque chose me dit que les caricaturistes sauvés par ces policiers armés, alors que la gauche américaine dénonce le port d’arme, doivent approuver sa pensée, ce matin.

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