N’allez jamais pour vos vacances dans un pays islamique, et si vous y allez, « faites attention à ce que vous portez », disent les dépliants touristiques. Ne laissez rien apparaître de votre corps, pas de gestes déplacés comme par exemple embrasser sa copine publiquement, il faut être nickel quand vous êtes chez eux. Ils sont la pudeur incarnée.
Et pourquoi autant de censure vestimentaire et gestuelle ? Tout simplement, pur ne pas exciter leurs bas instincts qu’il leur est impossible de maîtriser.
Que vous vous voiliez ou non ne change rien, en réalité, au fond du problème : plus de 75% des femmes égyptiennes, avec une préférence pour les voilées, ont subi des assauts sexuels dans les rues.
Cachez-moi cette chose que je ne veux pas voir, c’est juste pour ne pas gâcher le plaisir à l’abri du regard, entre potes ou copines. Chez eux, tout doit se faire derrière les rideaux, et ce n’est pas par hasard qu’ils sont les plus grands consommateurs de films pornos. Il paraît que la pornographie orientale est en plein essor – très recherchée par les occidentaux et les asiatiques.
Mais qu’ils finissent par tomber le masque de leur pudibonderie et nous foutent la paix pour toujours !
Des faux-culs rien de plus rien de moins.
S’ils étaient réellement ce qu’ils prétendent, ont-ils besoin de leur accoutrement indécent et immoral ? Quand on a rien à se reprocher, a-t-on besoin de faux-semblants ?
En quoi l’islam adoucit les moeurs et calme leurs ardeurs sexuelles ?
En quoi est-il un vecteur de morale, quand plus d’un enfant de moins de 11 ans sur quatre est victime d’abus sexuels, dans le pays le plus fidèle à l’héritage mahométan ?
L’écrivain britannique Martin Amis lie « le terrorisme à la frustration sexuelle de l’homme musulman, dont l’exutoire serait de commettre des attentats contre des édifices phalliques » qui lui ouvrent les perspectives de l’érection éternelle.
Le Coran lui-même s’articule autour du sexe, de la violence et du sang. Les musulmans ont un rapport animal avec le sexe.
Aucun prophète quel qu’il soit, faux ou vrai, n’a inscrit le sexe en tête de chapitre de ses préceptes.
Une religion qui légitime la pédophilie est porteuse des germes destructeurs de la vie humaine et devrait être bannie de la surface de la terre. L’islam n’est pas un crime contre l’humanité, il est son fossoyeur.
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Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Salem Ben Ammar pour Dreuz.info.
Voilà qui est bien dit M. Ben Ammar !
Je suis allée en Tunisie il y a une quarantaine d’années ; c’était une très belle expérience.
Les femmes voilées y étaient minoritaires.
Depuis je n’ai plus jamais mis les pieds dans un pays islamique et je n’irai plus jamais.
En France, on en viendra à se demander qui se cache sous cet accoutrement !
Comment contrôler les papiers ? :ghost:
Quand un enfant dans les 10 ans est victime, c`est pas « ardeure sexuelle », c`est signe de l`impotence. Chose verifiee par docteurs psychiatre. Ni erection ni eternelle. !! Bla Bla a l`Arabe.
Islam dehors!
DE L’AVENIR DES PULSIONS EN TERRE ARABO-MUSULMANE
Ce que j’écris peut se passer en tout pays musulman et ailleurs aussi
Un penseur écrivain philosophe arabe invité il y a quelques temps sur France Inter disait que ce qui se passait en Egypte résultait de sa démographie. En effet quand la démographie gonfle, ça veut dire qu’elle produit un grand nombre d’enfants, dont il faudra faire des « adultes occupés », non oisifs, car on le dit « l’oisiveté est mère de tous les vices ».
Ces enfants du « surplus de grossesses » ont donc gonflé la démographie égyptienne et provoquer « un déséquilibre de l’entente ENTRE EGYPTIENS DEJA et entre égyptiens et égyptiennes d’autre part.. Pourquoi?
1) parce que ce trop plein d’enfants, (comme en Algérie) n’a pas pu bénéficié d’un enseignement laïque et ouvert, puisque ces pays délèguent le « rôle éducation-instruction » aux écoles coraniques. Lieu où l’égalité homme femme ne fera jamais partie de l’enseignement. Bien souvent ce sont les enfants des masses populaires qui vont dans ces écoles ». Les enfants de la bourgeoisie iront dans d’autres écoles c’est évident.
2) au sortir de ces écoles, ces enfants là seront confrontés à « leur réalité sociale » sans possibilité de créativité quelconque, car pour créer il faut de l’argent. Pour créer, il faut aussi de l’imagination. En quoi est-ce que les écoles coraniques insufflent de la créativité? Est-ce leur rôle? Même si on leur proposait d’enseigner « la créativtié », aux enfants, il est fort possible qu’elles le refusent parce que ce qui compte, c’est transmettre la parole de Dieu.
Donc, au sortir de ces écoles, il leur reste à vivre de petits boulots temporaires qui n’assureront pas leur survie et celle de leur famille. Car dans ces sociétés « l’individualisme » ne peut se concevoir. Ce serait la mort economique assurée.
Quand l’espoir ne fait plus vivre, que reste-t-il? Chacun d’entre nous glisserait vers un état dépressif ou revendicatif. Dans les deux cas c’est un combat intérieur qui commence: PULSION DE MORT CONTRE PULSION DE VIE. « La possibilité du suicide n’existe pas ou peu dans ces pays ». Donc l’immense frustration ressentie va s’exprimer d’une manière ou d’une autre.
Qui va en payer le prix de CE combat qu’un jeune mène à l’intérieur de lui? Grâce à l’enseignement islamique, le jeune homme saura que la femme vaut bien peu et que quoi qu’il fasse pour décharger LE SURPLUS D’ANGOISSE QUI L’ACCAPARE, il peut en premier le décharger en ACTES D’IRRESPECT DE TOUTE SORTES ENVERS LA OU LES FEMMES. C’est pour cela que bien des actes odieux envers les femmes ne sont pas punis. Et la femme elle-même n’ira pas se plaindre, car faire savoir aux autres qu’on a été harcelée, agressée et surtout souillée lors d’un viol, par exemple, se retourne contre elle-même. Elle devient une « paria ». Au pire, et selon le coran, elle pourra être épousé par son violeur (certaines ont préféré se suicider plutôt que de s’unir à leur barbare).
Oui ce philosophe, écrivain, arabe, avait raison. LA DEMOGRAPHIE A SES LIMITES. Il y a un moment où on ne peut plus gérer l’homme et le nombre. Et quand cet homme est privé d’espace, d’intelligence, de créativité, mais surtout contraint d’assimiler un dogme religieux autoritaire, quel qu’il soit, ON EN ARRIVE A CETTE FACON DE FONCTIONNER LA. Et la première est cet irrespect de la femme que l’on a pu constater en Egypte, ces dernières années. Mais elle s’exprime aussi dans d’autres pays à la démographie élevée.
Quand NASSER est arrivé au pouvoir, les frères musulmans ont demandé que les 10 millions de femmes non voilées, deviennent voilées. La protection de NASSER n’a duré qu’un temps.
Les hommes égyptiens (ne trouvant pas de travail en Egypte) sont allés travailler dans les EMIRATS ARABES où ils furent imbibés de la culture BEDOUINE. Et que s’est-il passé à leur retour? De plus en plus de femmes se sont voilées. Connaissez-vous beaucoup de femmes non voilées en Egypte, maintenant?
Est-ce que le voile les rend plus respectables aux yeux des jeunes hommes?
Ainsi-soit-il.