Publié par Jean Vercors le 7 octobre 2015

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Xavier Broseta, DRH d’Air France, a été agressé par des salariés enragés, lundi 5 octobre, alors que la direction a annoncé que 2.900 postes étaient menacés par un plan de restructuration.

Le même sort a été réservé au directeur d’Air France Orly, Pierre Plissonnier, également violemment pris à partie par d’autres salariés, membres du syndicat communiste.

La direction d’Air France a condamné fermement les violences physiques lors d’un comité central d’entreprise, interrompu par l’intrusion de salariés excités.

Les incidents ont fait plus de 10 blessés dont 1 grave, un agent de sécurité, qui a été hospitalisé, a affirmé un porte-parole de la compagnie en début de soirée.

Deux agents de sécurité, dont l’un est tombé dans le coma, figurent parmi les blessés.

Les cinq autres blessés sont tous des salariés d’Air France, dont le DRH Xavier Broseta, Pierre Plissonnier, responsable du département long courrier à Air France, et trois autres membres de la direction, a précisé le porte-parole.

“Une plainte sera déposée pour violences aggravées”, a indiqué la direction dans un communiqué transmis à l’AFP.

Le directeur des ressources humaines a en réalité failli être lynché par les fascistes rouges, et a dû quitter la salle en escaladant des barrières.

Le syndicalisme, en France a adopté les principes du fascisme.

Pourquoi cette violence ? Parce que la CGT est un mouvement extrémiste de gauche.

Une fois de plus, l’extrême gauche a montré son mépris pour la démocratie, et la violence est son mode d’expression le plus courant. C’est aussi la caractéristique de ceux qui n’ont pas grand-chose à dire.

Je suis abasourdi par l’attitude scandaleuse du gouvernement, actionnaire à hauteur de 17%, qui laisse pourrir la situation.

Le service d’ordre de la CGT a-t-il laissé faire les agresseurs ? Des responsables syndicaux de la compagnie aérienne accusent, sous couvert d’anonymat, le service d’ordre CGT d’avoir été laxiste et complaisant envers les assaillants.

En janvier 2014, des responsables syndicaux CGT Air France ont été pris en flagrant délit en train de faire une quenelle nazie, tandis que des cégétistes affichaient leur soutien à l’humoriste sur Internet.

Selon Libération, Mehdi Kemoune, secrétaire général adjoint de la CGT Air France, est un soutien de l’antisémite Dieudonné.

Le 6 janvier 2014, il postait sur son compte Facebook (lequel met en avant son appartenance à la CGT) un détournement du logo de SOS Racisme (une main jaune et l’inscription «Touche pas à mon Dieudo»), ainsi qu’un lien vers un article du site allainjules.com, qui affiche son soutien à Dieudonné.

La CGT a également rejoint le groupe antisémite BDS, et appelle à la libération des terroristes palestiniens – elle le dit haut et fort dans les pages de l’Humanité, afin qu’ils puissent commettre de nouveaux attentats et tuer des civils juifs innocentes. Délicieux n’est-ce pas ?

Ce syndicat, d’obédience islamo-communiste reçoit régulièrement la délégation de l’Association France Palestine Solidarité (AFPS) pour aborder différentes questions liées au conflit israélo-palestinien. Le 23 juillet 2014, avec Taoufiq Tahani, président de l’Association islamiste, il avait organisé une manifestation de haine contre Israël qui déclencha l’intifada de Barbès contre les forces de l’ordre.

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La CGT, qui n’est plus le premier syndicat d’Air France, est le plus violent de tous.

Là où la CGT passe, les entreprises trépassent. Souvenez-vous de l’entreprise Chaix, du paquebot France, de la SNCM etc.

Le paradoxe est qu’elle prétend défendre les travailleurs, qui n’y voient que du feu, jusqu’au moment où ils sont licenciés et où les syndicalistes, protégés, restent en poste.

La CGT est néo-stalinienne. Elle cultive cyniquement une réputation plus « contestataire » que la CFDT ouvertement alignée sur le Parti communiste.

Un de mes amis, salarié d’air France, me disait : “Mais de quel droit me ponctionne-t-on mes impôts pour financer ce syndicat destructeur d’emplois et totalement nihiliste ?” La CGT qui casse les entreprises, encourage le chômage, veut détruire la démocratie, imposer la lutte du prolétariat, et détruire la petite bourgeoisie.

Braves travailleurs, attention ou vous mettez les pieds.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.

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