Publié par Rosaly le 4 octobre 2015

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Le choix du Pape François de faire accueillir inconditionnellement les clandestins, majoritairement musulmans, dans les paroisses, est le coup de grâce qui brisera le lien de confiance et portera irrémédiablement préjudice au rapport spirituel avec les Chrétiens d’Orient.

Le Pape François semble ou feint d’ignorer que l’Occident se trouve submergé par une invasion planifiée par le régime islamique turc d’Erdogan et par le terrorisme islamique, qui dès 2011 prit le contrôle des côtes libyennes, dans une stratégie d’islamisation démographique de l’Europe.

L’Eglise de Rome a non seulement déçu, mais également trahi les attentes des Chrétiens d’Orient, les autochtones, qui résistèrent à l’islamisation forcée de leurs régions, dès le VIIe siècle.

A cette époque, les Chrétiens représentaient 98% de la population sur les rives méridionale et occidentale de la Méditerranée. Ce chiffre chuta à 20% en 1945 et à moins de 6% aujourd’hui, et ce pourcentage diminuera encore d’ici 2020. Depuis la seconde guerre mondiale, environ 10.000.000 de chrétiens ont été forcés de quitter les pays arabes.

La décision d’acquiescer à toutes les requêtes, émises par les gouvernements islamiques, en s’imaginant ainsi protéger les Chrétiens, l’adoption du relativisme religieux avec la «Déclaration Nostra Aetate» en 1965, par la légitimation de l’islam, en soutenant la théorie que les deux religions croient en un Dieu unique, vivant, miséricordieux et omniprésent, et que l’Eglise catholique ne rejette rien de ce qui est vrai et sacré dans ces deux religions, a de fait légitimé la suprématie de l’islam et favorisé l’exclusion du christianisme.

• Jean Paul II, qui embrassa le coran le 14 mars 1999, fut le premier Pape à prier dans une mosquée, la grande mosquée des Omeyyades à Damas le 6 mai 2001, et convoqua la première prière interreligieuse à Assise le 24 janvier 2002.

• Le 30 novembre 2006, Benoît XVI, pour réparer la soi-disant offense à l’islam suite à la «Lectio magistralis de Ratisbonne» fut plus ou moins obligé de prier à la Mosquée bleue d’Istanbul, là ou le Pape François allait se rendre le 29 novembre 2014.

• A Strasbourg, le 25 novembre 2014, le Pape François a été jusqu’à se rendre disponible pour dialoguer avec les terroristes de l’EI :

« Je ne ferme les portes à personne (…) Je ne donne jamais rien pour perdu. Peut-être, sera-t-il difficile d’entamer un dialogue, ou quasi impossible, mais la porte est toujours ouverte.”

C’est très louable de sa part de vouloir dialoguer avec les égorgeurs de l’EI, mais sa proposition restera sans doute longtemps lettre morte, et les effets nuls.

De même, il mit sur le même plan le terrorisme islamique et le terrorisme d’Etat :

« Avec les terroristes, de nombreux innocents perdent leur vie. Si la menace terroriste existe bel et bien, il y a également une autre menace, c’est le terrorisme d’Etat. »

Les positions du Pape François sont rejetées par les prélats catholiques d’Orient

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L’Evêque catholique syrien, Issam John Darwich, déclara le 4 avril 2013 :

« Nous sommes victimes d’un complot international. Aujourd’hui, après, ce que vous les Occidentaux appelez les « Printemps arabes », la Syrie s’est transformée en quartier général des terroristes islamiques. Si l’Europe n’aide pas les Chrétiens du Moyen Orient, son tour arrivera également.»

Monseigneur Emil Nona, archevêque de Mosul, lors d’une interview au quotidien Avvenire le 12 août 2014 affirma sans détour que les terroristes islamiques représentent la véritable vision de l’islam :

« La base est la religion islamique elle-même. Dans le coran il y a des versets, qui appellent à tuer les Chrétiens et tous les autres infidèles. Le terme « infidèle » dans l’islam est une terme très fort : l’infidèle dans l’islam n’a aucune dignité, aucune humanité, aucun droit. Il est permis de faire subir à un infidèle n’importe quoi : le tuer, en faire en esclave, et tout ce que l’infidèle possède, selon l’islam, appartient de droit au musulman. Ce n’est pas une idéologie nouvelle, il s’agit d’une idéologie basée sur le coran lui-même. Ces personnes représentent la vraie vision de l’islam. »

Le Père Douglas Al Bazi, prêtre de la paroisse Mar Eillia à Erbril, participant au Meeting de Rimini le 23 août dernier, a déclaré que l’islam est égal au terrorisme.

L’Etat Islamique représente l’islam à cent pour cent

« SVP, si quelqu’un pense encore que l’EI ne représente pas l’islam, qu’il sache qu’il a tort. L’EI représente l’islam à cent pour cent. Je vous en supplie : ne parlez pas de conflit. Il s’agit d’un génocide. Réveillez-vous ! Le cancer est devant votre porte. Ils vous détruiront. Nous, Chrétiens du Moyen Orient, sommes les seuls à avoir vu le visage du Mal : l’islam. Réveillons-nous. »

Source : « La Chiesa aperta non difende i cristiani » Magdi Cristiano Allam – Il giornale. It

Il serait peut-être bon de rappeler ici cette vidéo de Brigitte Gabriel, une chrétienne libanaise, devenue américaine, et fondatrice du site « Act for America ».

Dans cette vidéo remarquable, Brigitte explique le processus d’islamisation de son pays, suite à l’immigration musulmane et palestinienne et ses terribles conséquences : la destruction du Liban, la persécution et le massacre des non musulmans.

C’est une mise en garde réaliste pour nos pays occidentaux qui s’apprêtent à revivre un « remake », mais à l’échelle européenne. Si nous ne réveillons pas à temps, nous suivrons le même destin tragique.

Elle rend également un bel hommage à Israël : « Nous avons demandé l’aide des Israéliens, nous partagions les mêmes valeurs ».

https://www.youtube.com/watch?v=xMRR7B5q70A&feature=youtu.be

Il est dès lors raisonnable de s’interroger sur le Pape François et ses appels à accueillir affectueusement nos frères musulmans, sur ses déclarations bienveillantes au sujet de l’islam, qualifiant ce dernier de religion de paix, compatible avec le respect des droits humains et la coexistence pacifique… tout en invitant les musulmans à dénoncer les violences et les crimes contre les Chrétiens d’Orient et les « tueries » au nom de Dieu.

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L’islam, une religion de paix ? Vous nagez en pleine fiction Pape François.

Lors de sa visite à Ground Zero, la semaine dernière, le Pape François a déclaré que le chagrin était toujours palpable, en ce lieu où près de 3000 innocents furent tués par des terroristes il y a 14 ans.

« Il est possible de vivre dans un monde de paix. Il est possible de vivre ensemble avec nos différences. Oui, c’est possible, si nous tous avec nos différentes cultures, nos différentes religions, nos différents chemins, nous nous respections mutuellement. Oui, c’est possible, à condition qu’un groupe n’essaye pas d’imposer son hégémonie aux autres, et de nier aux autres groupes des droits égaux » a déclaré le Pape François.

« Ce lieu, est un endroit où l’on pleure … à cause de l’impuissance que nous ressentons, face à l’injustice, à l’incapacité de surmonter nos différences, de dialoguer» a dit le Pape François en espagnol, lors d’un service de prière interconfessionnel sur le site du Mémorial au musée du 11 septembre.

Il a également mentionné l’impossibilité de trouver des solutions qui respectent le Bien commun.

Le Pape François suggèrerait-il que si l’Amérique avait offert au monde musulman une solution, charia-compatible, qui aurait respecté le Bien commun, les attentats du 11 septembre n’auraient pas eu lieu ?

Les jihadistes islamistes, qui assassinèrent 3.000 personnes en ce jour funeste, agirent en fonction de leurs croyances : il était de leur devoir de mener la guerre sainte contre les infidèles, dans le but final de les soumettre à l’hégémonie de la loi islamique.

Peu importe les concessions que les USA auraient été prêts à faire au monde islamique, seule la soumission à la charia pouvait calmer la rage des jihadistes.

Le Pape François est-il prêt à se soumettre à la charia ? Il semble avoir déjà intériorisé le délit de blasphème, s’ interdisant toute critique de l’islam.

Sa soumission et son acceptation du statut de dhimmi ou sa conversion à l’islam sont les seules solutions que les jihadistes islamistes trouvent acceptables pour le Bien commun.

Comme je l’ai déjà écrit, ce Pape est déroutant.

Il connait la vérité sur les dangers de l’islam pour la Chrétienté et le monde libre, mais jamais il ne l’exprime clairement. Il préfère noyer le poisson dans l’accusation générale : “nous sommes tous coupables”.

Je regrette le Pape Benoît XVI, le seul qui eut le courage de défendre ouvertement les Chrétiens d’Orient et dont la vie fut menacée par les très « tolérants » adeptes de la « religion de paix », pour ses prises de position très courageuses.

Le Pape Benoît XVI était violemment critiqué par le monde musulman. Sa démission inattendue et l’élection « surprise » du Pape François sont toujours un mystère.

Lors de la messe d’inauguration du Pontificat, le 24 avril 2005, Benoît XVI avait dit : “Priez pour moi, afin que je ne me dérobe pas par peur des loups.»

Cette phrase, qui à l’époque semblait mystérieuse, prend tout son sens aujourd’hui : les loups agissent à visage découvert.

L’un de ces « loups » est le Cardinal émérite belge Godfried Danneels.

Ce dernier a admis, à l’occasion de la sortie de sa Biographie*, être membre du «Mafia Club” réformiste de Saint Gall, opposé à Benoît XVI.

Lors de la présentation publique, la semaine dernière à la basilique de Koekelberg, de sa biographie écrite par Karim Schelkens et Jürgen Mettepenningen, le cardinal belge Godfried Danneels a affirmé avoir pris part pendant plusieurs années à des réunions d’un groupe de cardinaux opposés à la ligne du cardinal Ratzinger puis du pape Benoît XVI, appelé “groupe de Saint-Gall” et surnommé “la mafia” par ses membres.

Le rôle décisif de l’influent prélat belge à travers un “travail” de longue haleine de sape du Pontificat de Benoît XVI y apparaît clairement.

“L’élection de Bergoglio a été préparée à Saint-Gall, ça ne fait aucun doute. Et les grandes lignes de son programme sont celles dont Danneels et ses confrères discutaient depuis plus de dix ans” écrit Schelkens.

« Le 13 mars 2013, une vieille connaissance se tenait d’ailleurs aux côtés du nouveau pape François : Godfried Danneels. Officiellement, il était là en tant que doyen des cardinaux-prêtres, mais en réalité, il a oeuvré pendant des années comme faiseur de rois discret d’un pape capable de rendre un avenir à ‘son’ Église ».

Lire l’article complet sur le Vif.be

L’auréole du Saint-Siège perd de plus en plus de sa lumière…

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