« Allah est venu à eux par où ils ne s’attendaient point et a lancé la terreur dans leur cœur »

Cette phrase faisait partie du message de DAECH qui revendiquait les massacres d’une sauvagerie sans nom perpétuée – justement en son nom.

Elle a été prononcée par un Français !

Et cela prouve, si c’était nécessaire, que la possession d’une carte d’identité française ne fait pas de certains « hors métropolitain » de vrais français.

Cette phrase a été prononcée par Fabien Clain, un djihadiste « français » originaire de l’Ile de la Réunion.

Il est avéré qu’il est le trait d’union entre Toulouse, la Syrie, la Belgique et la France.

Je dis « Toulouse » parce que c’est dans cette ville, et plus particulièrement dans le quartier du Mirail, véritable fief du salafisme intégriste, qui n’a rien à envier à Molenbeek (Belgique), que Fabien Clain a pu recruter et, avec son frère cadet Jean-Michel, organisé et dirigé le «clan des Belphégor» (en hommage à leurs épouses qui exhibaient ostensiblement leurs « Burqa », en toute impunité malgré la loi qui l’interdit) un groupuscule de jeunes militants de religion musulmane et de convertis parmi lesquels les frères Mérah et Ghlam.

Fabien Clain, 35 ans, alias « Omar », converti à l’islam en 2000, quitte la France en 2004 pour rejoindre l’Egypte en compagnie de son frère et de leurs épouses, afin d’étudier dans une école coranique du Caire. Ils organisent une filière de combattants destinés à l’Irak. Elle est démantelée et, toujours la même année, il part en Syrie entraînant une douzaine de membres de son groupe..

Dès leur retour en France, à Toulouse, ils se rapprochent d’une communauté qui sévit à Artigat, en Ariège, dirigés par le couple Nadia et Olivier Corel, surnommé « l’Emir blanc », un syrien naturalisé français, qui est le guide spirituel de toute une génération de futurs djihadistes, notamment Abdelkader et Mohamed Mérah, Thomas Barnoin, Laurent Lelièvre et Sabri Saïd, tous partis en Syrie.

Têtes pensantes de ces terroristes, le couple Corel est, enfin, arrêté en 2007.

Fabien Clain est appréhendé en 2009. Condamné à 5 ans de prison, il en fera 3.

De sa cellule, il garde le contact avec les djihadistes et surtout avec Mohamed Mérah lorsque celui-ci assassinera les trois militaires, l’enseignant et les trois enfants juifs en mars 2012.

Interdit de séjour à Toulouse et dans 22 départements, Clain s’installe en Normandie où il exerce comme professeur de langue arabe et poursuit son prosélytisme islamiste.

Etroitement surveillé par les Renseignements Généraux ! Clain rejoint cependant la Syrie et DAECH et, tout en infiltrant des terroristes parmi les « migrants », il maintient un contact étroit avec les djihadistes implantés en France.

Il est considéré comme l’instigateur de l’attaque avortée contre une église de Villejuif.

Sa dernière déclaration prouve qu’il est toujours en pleine activité terroriste.

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Jean-Paul Sartre, cette « ordure » qui écrivait, lors de la guerre d’Algérie : « Il faut tuer : abattre un Français”

Il est vrai que si l’on peut constater que certains « Français », originaires des DOM-TOM, n’apprécient pas tellement le pays qui les a nourris au point de porter les armes contre lui : Clain est « Réunionnais », Christiane Taubira fut à la tête d’un mouvement séparatiste guyanais et l’on se souvient de Franz Fanon, martiniquais et engagé dans l’ALN, et de bien d’autres, ils peuvent prétexter le fait d’avoir été « colonisés », cela ne fut pas le cas des « porteurs de valises » du FLN, des français « de souche », ni de Jean-Paul Sartre, cette « ordure » qui écrivait, lors de la guerre d’Algérie :

« Il faut tuer : Abattre un européen (un Français) c’est faire d’une pierre deux coups, supprimer en même temps un oppresseur et un opprimé : restent un homme mort et un homme libre, le survivant ».

Un constat : ces traîtres appartiennent toujours à la gauche et à l’extrême gauche et il y en aura toujours de ces Français, de souche ou originaires d’ailleurs, qui seront les ennemis de nos valeurs, de notre patrimoine, de notre histoire et de notre civilisation !

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