Les sentiments qui nous habitent face à ce que le monde subit, sont partagés.
En entendant ceux qui sont un peu rassurés par la présence des forces de l’ordre, et ceux qui au contraire jettent la pierre aux autorités de ne pas avoir suffisamment anticipé l’inévitable, on cherche soi-même que penser.
On déteste ces hommes qui ne sont plus des hommes, et qui prétendent agir au nom de la religion, loin de représenter l’humanité. Et en même temps, on compatit pour toutes ces victimes et leurs familles. Et notre cœur, bien qu’apeuré, nous dicte le courage, la résistance, comme en temps de guerre.
Car c’est cela que l’on traverse, la guerre.
Les sentiments n’ont jamais aidé à gagner une guerre !
Une autre interrogation survient alors : mais les sentiments n’ont jamais aidé à gagner une guerre ! Notre courage, plus fort que nos larmes, ne peut pas suffire à vaincre l’ennemi ! Et pourtant les citoyens du monde ont l’air d’y croire… Par naïveté. Par désespoir. Par un sentiment insupportable d’impuissance. Peut-être ont-ils raison en vérité.
Au temps de la Première et de la Seconde Guerre Mondiale, les survivants ont tenu bon, précisément, grâce à leur courage sans faille. Terrorisés mais courageux, ils ont résisté jusqu’au bout. Ils ont passé ces guerres. Pas par les armes. Pas par les pièges. Pas par stratégie.
Uniquement par leur caractère si particulier : nous allons leur prouver, nous prouver à nous-mêmes, que nous pouvons triompher, se disaient-ils. Leur optimisme un peu fou les a sauvé des griffes acérées de l’ennemi…
À nous également, je crois, de penser ainsi. Après tout, c’est notre héritage à tous, c’est ce qu’ils nous ont légué.
À nous de ne pas forcément chercher à être des héros, mais simplement à garder espoir, et à faire contre mauvaise fortune joyeux visage, autant que possible.
Gardons précieusement notre humanité, où que nous vivions, chérissons-la !
Car c’est déjà là une force surhumaine, dont nous pourrons être fiers si nous y parvenons…
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Neila Ifrah pour Dreuz.info.
Pour lutter contre un ennemi sauvage il faut un ingrédient indispensable qui s’appelle le courage.
Où apprend-on le courage dans une société qui panique déjà devant
le réchauffement climatique,
les OGM,
la pollution automobile,
les micro particules des diesel,
la nourriture non bio,
les viandes rouges.
Les médias le gouvernement nous transforment en petits poulets apeurés pour nous faire les poches à longueur de journée et on voudrait que de cela naisse le courage, l’abnégation, la volonté.
Quand toute personne qui ose émettre une opinion contraire subit les foudres immédiates des bigots et des grenouilles de bénitier de la bien bien-pensance et du politiquement correct qui s’épanchent par millions dans la presse et les réseaux sociaux.
Il va y a voir un long chemin à faire… très très long.
Gardons et cultivons notre humanité, sans quoi il n’y auras plus de civilisation.
Mais pour conserver cette humanité, cette civilisation, acceptons d’en retrancher ses ennemis !
Il y a un nom à cet ennemi, multiple dans son expression, bicéphale pour ce qui est de son nom: momo et allah.
Il faudra choisir de prononcer le nom de la bête d’aujourd’hui ou le subir !
ISLAM, made by momo in the name off allah; nothing else but only ISLAM…
Bref on peut argumenter jusqu’à la fin des temps, l’ISLAM est le problème et l’ennemi de la notion même de civilisation !
Et merditude aux défenseurs de cette secte criminogène qui a su devenir religion.
Compation pour les victimes , essai de compréhension pour les bourreaux , peur des brebis bêlantes , même de la part de certains des parent et amis des victimes.
Je suis attéré devant ces réactions , si cela , et dieu m’en préserve , un tel drame devais m’arriver en temps que parent , c’est de la HAINE ,une haine brulante comme la porte de l’enfer qui m’habiterais , et une soif de vengeance
contre cette pourriture qui infecte le sol de France sans chercher les coupables ou les innocents ,Dieu ou Allah feras le tris !