Publié par Hildegard von Hessen am Rhein le 8 novembre 2015

Manifestation Viktor Orban ©Dreuz info

Encadrés par une massive présence policière, ils étaient là, ils sont venus, par centaines, presque un millier de personnes de tous âges, venues, à l’appel de Karim Ouschikh, Président du SIEL, en soutien à Viktor Orban, le premier des résistants Européens à la politique migratoire de l'”UERSS” et de la dirigeante en confusion mentale, pensent certains experts germanophones, Angela Merkel.

Viktor Orban, menacé avec sa famille par l’Etat Islamique, son pays conspué par les Européens de l’Ouest qui ont dévoyé l’idée Européenne et ses racines gréco-chrétiennes et juives, desquelles sont issues toutes les grandes oeuvres artistiques, qu’elles soient musicales, littéraires, architecturales et picturales. Cette chrétienté qui a trouvé la science et la raison, en opposition à la croyance béate sans réflexion. Ce qui n’empêche pas les esprits les plus évolués de croire à quelque chose de supérieur. Idée impossible en islam. Cette chrétienté que le Professeur Ratzinger, alors Pape Benoit XVI, voulait voir inscrite dans les traités que l’UERSS trotzkarde Barrosienne a refusé. C’est tout cela qu’étaient venus défendre ce presque millier de personnes, Avenue Foch, à Paris, ce samedi 7 novembre 2015.

Journaliste Manif Vikto Orban ©Dreuz info

Beaucoup de presse, de photographes, dont on attend les rapports que j’espère honnêtes – mais est-ce possible de leur part. Ici je vise bien entendu les “mainstreams”.

Karim Ouschikh et Christian Vanneste ©Dreuz info
Karim Ouschikh et Christian Vanneste ©Dreuz info

Le discours de Karim Ouschikh était très convainquant, Christian Vanneste eut des élans furieusement romantiques, au sens allemand du terme. Le vice Président du SIEL, l’avocat Frédéric Pichon était habité par une solide véhémence militante pour la souveraineté. Renaud Camus, dans la foule, à sa place et dans son rôle auto-proclamé de résistant au Grand Remplacement, dont l’expression entre petit à petit dans l’inconscient populaire.

Alors que de la bouche de la plupart des orateurs était attaqué le “Grand Capital”, coresponsable de cette invasion migratoire, la présence de Charles Beigbeider, qui briguait le poste de Président du MEDEF était plutôt surprenante. On ne sait jamais ou le roseau Beigbeider se plie dans les vents de la politique. Il était UMP…, et le voilà qui s’affiche au SIEL. C’est une tête d’affiche salutaire au SIEL. Et puis, René Marchand, l’islamologue distingué, costume en velour cotelé vert hongrois, de tous les rassemblements patriotes, a également marqué de sa présence l’appel en soutien à Viktor Orban. Le dessinateur TCHO était parmi les manifestants, lui qui gratifie si bien Télé Liberté et Boulevard Voltaire de son talent de dessinateur humoristique, et je l’espère bientôt Dreuz info, que j’ai informé qu’il souhaite faire des dessins pour eux. Nous avons fini dans le jardin de la Closerie des Lilas autour de quelques verres.

C’était un bel après-midi de novembre, inhabituellement doux, Avenue Foch, devant l’Ambassade de Hongrie à Paris. Les drapeaux de nos deux Nations flottaient au vent, et pour marquer l’ambiance, de mon téléphone portable, j’ai pu faire jouer par la technique, à plusieurs reprises, une version bouleversante de l’hymne Hongrois, que des personnalités comme Christian Vanneste découvraient avec plaisir, tant il est beau et tragique aussi, au vu de son histoire qui ressert les plats à l’Europe et dont je vous mets le texte révélateur de ce qui est en train de nous arriver à ce moment du 21ème siècle en Europe.

Il est à déplorer l’aspect non massif de ce rassemblement. Que font donc les Français ?

Et bien, honteusement, ce sont souvent des courageux anonymes devant leur écran, à exprimer leur frustration et leur colère. Qu’ils sachent que cela ne sert à rien et que la prochaine fois qu’un mouvement les appellera, il faut qu’ils se lèvent pour venir rejoindre la contestation. La rue ne doit plus appartenir à la gauche, mais à ceux qui la combattent et, ils sont bien plus nombreux que la gauche, dans ce pays. Il faut qu’ils le fassent savoir. Les Français doivent être de ceux qui sonnent le glas Européen de l’invasion massive islamisée.

Ils doivent tenir leur rang historique. Ce qu’ils sont encore loin de faire.

Texte de l’hymne Hongrois qui vous fera comprendre la résistance de Viktor Orban et de son peuple. Il vaut mieux que tous les discours :

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Bénis le Hongrois, ô Seigneur,
Fais qu’il soit heureux et prospère,
Tends vers lui ton bras protecteur
Quand il affronte l’adversaire !
Donne à qui fut longtemps broyé
Des jours paisibles et sans peines.
Ce peuple a largement payé
Pour les temps passés ou qui viennent.

Aux Carpates, sur ton conseil
Nos aïeux osèrent s’étendre.
Quelle belle place au soleil
Tu aidas nos pères à prendre !
Aussi loin que de la Tisza
Et du Danube le flot danse,
Aux fils héroïques d’Arpad,
Tu as prodigué l’abondance.

Tu fis onduler, à l’instar
Des mers, les épis dans nos plaines,
Et tu permis que du nectar
De Tokay nos coupes soient pleines.
Grâce à toi, nos drapeaux ont pu
Flotter chez le Turc en déroute,
Les murs de Vienne être rompus
Par Matyas et ses noires troupes.

Hélas ! nos fautes, trop souvent,
Ont fait éclater ta colère.
Et de tes nuages ardents
Tu as fait jaillir le tonnerre.
Alors ce furent les Mongols,
Leurs dards sifflants et leurs pillages,
Puis le Turc qui sur notre sol
Posa le joug de l’esclavage.

Que de fois, sur l’amas sanglant
Des cadavres de nos armées,
Par les cris orgueilleux d’Osman
La victoire fut proclamée !
Que de fois, ô Patrie, enfin,
Tes propres enfants t’attaquèrent !
Et par leurs crimes tu devins
L’urne funèbre de leurs frères.

Fuir ! Mais d’asile il n’était point
Contre le fer et sa furie.
Dans son propre pays, en vain
Le fuyard cherchait sa patrie.
Il allait par monts et par vaux,
Pour compagnons, douleur et doute,
Pour horizon, du sang à flots,
Et des flammes pour clef de voûte.

Là, ces ruines furent un fort,
Autrefois y régnait la joie.
À sa place, un râle de mort
Et des plaintes de cœur qu’on broie.
La liberté ne fleurit point,
Hélas ! dans le sang des victimes !
Les yeux de l’orphelin sont pleins
Des pleurs de ceux que l’on opprime.

Prends pitié du Hongrois, Seigneur.
Si souvent il fut dans les transes !
Tends vers lui un bras protecteur
Dans l’océan de ses souffrances !
Donne à qui fut longtemps broyé
Des jours paisibles et sans peines.
Ce peuple a largement payé
Pour les temps passés ou qui viennent.
Lyrics: Ferenc Kölcsey, adaptation française: Jean Rousselot 1962
Musique: Ferenc Erkel

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Hildegard von Hessen am Rhein pour Dreuz.info.

Source du texte de l’hymne hongrois : Wikipédia

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