Publié par François Sweydan le 25 novembre 2015
foire musulmane
Foire musulmane, travail de fond des Frères Musulmans et sa branche France : UOIF

Ces massacres sont tout de même et dans une certaine mesure la responsabilité de nos politiques (de droite comme de gauche). C’est sur ce déni démagogique, cet aveuglement et une certaine complaisance face aux dérives de l’islam depuis des années qu’il faut s’attarder.

C’est l’information sélective de l’AFP, la langue de bois, la désinformation et la propagande de nos médias qu’il faut dénoncer.

C’est le zèle islamophile aveugle rejeton du relativisme amnésique (ou inculte ?) de l’histoire de l’islam que montre cette classe politique et de nombreux intellectuels qu’il faut condamner.

C’est au laxisme et à une certaine inconscience du danger vis-à-vis d’islamistes soldats d’Allah en ordre de combat et de mosquées transformées en casernes d’endoctrinement et de radicalisation qu’on a laissé prospérer qu’il faut s’attaquer.

Ce sont nos compromissions avec des pays arabes qui exportent le wahhabisme/salafisme (Arabie Saoudite), l’idéologie des Frères musulmans (Qatar) et le terrorisme auxquels nous nous sommes assujettis dans la dhimmitude pour des intérêts économiques qu’il faut revoir.

Ce sont des chefs d’État, ministres, préfets et maires qui ont fermé les yeux et laissé prospérer un islamisme fondamentaliste et radical dans l’Hexagone. On a souvent laissé des délinquants de droit commun et des criminels dangereux dans la nature, la plupart condamnés de nombreuses fois et parfois même n’ayant pas exécuté aucune de leur peine. L’impunité annihile assurément les repères déjà brouillés, enfante l’anarchisme. On a souvent triché et menti en faisant croire aux citoyens que ces combattants d’Allah sont des « déséquilibrés » afin d’évacuer la question du fanatisme meurtrier en islam. On a laissé des voyous en mal de repères, voulant donner un sens à leur vie embrasser une culture de mort.

Ce sont ces associations musulmanes compromises avec des radicaux islamiques, par omission et par sympathie communautariste, restés « fraternellement » dans une complicité qui questionne qu’il faut désormais dissoudre. Ce sont des chefs d’entreprises et des commerçants salafistes ou Frères musulmans qui financent le jihad idéologique en France et qu’on a laissé faire au nom de dons caritatifs aux mosquées. Il est temps que l’État impose sa Loi, notamment avec ces nébuleuses et occultes banques islamiques, organes pour financer le fanatisme islamique.

Dans d’innombrables banlieues françaises, des radicaux islamistes au chômage choisi vivent discrètement depuis des années en autarcie uniquement d’aides sociales de l’État. En communautés soudées, en marge de la société civile, passent le plus clair de leur temps à faire de la daʿwaa islamiya (proclamation), du prosélytisme islamiste actif, agressif et de l’endoctrinement sans être inquiétés ; parfois même avec la complicité tacite et la duplicité d’imams autorisés et « respectables ».

Ils ont semé la haine de l’autre, l’antisémitisme “importé” du Maghreb et le racisme anti blanc, la discrimination, l’islamo-communautarisme, imposent le voile dans les banlieues, font la police des mœurs et dissuadent les jeunes filles : menaces, chantage, flicage sur des territoires dans lesquels l’autorité de l’État est absente. Ils vivent en parasites au frais de tous et sur le trafic de drogue afin de financer leurs méfaits mais également dans le but de miner la société française de l’intérieur. L’argent volé à l’ « infidèle mécréant » Français est halal, licite à leurs yeux.

Des imams radicaux dans des communes et villes françaises – ayant participé activement pour certains à la guerre civile algérienne et assassiné d’innocents algériens – œuvrent dans des mosquées radicalisées et continuent impunément leur discours jihadiste toxique et dangereux au vu et au su de tous. L’État est resté spectateur ou quasi absent et se réveille un peu tard !

On omet toujours de dire clairement dans les médias que ce « terrorisme » est bien le « jihadisme » de l’islam à l’œuvre. On ne veut toujours pas dire que l’ « islamisme » en question c’est l’islam pur et dur, celui des origines, celui des conquêtes et celui qui a mené à l’islamisation de tout l’Orient et du Maghreb. Ces horribles attentats du 13 novembre 2015 à Paris ne sont pas nouveaux. Ne l’oublions pas. C’est ainsi par cette « terreur » (lire : Le jihad n’est pas l’islam ?) que le monde dit « arabe » fut islamisé.

On continue de distinguer l’islamisme de « Daesh » et un islamisme « modéré ». On a entendu des politiques dans l’improvisation totale nous dire sans rire et avec tout le sérieux du monde qu’ils soutiennent les « rebelles syriens » opposés à Assad, faisant abstraction que ces islamistes – qualifiés sans blague de « modérés » – sont aussi dangereux que « Daesh » puisque de la mouvance d’Al-Qaeda. Deux poids, deux mesures mais c’est assurément manipuler une bombe à retardement sans en connaître le mécanisme ; une irresponsabilité, voire même un amateurisme politique méconnaissant l’idéologie de cet islamo-nazisme. Et l’on veut poursuivre encore de les armer après ces odieux attentats ?

On continue de nous faire la propagande de l’islam humaniste, lorsque on sait qu’il a été historiquement parlant dans tout l’Orient anti humaniste sur toute la ligne depuis quatorze siècles, et que le contenu du texte coranique est formellement anti humaniste, de nature totalitaire et nihiliste. L’humanisme est une notion occidentale foncièrement étrangère à l’islam et au Coran. Mais on préfère suivre les élucubrations d’un Abdennour Bidar que de lire le Coran et les Hadiths. Continuer à suivre une copie “bidarienne” utopique plutôt que de se fier à l’original ?

On continue de nous asséner à l’antenne que l’organisation jihadiste « Daesh » n’est pas l’islam. C’est notamment le cas d’intellectuels et d’imams démagogiques de France au lendemain des massacres de Paris et de nous prendre pour des demeurés sans discernement : « Non, ce n’est pas cela l’islam ! » (lire : Les massacres à Paris: un tabou nommé islam, par Hélios d’Alexandrie). L’islam n’est-il pas l’islam ?

Pourquoi encore et toujours cette propagande médiatique dangereuse et manipulatrice de l’opinion publique ? Au nom de quoi ? Au nom du « vivre ensemble » ? Dans certaines banlieues à forte concentration musulmane, on a vu des citoyens français musulmans ou des maghrébins se réjouir de ces carnages à Paris ce vendredi 13 novembre 2015. Sur les réseaux sociaux on a lu « je suis État islamique » et autres mots odieux, haineux et anti français twittés en langue française (voir : memri.fr/medias-sociaux-satisfaction-des-supporters-de-lei ; memri.fr/des-combattants-et-supporters-francais-de-lei-expriment-leur-joie-apres-les-attentats-de-paris-et-narguent-le-public-francais ).

La solidarité avec un islam discriminateur dès la Fatiha dans le Coran ? La fraternité avec une religion qui nous balance à la figure que les musulmans sont supérieurs et la « meilleure des communautés » ? Comment re-concilier ce « vivre ensemble » et une certaine fraternité avec une communauté islamique convaincue de par son livre sacré que juifs, chrétiens, nazaréens, infidèles mécréants, apostats et païens sont des sous-hommes (et des chiens, des porcs et des singes), bons à la soumission, à la capitation ou la mort ? Ici, l’égalité est un vain mot !

Il ne s’agit pas ici de condamner les musulmans de France ou d’ailleurs, pour beaucoup innocents de ces douloureuses et tragiques réalités coraniques, eux-mêmes victimes pris en otages par cette lecture littérale moyenâgeuse ou orthodoxe du Coran.

Dans les pages de Dreuz et ailleurs, j’avais dénoncé ces compromis, cette désinvolture et cette méconnaissance endémique et dramatique du Coran chez beaucoup de Français : une ignorance inquiétante de la pensée islamique et islamiste, une histoire édulcorée de l’islam et un relativisme hyper simpliste et primaire ; bref, une inconscience manifeste des vrais dangers. On continue en France – et en Europe – de faire des distinctions abusives entre islam « modéré » et islam « radical », notions purement occidentales qui dans les faits n’existent pas dans les pays musulmans. Mais sur quelles bases établissons-nous ces distinctions subjectives et farfelues qui ignorent toujours où sont les limites fluctuantes du premier et où commence le second ?

J’avais évoqué le cas d’imams et d’intellectuels musulmans au discours ambigu, sournois, démagogique et dangereux, sinon utopique et conceptuellement contradictoire et incompatible avec le message coranique comme celui d’Abdennour Bidar. Pourtant, on a continué de les inviter avec beaucoup de zèle hypocrite sur les antennes de France Inter, France Info, France Culture, Radio Monaco, etc., et les télés : BFM TV, iTÉLÉ, Canal +, TV5 Monde, France 2, Arte, et j’en passe… éludant les VRAIES questions et dans la complaisance des dhimmis. Pourtant, ces personnages pratiquent pour la plupart la taqiyya et continuent encore de nous égarer dans des discours absurdes sans aucune décence vis-à-vis des victimes.

Pourquoi les médias ne donnent-ils presque jamais la parole (sinon censurée) à des ex musulmans ou aux minorités non musulmanes issues d’Orient ? Sûrement parce qu’ils vont dire aux Français sur l’islam certaines vérités qui fâchent. On continue de tricher, d’enjoliver et de travestir. On s’emploie à étouffer toute voix, tout ouvrage sur l’islam qui contredirait le relativisme islamophile et le politiquement correct. Ce n’est assurément pas en occultant les problèmes que l’islam soulève que nous pourrions soigner les maux !

On n’a toujours pas pris la mesure du discours jihadiste sournois, faussé et trompeur de ces fréristes de l’UOIF, des salafistes radicalisés, et même de recteurs de grandes mosquées qui sont encore et toujours et sans vergogne dans l’imposture et le mensonge.

Le meilleur exemple que j’avais donné était, entre autres, celui du frériste Tariq Oubrou, imam de la grande mosquée de Bordeaux, invité des médias (France 2, informations de 20H) le lendemain de ces massacres odieux, inqualifiables, abjects et blasphème contre l’humanité au nom d’Allah. Je peux vous donner une dizaine d’exemples de ces propagandistes aussitôt à l’antenne pour justifier l’islam, pleurnicher en victimes et nous trouver des excuses fallacieuses, jamais pour reconnaître qu’il y a en effet de sérieux problèmes avec cette religion qui ne connaît que le langage de la violence, du meurtre et de la terreur, foi de nombreux versets nihilistes clairs et explicites du Coran.

Ce même imam Oubrou a été invité encore sur France Info le 16 novembre 2015 a.m., et une fois de plus à louvoyer, à déplacer la problématique. Il souhaite l’intégration plus en avant de l’étude du fait religieux islamique dans les écoles (ou l’endoctrinement ?), l’enseignement aux élèves des apports de la civilisation « arabo-islamique » afin de combattre cette radicalisation ? Mettre cette radicalisation abjecte sur le dos d’une fictive exclusion de la civilisation musulmane et de ses apports à l’Occident des programmes scolaires est un peu court, voire malhonnête, vu que l’histoire de l’islam est déjà édulcorée et faussée dans les manuels de nos élèves. Et que fait-on des apports des cultures et civilisations non-arabes et non-islamiques orientales, notamment juifs et chrétiens d’Orient, ou celles de l’Occident, à l’islam ? L’amnésie feinte des imams de France est patente !

Mais est-ce là l’essentiel à vos yeux, Tareq Oubrou, au lendemain d’un drame national effroyable ? On voit bien que le premier souci de cet imam est le projet de la conversion de nos enfants à moyen terme et non de se questionner sur les causes de cette barbarie généralisée qu’il évacue de son esprit par des propositions absurdes et sa sémantique pédante. L’imam Oubrou omet de reconnaître et de dire que l’islam est la source de cette auto-exclusion et de cet islamo-communautarisme dont il en a fait pourtant son combat de tous les jours. Il vient faire la promotion du dogme islamique édulcoré !

L’idéologie nihiliste du discours coranique politisé – et qui l’a toujours été dans l’histoire ! – est responsable de ce fanatisme anti judaïque et anti chrétien, de ces violences et de cette barbarie depuis des siècles. Il ne faut plus se voiler la face au nom du politiquement correct et du « vivre ensemble ». L’islam est un impérialisme qui dure depuis quatorze siècles. Son obsession aujourd’hui est la reconquête de l’Europe perdue (Andalousie, Poitiers, Toulouse, Vienne, Rome, Sofia, Bucarest, Budapest et j’en passe), terres islamiques dont fantasment beaucoup de musulmans d’Europe, tel le néo frériste Tariq Ramadan.

Dans l’un de mes articles en mars 2015, La « taqiyya » des imams de France (“II – Rétrospective et déconstruction du discours islamique”), je me suis attardé sur cet imam Oubrou devenu une référence dans nos médias. N’a-t-on pas encore compris la stratégie de cet imam improvisé qui se réclame des Frères musulmans ?

Ce même imam venant à l’antenne disculper l’islam et déplaçant sciemment la problématique du texte coranique de nature totalitaire, avait pourtant annoncé son programme dès février 2003 dans son article « La Charia de minorité : contribution pour une intégration légale de l’islam » (islamlaicite.org). Ancien militant de l’Union des Organisations islamiques de France (UOIF, d’obédience Frères musulmans), Tareq Oubrou avait préconisé l’acceptation d’une « charia de minorité » pour les musulmans de France et d’Europe. Au-delà de l’imposture de vouloir “bricoler” une charia sur mesure, séparant artificiellement le « religieux » du « politique », hérésie tactique de cet imam afin de détourner et de contourner au final les lois de la République, il y a dans cette taqiyya les prémisses – et fantasme – de la loi et du pouvoir totalitaires.

Dans son ouvrage (Profession imâm, Albin Michel, 2009, p. 37 et suivantes), il est pourtant clair : « il s’agit de mettre en relation la norme avec la réalité concrète, tout en restant fidèle aux méthodes qui régissent l’application de la charia à la réalité […]. Cela permet l’élaboration d’un canonisme mobile ». C’est ici d’une manière pragmatique et en termes clairs la doctrine de la taqiyya que cet imam ose poursuivre dans les médias sans aucune décence au lendemain du funeste et dramatique vendredi 13 novembre 2015, prenant ses interlocuteurs pour des attardés, lui, plus malin.

Tareq Oubrou, toujours fidèle à sa ligne d’action avait soutenu qu’il est possible de résoudre tout problème ponctuellement par des fatwas de circonstance. Autrement dit, si une loi de la démocratie s’oppose à la loi islamique, les oulémas de l’islam de France peuvent abroger – par calcul tactique – cette dernière pour un temps mais de la rétablir lorsque les circonstances deviennent favorables à l’islam. En attendant le Grand jihad qui se profile, nos imams de France pratiquent le Petit jihad « par le cœur et par la langue » (lire : Le jihad n’est pas l’islam ?).

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Néanmoins, le VRAI drame réside dans le fait que cet imam vient à l’antenne à l’invitation zélée et la complicité ignorante de nos médias idiots utiles au lendemain d’un massacre barbare commis, il faut le dire, au cri d’« Allah-ou akbar » (« Allah est le plus grand », sous-entendu « que le vôtre »). Cette exclamation binaire est en même temps appel à la prière et appel au meurtre ! Tragique réalité dont on ne veut toujours pas voir les implications dramatiques de cette duplicité pour tout non musulman. Tout son discours et sa rhétorique – qui semble échapper à nos médias – tourne autour de cette dualité et cette duplicité diluées dans un verbiage pseudo-intellectualiste de diversion, une sémantique pédante et trompeuse.

Cet imam met donc activement en pratique le jihad « par le cœur et par la langue » et nos médias par méconnaissance des stratégies islamistes ne se rendent même pas compte des buts ultimes de cette doctrine dangereuse. Ou est-ce un choix délibéré faussement républicain qu’on souhaite entendre à l’antenne d’un imam pourtant à débiter des contre-vérités sur l’islam ? À moins que nos journalistes soient réellement incultes, sinon pyromanes ? Comment nos médias continuent de faire confiance à cet imam manipulateur ? Que cherche-t-on par ces compromis dangereux et ambigus ? Imposer à la société une image biaisée et idéalisée de l’islam, loin de toutes réalités objectives ? C’est courir à sa perte.

Cet exemple au lendemain de ces abominables massacres dans les cafés de Paris, au Bataclan et au Stade de France est en lui-même significatif d’un réel fanatisme camouflé. L’imam poursuit toujours dans le sens du projet obsessionnel d’hégémonie islamique, celui des théoriciens des Frères musulmans. Et nos journalistes de poser de regrettables questions naïves et angéliques passent à côté de l’essentiel !

Les États-Unis discutent en ce moment d’un projet de loi afin de désigner la Confrérie des Frères musulmans comme organisation terroriste globale : postedeveille.ca/usa-confrerie-designation-terroriste.

Cinq pays considèrent déjà la Confrérie comme une organisation terroriste : l’Égypte (par expérience historique, étant en plus le pays d’origine de cette idéologie nihiliste, structurellement nazie), les Émirats Arabes Unis, l’Arabie Saoudite (par rivalité du wahhabisme saoudien face aux Frères musulmans), la Syrie et la Russie. Israël, le Canada et le Royaume-Uni envisagent également de designer cette Confrérie comme organisation terroriste.

Reste à la France d’avoir ce courage, cette lucidité salutaire et cette volonté politique d’interdire rapidement l’UOIF, les Frères musulmans de France, comme d’ailleurs les mosquées salafistes assujetties à l’Arabie Saoudite. Cette confrérie sectaire, fanatique, antisémite, islamo-communautariste des Frères musulmans est tentaculaire, néfaste, toxique, jihadiste, incite à la haine de l’autre et à terme à la violence du jihad inhumain. C’est une pieuvre fasciste, aux relents islamo-impérialistes, dangereuse par ses pratiques obsessionnelles d’infiltration et d’endoctrinement.

Mais comment un ex ministre et maire de Bordeaux comme Alain Juppé soutient-il encore ces fréristes tout en déplorant sur les plateaux télé et à l’antenne la mort des victimes des attentats de Paris ? On reste désarmé face à cette duplicité (ou inconscience par ignorance ?) et cet affront !

Reste à rétablir dans nos écoles et manuels scolaires certaines vérités historiques objectives sur les conquêtes islamiques, et de ne pas suivre l’obsession d’Oubrou voulant imposer une lecture d’endoctrinement, partiale et biaisée de l’histoire pourtant sanglante de l’islam amnésique de ses expansions barbares.

Reste à demander des comptes à ces politiques qui versent maintenant des larmes de crocodile lorsque beaucoup se sont compromis avec des États arabes qui exportent le radicalisme wahhabite et salafiste. L’on continue de pratiquer une politique laxiste et hypocrite vis-à-vis de pays comme la Turquie et le Qatar dont les velléités d’islamisation de l’Europe et de soutien à « Daesh » ne sont plus à démontrer.

Reste à réexaminer tout ce que j’évoque et que nos politiques ont sciemment ou par méconnaissance, voire par lâcheté ou manipulation abandonné depuis bien plus de trente années.

Mais reste à assainir les médias d’une orientation faussée de l’information partiale et sélective sur l’islam et de cesser cette propagande digne des régimes autoritaires dans le but de manipuler l’opinion publique.

Mais c’est là un vœu pieux ! Car, à écouter ces jours-ci les radios publiques françaises, on est écœuré par l’islamo-propagande qui repart de plus belle, occultant la vérité qui pourrait peut-être sauver les musulmans. Autrement dit, au détriment des victimes innocentes et dans un affront à leur mémoire, une fois de plus nos radios et télés qui ne semblent pas avoir pris la mesure de la gravité de la situation soutiennent et accompagnent paradoxalement le déni schizophrène des musulmans au lieu de les encourager à une autocritique et un mea culpa salutaires pour ce fameux « vivre ensemble » sans tricherie et sans imposture.

Car, la vérité vous rendra libres…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © François Sweydan pour Dreuz.info.

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