Publié par Christian Larnet le 12 décembre 2015

Mosquée de Lagny fermée

Après les attentats de Paris et de San Bernardino, on reproche beaucoup aux Musulmans de ne rien faire pour combattre l’islam politique.

Il y a pourtant beaucoup à faire. A commencer par signaler tout jeune de leur entourage dont le comportement change soudainement pour adopter des attitudes et tenir des propos radicaux. Cela, seuls les musulmans peuvent le faire.

Les Imams pourraient également appeler à dénoncer leurs pairs qui incitent les jeunes à se distancier des valeurs occidentales, car le chemin de l’endoctrinement, qui commence très tôt, mène à la radicalisation.

Seulement voilà, cela ne se passe pas tout à fait comme cela.

Aux Etats Unis, des imams qui se sont élevés pour proposer d’éduquer les jeunes dans le respect des lois et des valeurs occidentales ont été expulsés de leurs mosquées et de la communauté. On n’a jamais entendu parler d’imams qui incitent à suivre la voie meurtrière de Mohamed et du djihad être congédiés.

Il aura fallu les attentats de Paris pour que la France se décide à fermer quelques mosquées, dont elle savait depuis longtemps qu’elles étaient des centres de formation au djihad. Pourquoi avoir attendu ? Parce que les médias, la justice et la classe dirigeante font taire tous ceux qui osent s’écarter du politiquement correct et dénoncer l’islam.

Valeurs Actuelles vient d’être condamné en appel pour incitation à la haine parce qu’il a très banalement relaté la réalité quotidienne, et si je vivais en Europe, je croulerais sous les condamnations pour écrire ce que j’écris.

A la mosquée de Lagny-sur-Marne, fermée après les attentats, la police a saisi un revolver et un disque dur contenant des vidéos de l’Etat islamique, ainsi que des documents sur le djihad. Une école coranique qui radicalisait les jeunes dès l’enfance a été découverte. Pourtant l’imam est “connu pour ses prêches antisémites et pro-djihad”, nous l’avions dénoncé, parmi d’autres. Les autorités n’avaient pas bougé, c’est pourtant pour cela qu’ils sont payés.

Au sujet de ce prédicateur, le député local Yves Albarello, déclarait à BFMTV : “On savait qu’il se passait des choses”. Personne, et surtout pas ces flasques journalistes français, n’ont émis l’idée que ce député porte une part de responsabilité par son silence, par contre ils sont les premiers à faire taire Eric Zemmour s’il ose évoquer le danger.

A la mosquée de Gennevilliers, c’est pire encore. Les perquisitions ont permis de découvrir des armes et de l’argent liquide.

Là encore, beaucoup en savaient plus qu’ils n’en disaient.

Abderrahmane Dahmane, qui a organisé l’ouverture de cette mosquée, savait que des “intégristes, pas vraiment républicains mais pas terroristes” y exercaient.

Le maire communiste de Gennevilliers Patrice Leclerc a déclaré au Monde savoir qu’il y avait des “bidouilles” liées à l’argent. Il s’est bien gardé de dire que son soutien au terrorisme palestinien jette de l’huile sur le feu et légitime la radicalisation de ses contribuables.

Pourquoi avoir attendu pour prévenir les autorités, et s’il a prévenu, pourquoi faut-il 140 morts avant d’agir, quand il est du premier devoir régalien du gouvernement de protéger sa population et de faire régner la loi, bien avant de faire voter une loi pour le mariage homosexuel qui semble avoir été la principale préoccupation des socialistes.

Egalement fermée fin novembre, la mosquée d’Arbresle, dans la région lyonnaise, une plaque tournante du djihad français, représentait des “risques de troubles à l’ordre public” et “de radicalisation des plus jeunes”, selon la Préfecture qui a résolument manqué à son devoir, ayant reconnu depuis que la mosquée est fréquentée par des salafistes, “dont certains en relation avec des individus pouvant se trouver en Syrie”.

Là aussi le maire Pierre-Jean Zannettacci savait et ne faisait rien. Il a déclaré à Libération avoir observé de plus en plus de jeunes se mettre à porter la barbe et la djellaba et de femmes porter le voile.

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A Nice, quatre salles de prières clandestines ont également été fermées.

Dreuz a dénoncé la mosquée extrémiste de Mulhouse en 2013. le maire Jean Rottner joue les “islamophiles aveugles”, elle est toujours ouverte.

En avril, RTL, qui avait pu consulter une note des services de renseignement, annonçait qu’il y avait 25 salles de prière radicales en Île-de-France, 22 dans la région lyonnaise et 13 à Marseille.

Elle sont toujours ouvertes aux dernières nouvelles. Aucun musulman modéré ne les a jamais dénoncé.

Et ne me faites pas croire que les musulmans gentils et intégrés ne savaient pas ce qui se passe dans ces mosquées. Ils n’ont rien fait, et ils sont coupables.

A leur décharge, il convient de rappeler que les Frères musulmans, les salafistes, les radicaux, peuvent facilement pointer du doigt les versets du coran pour justifier l’endoctrinement des jeunes et l’incitation à tuer les infidèles. En face, les musulmans occidentalisés n’ont rien à leur répondre…

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Christian Larnet pour Dreuz.info.

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