Publié par Mireille Vallette le 26 décembre 2015

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Le PBD (Parti bourgeois démocratique) de Stefano Piazza a lancé une pétition en ligne  qui demande au Conseil fédéral de déclarer le Français Rashid Nekkaz persona non grata en Suisse.

Nekkaz a pour spécialité de payer les amendes des niqabées. Il sévissait jusqu’ici en France et en Belgique, mais la nouvelle loi tessinoise interdisant le niqab élargit son champ d’action. Il avait annoncé avant la votation qu’il paierait aussi les amendes des musulmanes bâchées du canton, il s’apprête à passer à l’action.

Ce n’est pas que Nekkaz soit favorable au niqab, non, c’est un défenseur des libertés. Il estime donc que l’islam radical a le droit de s’exhiber dans les rues. Il a créé un fond spécial à cet effet qui a déjà servi à payer quelque 700 amendes en France et en Belgique, pour plus de 120’000 euros.

La pétition de Piazza a recueilli 500 signatures, (dont la mienne). Je vous encourage à signer. Pour plus de détail sur la chronologie (en italien), voir le Ticino News.

Quand les chrétiens initient les réfugiés à Noël

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La tendance à changer le nom des marchés ou sapins “de Noël” ou à supprimer telle crèche de l’espace public comme l’a fait récemment l’indigne Neuchâtel – pour plaire aux musulmans intolérants – n’a pas encore gagné tous les esprits.

Il arrive que l’on oublie le «respect des cultures d’ailleurs» pour valoriser la nôtre. La TV romande nous a offert un moment jouissif ce 23 décembre par un bref reportage à Ballaigues. L’Etablissement vaudois d’accueil des migrants et la Fondation chrétienne du Grain de blé ont organisé une fête de Noël pour une cinquantaine de requérants, des enfants et surtout des jeunes gens, tous mineurs non accompagnés, avec danses, cadeaux et… chants de Noël par une école évangélique ! Ces enfants ont osé rendre gloire à leur (nôtre) Dieu !

On a mis en valeur ce jour-là un fragment de notre culture, plutôt que de la leur. C’était tellement surprenant qu’on réalisait à quel point c’est rare. Un jeune Nigérian n’en revenait pas non plus : «Je ne peux même pas croire ce qui s’est passé aujourd’hui, des chrétiens et des musulmans qui font la fête ensemble ! C’est vraiment sympa, j’adore.»

Deux jours auparavant, un reportage similaire nous conduisait à Fribourg où l’association Point d’ancrage fondée par l’Église catholique offrait elle aussi une fête de Noël à des familles de réfugiés. Une responsable, Anne Lugon-Moulin, le disait clairement : «C’est aussi s’intégrer à la culture occidentale que de fêter Noël.»

Peut-être apprendra-t-on aussi aux musulmans que les lieux de culte chrétiens sont ouverts à tous, qu’il n’est nul besoin aux femmes de porter un fichu sur la tête pour y entrer et qu’il n’est même pas obligatoire de pratiquer les rites lorsqu’on assiste à un office.

Vandalisme et culture de l’excuse

Le comportement du casseur d’extrême gauche à Genève s’explique avec la même grille d’analyse que celle du djihadiste : on est injuste avec moi. Il est donc parfaitement logique que je m’attaque à des gens qui n’ont rien à voir avec mes frustrations, que je casse des petits commerces, descende des vitrines, tague avec des produits hyper dommageables des lieux culturels qui ne me plaisent pas, brûle, vandalise…

C’est ce que nous dit le socialiste et conseiller municipal Sylvain Thévoz qui était dans la manif :

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«Y avait des collégiens, des apprentis, donc ce n’est pas cette horde de barbares venue de Suisse allemande, des casseurs venus pour casser. C’est des jeunes qui ont un message à passer, qui n’ont plus de lieux culturels et qui aujourd’hui ne se reconnaissent ni dans les médias, ni dans la classe politique.»

C’est ce qui s’appelle la culture de l’excuse. Elle se pratique volontiers en faveur de la gauche et de l’extrême gauche. On imagine les clameurs de Thévoz et de ses amis si ceux qu’ils aiment taxer d’«extrême droite» passaient ainsi leurs messages.

Le Bataclan et l’antisémitisme

On a cru durant quelques semaines, à quelques rares exceptions près, que les attentats de Paris n’avaient pas de caractère antisémite comme les précédents. C’était faux. Le Bataclan a été choisi parce qu’appartenant à «des juifs» et parce que des groupes de sympathisants pro-israéliens organisaient des récoltes de fonds en faveur de l’armée israélienne. On a pu voir une vidéo de 2008 où des pro-Palestiniens en délire viennent au Batalan cagoulés dans leur keffieh et exigent que la soirée soit annulée. Et sinon ? «La prochaine fois, on ne viendra pas pour parler !»

En 2011, un Groupe intitulé L’Armée de l’islam déclarait pour sa part dans les locaux des services de renseignement français : «Nous avions un projet d’attentat contre le Bataclan, parce que les propriétaires sont juifs.» Les enquêtes avaient été abandonnées.

Le groupe Eagles of Death Metal était-il aussi visé ? Toujours est-il qu’en juillet 2015, il s’était produit en Israël malgré les menaces de radicaux islamiques et de BDS qui tente d’instaurer un climat d’apartheid en Occident contre tout ce qui provient d’Israël ou le soutient, dont les artistes.

Où l’on constate en tout cas une fois de plus, qu’islamistes et gauche pro-palestinienne cheminent main dans la main.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Mireille Vallette pour Dreuz.info.

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