Pour avancer, la gauche cache ses objectifs et ses intentions, la droite les explique.
Prenez l’ex couple DSK Anne Sinclair, typique de cette gauche caviar qui suggère qu’on fasse ce qu’elle dit sans regarder ce qu’elle fait. Où est la vertu de voter le partage des biens des autres et la solidarité quand on maintient un train de vie princier ?
Lui, à qui l’on prête d’avoir déclaré à Tribune Juive : « je me lève chaque matin en me demandant comment je pourrais être utile à Israël.» Je comprends qu’il n’a pas jamais trouvé la réponse à sa question. Personne ne l’a entendu défendre Israël dépouillé de son patrimoine historique par l’UNESCO. Personne ne l’a vu critiquer l’UE qui a voté l’étiquetage des produits fabriqués en Judée Samarie, dénoncer les condamnations disproportionnées d’une ONU obsédée par l’Etat juif, où l’AFP militant anti-israélien.
Lui qui en 2005 critiquait le train de vie du ministre de l’économie Gaymard alors que DSK habitait place des Vosges à Paris…
Elle, rédactrice en chef du HuffPost en français, qui n’a trouvé qu’une fois le courage de dénoncer l’antisémitisme – alors que les occasions ne manquent hélas pas – le jour où le film d’Abel Ferrara évoquait des passages de sa vie de couple.
La gauche est atteinte d’un virus, d’une maladie mentale.
Regardez la défendre bec et ongles ces belles valeurs : l’égalité homme femme, la non discrimination des homosexuels, la liberté d’expression, l’interdiction de la peine de mort, la libération de la femme, la lutte contre le racisme, et arrêter net son noble combat aux pieds des musulmans.
La gauche dissimule ses objectifs sous de fallacieux arguments car elle sait. Elle sait que sa vision d’une société créée de toutes pièces à l’envers du droit naturel, serait refusée par la majorité si elle la révélait. Elle a honte de ce qu’elle pense, honte de le dire, et s’invente des beaux habits pour le dissimuler. Mais elle est trop atteinte, et ne peut pas renoncer à ses vicieuses pensées, elle ne peut se libérer de son dogme et de son idéologie.
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Examinez les idées « progressistes », elles défient toutes le bon sens et la raison.
Gauche et droite portent bien leur nom. L’homme de gauche est courbe, tordu. En métallurgie, gauche désigne une pièce qui a subi une torsion. En politique, les hommes de gauche se contorsionnent pour régler les problèmes qu’ils ont provoqué.
Hitler, Staline, Pol Pot, Chavez, Mussolini, Castro, Che Gevara, Mao, tuaient pour imposer des idées de gauche.
213 sur 286 parlementaires de gauche ont voté les pleins pouvoirs à Pétain le 10 juillet 1940. Ricanez, ça n’efface pas cette réalité.
Et Philippe Conrad, directeur de la Nouvelle Revue d’Histoire rappelait en novembre 2013 :
« le programme du mouvement fasciste semblait très à gauche. Il exigeait la dissolution des sociétés anonymes, l’interdiction des spéculations boursières et bancaires, un impôt sur le capital, la mise en place de la journée des huit heures et d’un salaire minimum, une réforme agraire et la participation des salariés à la gestion des industries lourdes. »
Grosse maladie mentale. A soigner.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Et vous pourriez rappeler également le véritable nom du parti nazi M.Grumberg;
« Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei » soit « parti national-socialiste des travailleurs allemands ». Hop, deux mots encore utilisés aujourd’hui par les parti de gauches dans leurs slogans ou leurs intitulés; « socialiste » et « travailleurs ». Oups.
Sans doute pour ça qu’on préfère parler de parti nazi un peu partout plutôt que d’utiliser l’intitulé exact.
Autre exemple, plus actuel; « Le FN est un parti anti-démocratique et anti-républicain! ». FN qui n’a dans son programme prévu ni de suspendre les institutions républicaines (au fait république ne rime pas avec démocratie, suffit d’aller faire un tour dans l’Italie du Moyen-Âge ou de la Renaissance pour le savoir), ni de remettre en cause les principes démocratiques à la française (c-a-d avec une jolie teinte Ancien Régime). Oups.
Par contre cette histoire de front républicain monté par le PS et LR, ce retrait de listes entre deux tours des élections, ce pilonnage médiatique orienté et assumé anti-FN, je ne sais pas si c’est républicain, mais je pense que ce n’est absolument pas démocratique. C’est oligarchique; les « familles » au pouvoir sont menacées et se regroupent contre l’ennemi menaçant leur petit système. Oups.
Je vais vous faire une confidence Jean-Patrick. J’aime la démocratie. La véritable démocratie; économique, politique, légale, médiatique. Mais je me demande de plus en plus si, dans notre monde de plus en plus technologique et numérique, elle n’est pas dépassée dans sa forme actuelle et ne fait pas le lit de totalitarismes à venir.
Il serait peut-être temps que de vrais philosophes, historiens et politologues émergent pour poser cette question, y apporter des réponses et tenter de trouver des solutions pour que, dans le régime politique de demain, la liberté continue à prospérer en tenant compte des évolutions technologiques, religieuses, démographiques et numériques.
Parce que quand je lis aujourd’hui les mots « démocraties » et « républiques » dans des articles de médias français ou dans des déclas politiques, j’ai l’impression d’avoir sous les yeux de mauvais textes de la Pravda agitant les mots vidés de leur sens.
PS: Je suis totalement en phase avec votre article sinon, être de gauche aujourd’hui c’est être décalé d’avec la réalité, c’est s’imaginer que le monde n’est qu’idées, que pensées. C’est prendre son imagination pour la réalité ou vouloir faire de son imagination la réalité, sans compromis, de façon totale. C’est de la folie pure.
Non, Nationalsozialistische Deutsche Arbeiterpartei » veut dire « parti socialiste national des travailleurs allemands ».
Vous êtes sûr? Le parti social démocrate allemand se traduit, d’après ce que j’ai lu, « Sozialdemokratische Partei Deutschlands ».
Ou alors il s’agit d’une règle de syntaxe ou de grammaire allemandes que j’ignore (hautement probable).
Le mot deutsche est ici un adjectif féminin s´accordant avec le substantif Partei, sa traduction serait parti allemand, il n´est pas au génitif comme vous le traduisez. La traduction litérale est donc parti national socialiste allemand des travailleurs
Merci d’avoir tranché.
Merci Guy! L’allemand est une belle langue mais tellement complexe pour les néophytes.
Une anecdote (qui n’en est peut-être pas une) : savez-vous le nom du parti auquel adhère Mme Marie-George Buffet, l’ineffable ex-première secrétaire du parti communiste ? Réponse : la Gauche démocrate et républicaine. Comme l’a bien dit Audiard (par la bouche de Lino Ventura) : les c… ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît ! Je préfère le terme démocratie à celui de République, pour ma part. Peut-être est-ce parce que nous sommes saoulés en permanence par l’utilisation des mots « république » et « républicain » à toutes les sauces, pour un oui ou pour un non… Peut-être parce que le terme « république » est chargé d’histoire : lié à la Révolution française et aux excès sanglants qu’elle produisit ? Ou au fait qu’un certain nombre de dictatures n’hésitent pas à se qualifier de républiques (ex-URSS, république islamique d’Iran…) ? République, c’est la chose publique paraît-il… comme le service public, l’éclairage public, les jardins publics, l’école publique et j’en oublie beaucoup : bref, des foules de biens et services payés par la collectivité, par les citoyens, et destinés à être utilisés par tous, par quiconque le désire, parce que ce qui est qualifié de public est un droit. Ce serait très intéressant à étudier : la notion de DROIT conféré par le simple fait d’être citoyen (et encore, même quand on est étranger, maintenant…) sur le nombre grandissant de biens et services publics. Jamais il n’est question de devoir, mais toujours de droit (droit de tirage implicitement illimité). C’est public, donc je prends, je me sers… déresponsabilisation des gens, assistanat, bref soviétisation de la société. Dans le même registre, j’aurais pu citer les filles publiques. Il est dans ce terme, public, plus ou moins implicitement sous-entendu que l’objet en question est de peu de valeur. Je préférerais que l’on parle de bien commun. C’est sans doute pour cela que les termes démocratie, démocratique sonnent mieux à mon oreille ; c’est l’idée de liberté qui prédomine, mais de liberté apaisée, ce qui n’est pas forcément le cas avec « république » ; une liberté qui assume ses responsabilités, en quelque sorte ; qui reconnaît que sans la notion de responsabilité, il n’est pas de liberté qui puisse vraiment s’exprimer. Du reste, une vraie démocratie doit toujours avoir des limites claires, au-delà de laquelle elle intervient pour sanctionner les contrevenants : ma liberté s’arrête où commence celle de l’autre. Le problème de nos démocraties étant à mon sens leur faiblesse, à savoir leur incapacité à faire respecter les lois qui pourtant garantissent l’intérêt commun et donc l’exercice de la démocratie. Le juridisme n’est pas pour rien là-dedans. Pour un oui ou pour un non, les délinquants trouvent des failles dans les lois et réussissent à échapper, quand ce n’est pas à faire condamner l’autorité (l’Etat, la police, etc.). Et pourquoi ? Parce que les lois sont souvent faites à la va-vite d’une part, et parce que la lettre prévaut sur l’esprit ; ce deuxième point m’a plus d’une fois choqué : quand on sait tous… Lire la suite »
Bonjour Jacques, vous êtes en forme aujourd’hui :). Pour apporter mon concours à votre commentaire;
La définition de « république » selon Larousse.fr:
« Forme d’organisation politique dans laquelle les détenteurs du pouvoir l’exercent en vertu d’un mandat conféré par le corps social… »
Déjà, on le voit, la notion de « pouvoir » est plus que vague. Pouvoir politique, économique, médiatique, judiciaire? Pas de réponse à ce sujet.
Pas de précision non plus sur la durée du mandat (4 ans, 10 ans, à vie?) ou encore la façon dont il est attribué (suffrage censitaire, universel, secret, public, à main levée, par bulletin?)
Idem pour le corps social, qui peut très bien concerner toute la population, les citoyens, ou un groupe de 10 personnes.
Bref un république c’est finalement assez peu différent d’une monarchie. Ce qui change étant le mode de désignation du pouvoir, héréditaire ou soumis au choix du souverain en titre pour la monarchie, soumis au choix d’un corps social dans une république. En fait j’aurai même tendance à penser que le potentiel dictatorial, ou autoritaire, est plus important dans une république, pour deux raisons: le besoin, le désir, de sécuriser le pouvoir pour l’homme en place (et donc de « vassaliser » le corps social en position d’arbitre) et la légitimité que possède un dirigeant élu vis-à-vis du peuple, que ne possède pas un souverain héréditaire, et qui lui laisse une marge de manoeuvre certaine.
Du coup, il n’y a vraiment pas de quoi fantasmer autour de la « République ».
« Où est la vertu de voter le partage des biens des autres et la solidarité quand on maintient un train de vie princier »
« La vertu inhérente au socialisme réside en une égale répartition … de la misère » selon W. Churchill
« Elle ( la gauche) a honte de ce qu’elle pense, honte de le dire, et s’invente des beaux habits pour le dissimuler. »
Le socialisme est une philosophie de l’échec, un principe de l’ignorance et l’évangile de la jalousie, toujours selon W. Churchill
D’où la propension des dirigeants socialistes à « déguiser » leurs idées afin de mieux séduire leur électorat, toujours aussi crédule en leurs promesses toujours aussi mensongères.
«Hitler, Staline, Pol Pot, Chavez, Mussolini, Castro, Che Gevara, Mao, tuaient pour imposer des idées de gauche «
Ces monstres ont rejoint leurs places dans les poubelles de l’Histoire. Mais, aujourd’hui, d’autres ont surgi et tuent pour imposer leur idéologie islamo-fasciste, astucieusement saupoudrée de réligieux, afin d’éviter toute critique. Ces derniers n’ont rien à envier à leur alter ego dans l’imposition de la tyrannie, de la barbarie, de l’horreur.
Bonjour Rosaly,
Je me doutais depuis quelques temps que Churchill copiait sur moi.
Tout le monde ne peut pas être GPG 😉
Bonsoir Jean Patrick
C’est la raison pour laquelle j’ai décidé de le démasquer sur Dreuz,, ce génial plagiaire! :))
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De quel parti était Churchill? Et Roosevelt?
Churchill a voyagé 🙂 il a d’abord été conservateur puis est passé au parti libéral, en partie pour des raisons électorales, en 1905 ou 1906 je ne sais plus. Et après la première guerre mondiale, il est revenu à ses premiers amours et au parti conservateur.
Roosevelt est bien plus lisible, c’était un membre du parti démocrate. Et il était très à gauche sur de nombreux sujets.
Chose amusante ces deux hommes ont tout les deux beaucoup travaillé pour la marine de leur pays respectifs pendant la première guerre mondiale. C’est à peu près tout ce qui les rapproche sur le plan humain d’ailleurs.
C’est à Roosevelt que l’on doit, d’ailleurs, les (désatreux) Accords de Yalta qui vont mener à la guerre froide!
Churchill était tory (conservateur UK) et Roosevelt démocrate.
Si j’ai tout bien compris , un zhomme politique fait le contraire de ce qu’il dit .
Jean D’Ormesson a déclaré un jour à la télévision :
Si à 20 ans on n’est pas de gauche, c’est qu’on n’a pas de coeur. Mais si à 50 ans on est toujours de gauche, c’est qu’on n’a pas de tête !
« La gauche […] sait que sa vision d’une société créée de toutes pièces à l’envers du droit naturel »
Je crois que le gauchisme est là bien résumé (je dis : le gauchisme, parce que ce dernier a aussi partiellement contaminé la droite politique, c’est un secret de Polichinelle).
A mon sens, le gauchisme, à la base, est le refus, la négation de ce que l’Abbé Arbez appelle les valeurs bibliques judéo-chrétiennes [qui ont fondé nos sociétés occidentales, pour une bonne partie].
La négation, au sens mathématique, le signe moins, qui appliqué dans le cadre d’une multiplication aux valeurs en question, donne les mêmes valeurs, mais… à l’envers.
Ces valeurs sont à la base liberté : liberté d’opinion, liberté d’expression, d’entreprendre, de conscience ; respect de la vie, sacralisation même de la vie humaine ; travail ; responsabilité : on reconnaît ses torts si on en a, et on ne cherche pas d’excuses sur le dos de la société, de son éducation, de son patron, de l’enseignant, des clients si on est entrepreneur ; respect de l’autorité, respect des « anciens » dont on écoute les avis (et dont on s’occupe dans leurs vieux jours…) ; famille… et j’en oublie certainement.
Toutes ces valeurs sont, si on y réfléchit un peu, du bon sens et ce qui est « naturel » à l’homme.
Et la gauche, le gauchisme, n’a de cesse de tenter de les détruire.
A mon sens, ces idées dangereuses ont commencé à se répandre avec la Révolution française, qui s’empressa de jeter le bébé avec l’eau du bain (i.e. les excès de l’Ancien Régime), puis les révolutions secondaires (1830, 48, la Commune…) qui s’en suivirent, et bien sûr avec la naissance du marxisme.
L’accélération s’est produite dans les années 1960 avec la conception du « politiquement correct », et en France, Mai 68…
Le libertarisme moral et le sans-frontiérisme actuels sont à mon sens le troisième étage de la fusée gauchisme.
Il,faudrai employer dorénavant la formule « parti national socialiste français »
Le mot « national » est de trop car ils n’aiment pas notre nation !
Le nom devrait plutôt être « parti internationaliste socialiste français ». En effet et c’est probablement un des sources de l’échec des « aventures » mussolinienne et hitlérienne (ainsi que Mao) que d’une part avoir choisi un système profondément anti-capitaliste, centralisateur et donc d’extrême gauche. Mais surtout, et contrairement au rêve internationaliste du délire socialiste marxiste, d’avoir basé leurs stratégies de développement sur un nationalisme effréné. Ce sont les conséquences de ce nationalisme économique (fermeture des frontières entre autres, préférence nationale absolue) qui a poussé Hitler dans l’aventure guerrière en Europe afin de financer son rêve de la Grande Allemagne.
Un livre assez bien fait expose les fondements des origines socialio-communistes des grands fascismes européens du XXème siècle: http://www.contrepoints.org/2012/10/06/99648-le-socialisme-en-chemise-brune
Et ces « ténors » étaient loin d’être des fous, ils étaient plutôt dotés d’une intelligence supérieure (voir par exemple les rapports des expertises psychiatriques des procès de Nuremberg), mais étaient fondamentalement sociopathes. Tout comme l’était Robespierre qui a organisé et encouragé le génocide Vendéen en 1793.
Les socialistes actuels sont dans la veine de l’internationalisme originel du mouvement dit « ouvrier ». En ce sens et sur cette base philosophique, ils convergent avec les stratégies des grands capitalismes internationaux pour lesquels les frontières représentent les barrières ultimes à abattre. Frontières en tant qu’entraves réglementaires (sanitaires, principe de précaution…), protectionnisme anti-concurrentiel par les appellations d’origine protégée que la TIPP se promet de supprimer…
Internationalisme islamiste dans lequel les socialistes et autres malades de la gauche se retrouvent également. Sauf que l’islamisme est par nature a-national; il veut détruire les nations pour n’en créer qu’une: l’Umma.
Le grand capitalisme sauvage moderne et le socialisme se sont trouvé des idéaux et objectifs communs. L’acculturation et la batardisation des peuples en sont deux exemples. L’islam surfe sur cette vague de fond consensuelle et entend en profiter pour satisfaire son délire eschatologique originel.
Tout ces systèmes sont sociopathes car ils nient le libre arbitre individuel. Mais ils sont orchestrés par des personnes loin d’être « folles ».
Juste un petit bémol: sans chercher à disculper Robespierre, il fut loin d’être le seul, ni même le principal responsable de la répression, puis de la Terreur, ou du quasi-génocide vendéen. Fondamentalement intègre et légaliste, il s’opposa même souvent aux excès de la Révolution, mais fut dépassé par d’autres, bien plus sanguinaires et/ou profiteurs que lui. Et son rôle dans la Terreur fut délibérément amplifié pour en faire le bouc émissaire tout désigné, et permettre à d’autres responsables, infiniment plus coupable que lui dans les excès et les dérives de la Terreur de faire volte-face. Celle-ci ne s’arrête d’ailleurs pas au 9 thermidor, toutes les dispositions terroristes ne sont pas levées et la Terreur continuera encore de longs mois, même si c’est de façon plus « mesure ».
Mis ceci n’enlève rien à votre raisonnement, qui est globalement exact, si on considère la «dimension collective» de cette immonde et ignoble Révolution Française, qui fut épouvantable !
…, schizophrénie ,…
En France la droite n’existe pas, un groupe de socialiste se dit de droite (sarko et compagnie ) histoire que le cirque électoral et le semblant de démocratie continue.
La gauche a une grande force: elle est capable de répéter un mensonge plus de 1000 fois pour en faire une vérité. Dans un film Western ces gauchistes seraient tous goudronés et roulés dans la plume, mais ils se pensent tous intellectuels aussi ils évitent les saloons et les films western italiens 😉
Il faudrait passer tous les gauchistes à la dégauchisseuse, mais il y a tellement à raboter qu’il ne resterait plus grand chose au final…
la gauche dans toute sa splendeur
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/12/15/97001-20151215FILWWW00226-escroquerie-thomas-fabius-en-garde-a-vue.php
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2015/10/29/01016-20151029ARTFIG00233-thomas-fabius-cible-par-un-mandat-d-arret-aux-etats-unis.php