Publié par Manuel Gomez le 18 décembre 2015

Toutes les entreprises concernées, et même les syndicats, s’accordent à reconnaître que des « radicalisés Fichés S » sont employés dans des zones jugées sensibles, aussi bien dans les aéroports de Paris et de toute la France qu’à la SNCF, à la RATP, et dans bien d’autres services publics et privés.

Ils opèrent dans des zones dangereuses pour notre sécurité.

57 islamistes, agents assermentés à l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle

On a constaté que sur la seule plateforme de l’aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle, 57 agents assermentés, soupçonnés de radicalisation, s’étaient vus retirer leur habilitation.

La direction d’Air France s’est refusée à tout commentaire.

Je concluais mon article : « Combien de dizaines qui ne sont pas encore soupçonnés de radicalisation (où qui savent mieux la dissimuler) sont toujours en activité dans des endroits jugés très sensibles ? »

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70 islamistes en possession d’un « badge rouge » qui permet l’accès aux zones interdites au public

Aujourd’hui, le patron d’ADP (Aéroports de Paris), Augustin de Romanet, nous informe que 4000 casiers appartenant au personnel ont été perquisitionnés, et que 70 employés en possession d’un « badge rouge » (badge qui permet l’accès aux zones interdites au public) se sont vus retirer ce badge pour « raison de radicalisation ».

Romanet ajoute que 85.000 personnes possèdent un « badge rouge » et que depuis les attentats, 100% des bagages en soute sont désormais contrôlés, contre 30% auparavant.

Malgré ces confirmations, Romanet n’est toujours pas autorisé à communiquer aux entreprises qui en font la demande, la liste des « Fichés S » afin qu’elles puissent sinon les licencier tout au moins les déplacer, les muter, vers d’autres postes.

Des « radicalisés » peuvent toujours circuler librement dans des zones jugées très sensibles

Donc des « radicalisés » sont probablement toujours employés dans ces entreprises et peuvent circuler librement dans des zones jugées très sensibles.

Ajoutons à ce risque important, et invisible, l’information des services de renseignement qui estiment à 438 le nombre de djihadistes, de terroristes, qui se promènent actuellement en France, en toute liberté bien que “surveillés”, et que ce nombre est en augmentation constante, plus de 30% depuis le mois de mai 2015.

Comment ont-ils pénétré sur notre territoire ? Et en pénètrent-ils encore actuellement, malgré l’état d’urgence ?

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

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