Publié par Jean-Patrick Grumberg le 6 janvier 2016

Cologne, Hambourg, Stuttgart… la police et les Allemands inquiets après une nouvelle série d’agressions sexuelles le soir du réveillon du nouvel An dans plusieurs villes allemandes, toutes sur le même modèle : des meutes d’hommes d’origine arabe et africaine pourchassent, harcèlent sexuellement, volent, violent des jeunes femmes.

Mise à jour le 9 janvier : le nombre de plaintes pour agressions, violences sexuelles vient d’atteindre le nombre de 379 victimes déclarées !

Mise à jour le 7 janvier à 06:15 : nous apprenons de nos contacts en Allemagne que dans un premier temps, la presse allemande, qui est de gauche comme partout, a publié à contre cœur et discrètement que les agresseurs sexuels sont des réfugiés récemment arrivés. Puis, quand l’affaire a pris de l’ampleur et que plusieurs villes ont été touchées par le nouveau fléau, les médias ont tenté de minimiser. Et quand ce fut impossible, ils ont commencé à affirmer “qu’on ne sait pas exactement qui sont les prédateurs” – en déni total de la réalité, car 7 des personnes arrêtées par la police depuis les incidents sont des réfugiés – c’est la phase actuelle.

L’Allemagne découvre avec effarement les bienfaits d’une population réfugiée musulmane misogyne, homophobe, et éduquée dans l’idée qu’une femme doit être soumise aux désirs des hommes.

L’Allemagne qui accélère son suicide (son très faible taux de natalité a déjà signé sa volonté de disparaitre) a accueilli les bras ouverts une population de réfugiés mâles arrivés sans femmes – et nous avions annoncé que cela ne pouvait pas ne pas poser des problèmes de viols, car ces hommes ont besoin de satisfaire leurs besoins sexuels, et si dans leurs pays ils sont freinés par les burqas, ils ne sont pas habitués aux mini-jupes et tenues occidentales qu’ils considèrent comme une invite.

L’Allemagne peut toujours feindre de se plaindre de la situation explosive, mais quand on est con on est con, et ça se paye. Et il faut vraiment être sacrément con pour ne pas avoir vu venir ce qui arrive. Con ou politiquement correct, cela revient au même rejet du bon sens.

Donc. Pendant la nuit de la Saint-Sylvestre, plusieurs dizaines de femmes ont été agressées sexuellement par des groupes composés de centaines d’hommes musulmans, dans plusieurs grandes villes, rapporte la police et quelques médias.

A Cologne, le chef de la police, Wolfgang Albers a déclaré au Süddeutsche Zeitung que “l’ampleur des crimes sexuels a atteint une dimension jamais atteinte”, laissant au lecteur le soin d’imaginer cette nouvelle dimension…

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Albers confirme au quotidien allemand – et c’est bienvenu car la plupart des journalistes travaillent dur pour enterrer la réalité contraire à leur idéologie xénophile, que les agresseurs étaient nord-africains et arabes, selon les victimes et les témoins.

Quelques rares médias (en Allemagne, tous les médias ne sont pas en état avancé de décomposition morale comme en France) affirment que de “meutes d’hommes” s’en sont pris à des femmes, parfois très jeunes.

A Cologne, elles ont été dérobées de leurs téléphones, argent et effets personnels, violées, agressées, harcelées, principalement près de la gare principale de Cologne.

Près de la gare centrale et de la place de la Cathédrale, 400 à 500 hommes jeunes d’origine nord africaine, tunisiens, marocains et algériens dans la vingtaine selon la police, ont commencé à faire éclater des pétards dans la foule…

Pour l’instant, nous avons reçu 60 plaintes, dont deux tiers concernent des agressions sexuelles, a déclaré la police, qui suspecte qu’un plus grand nombre va suivre : “les agressions sont d’une toute nouvelle envergure”, a déclaré le chef de la police de Cologne Wolfgang Albers.

Environ 15 jeunes femmes ont déclaré avoir été sexuellement agressées, et il y a même eu un cas de “viol par plusieurs hommes” a déclaré Albers.

Une volontaire de la police se trouve même parmi les femmes qui ont été sexuellement agressées, rapporte The Guardian.

Des groupes d’hommes de 15 à 35 ans se sont regroupés pour voler et harceler des jeunes femmes. Ils se sont livrés à des attouchements, a précisé Albers, au point que la maire de Cologne a immédiatement réuni une cellule de crise.

143 officiers de police furent envoyés à la gare centrale pour donner renfort aux 70 policiers fédéraux déjà sur place. Selon le commissaire de police Wolfgang Wurm, les victimes et les témoins ont tous déclaré que la plupart des agresseurs “semblaient venir d’Afrique du nord et avaient l’apparence arabe”.

La maire de Cologne, Henriette Reker a d’abord décrit les évènements comme “outrageants”. Mais plus tard, lors d’une conférence de presse, elle a accusé les jeunes femmes agressées d’être responsables de leur sort en raison de leur comportement, qui devrait être adapté à la présence et à la culture de ces nouveaux venus en restant à distance des agresseurs. Elle a mis en cause les tenues vestimentaires féminines, qui provoquent l’appétit sexuel de ces étrangers venant de pays musulmans, tout cela pour ne pas avoir à désigner les vrais coupables et rester politiquement correcte.

A Hambourg, Bild parle de “chasse aux jeunes femmes comme du gibier» par des hordes musulmanes sauvages, dans la Reeperbahn, la rue animée de Hambourg.

Plusieurs groupes d’environ 5 à 15 hommes se sont littéralement engagés dans “une chasse aux jeunes femmes comme on chasse du gibier”.

Le premier incident s’est produit vers minuit dans Hans-Albers-Platz et Grosse Freiheit. Selon des témoins, la plupart des agresseurs étaient des jeunes étrangers probablement nord africains qui se sont mis en bandes pour harceler des jeunes femmes, d’abord verbalement en les traitant de “salopes”, “vicieuses”, “putes”. Puis les proies étaient entourées, puis violentées et volées. Les hommes se sont livrés à des attouchements, attrapant la poitrine et le sexe de leurs proies.

Les téléphones des jeunes femmes portables furent volés, rapporte le porte parole de la police Holger Vehren: “pour l’instant, sur les 6 plaintes que nous avons enregistré, les victimes ont entre 18 et 24 ans…” mais il semble qu’il y ait beaucoup, beaucoup plus de victimes.

Beaucoup sortaient de clubs ou de pubs, et ont commencé à paniquer puis à éclater en sanglot, et de honte, n’ont pas alerté la police.

Denise, 17 ans (le prénom a été changé) déclare : “Deux amies à moi ont été attaquées. Des filles étaient pourchassées comme on chasse des animaux. Qu’une chose pareille soit possible à Hambourg me rend malade. Maintenant on a peur de faire la fête dans le quartier”.

D’autres jeunes femmes, sur les réseaux sociaux, avouent avoir été touchées sous leurs jupes, et si elles résistaient, les agresseurs leurs immobilisaient les poignets.

La police a ouvert une enquête pour harcèlement sexuel, vol et agression.

Puis les meutes se rendirent dans les rues de Reeperbahn et continuèrent leurs actes de barbarie, qui ressemblent, est-ce une coïncidence, aux récits de razzias et de conquêtes de l’islam contre les peuples dont les terres, les richesses étaient convoitées.

La police a fait un appel à témoins qui sont priés d’appeler le 040/4 28 65 67 89.

A Stuttgart, deux jeunes filles ont été sexuellement violentées par un groupe d’hommes, puis volées et frappées, témoigne le magazine Focus citant la police municipale.

Deux jeunes filles de 18 ans marchaient dans Schlossplatz vers 23h30 quand elles furent soudainement encerclées par environ 15 hommes qui les empêchèrent de s’enfuir. Ils se sont alors livrés à des attouchements, et leur ont dérobé leurs smartphones et leurs sacs. Elles doivent de ne pas avoir été violées à la présence de passants qui leur ont permis de partir en courant.

Dans un communiqué, la police a lancé cet appel à témoin pour retrouver les perpétrateurs : “il s’agit d’Arabes de type nord africains aux cheveux noirs, agés d’environ 30 à 40 ans. Les gens qui sont venus en aide des jeunes femmes, et les autres témoins de l’incident sont priés de se faire connaitre auprès des autorités du département d’enquêtes criminelles aux numéros suivants : 8990/5778.”

“nous avons compris que tout ceci a été planifié”

Arnold Plickert, président d’un syndicat policier de NRW (Nord Rhin Westphalie), a déclaré au Deutsche Presse Agentur que les agressions étaient “d’un genre nouveau … et ce que nous avons compris, c’est que tout ceci a été planifié.”

Mais rassurez-vous, devant l’évidence, il se trouve aussi en Allemagne de nombreux journalistes complices et franchement abjectes qui affirment “qu’il n’existe aucune preuve pour le moment que les réfugiées soient les auteurs de cette nouvelle violence”. Ces mêmes journalistes sont les premiers à condamner l’extrême droite sans s’embarrasser de la moindre preuve ni précaution, lorsque l’occasion se présente. Ainsi, ils accusèrent les sympathisants de Pegida d’être des néo-nazis et des extrémistes de droite, ce qu’une étude universitaire sérieuse montra être un mensonge – sans qu’aucun média n’en tienne compte et ne revisite sa diabolisation du mouvement.

Globalement, la presse française est restée très discrète, car elle est très engagée dans la propagande immigrationniste. Quand les possibilités de minimiser les actes barbares commis par des immigrés ne sont pas nombreuses, alors ils “oublient” d’en parler, ou leur trouvent des excuses : désespoir comme pour les agressions contre les Israéliens, rejet social comme les terroristes français, précarité pour les réfugiés et migrants en Allemagne, et silence radio pour ceux de Calais, où la population semble vivre un drame sans précédent, et est laissée à l’abandon pour ne pas déroger à la règle politiquement correcte.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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