Publié par Thierry Ferjeux Michaud-Nérard le 30 janvier 2016

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Mais que diable Finkielkraut allait-il faire dans cette galère irrespectueuse des Fourberies de Pujadas sur France 2 ?

Citons le grand Molière :

“Scapin : La justice, en pleine émission de l’insignifiant Pujadas sur France 2 à “Des parlotes et des passages à l’acte“, Vous moquez-vous des gens ?

Géronte : Que diable Finkielkraut allait-il faire dans cette galère ?

Scapin : Il ne devinait pas ce malheur.

Géronte : Tu dis qu’il demande…

Scapin : Cinq cents écus.

Géronte : Cinq cents écus ! N’a-t-il point de conscience ?

Scapin : Ce sont des gens qui n’entendent point de raison.

Géronte : Mais que diable allait-il faire dans cette galère ?”

“Monsieur de Pourceaugnac : Voilà un illustre et c’est le héros de notre siècle pour les exploits dont il s’agit : un homme qui, vingt fois en sa vie, pour servir ses amis, a généreusement affronté les galères… et qui est (critiqué) pour je ne sais combien d’actions honorables qu’il a généreusement entreprises…”

Émilie Geffray a rapporté sur lefigaro.fr :

Pour le bien de la France, taisez-vous Finkielkraut !” Wiam Berhouma a reproché de manière virulente au philosophe ses déclarations sur l’Islam et les musulmans. Les échanges (ont été) houleux entre Alain Finkielkraut et Daniel Cohn-Bendit, venus débattre (pourquoi eux ?) de “l’avenir de la France…”

Invitée à poser une question à l’ancien député européen et au philosophe et membre de l’Académie française, Wiam Berhouma s’est adressée longuement à Alain Finkielkraut, lui reprochant ses différentes déclarations sur l’Islam et les musulmans”.

Wiam Berhouma:Je souhaite dénoncer les actes racistes envers les musulmans, l’islamophobie, les discriminations… Ces attaques sont nourries, alimentées et encouragées par des discours politiques, par des pseudos intellectuels qui en parlent et en font des analyses et par des médias qui traitent l’information de manière totalement biaisée de sorte de faire du musulman l’ennemi de l’intérieur“.

Empêchant Finkielkraut de répondre, Wiam Berhouma a poursuivi :

Là où votre rôle d’intellectuel était d’éclairer les débats, vous avez obscurci nos pensées, nos esprits avec tout un tas de théories vaseuses et très approximatives… Vous vous êtes permis, vous vous êtes octroyé le droit de parler de l’Islam, des musulmans, des quartiers populaires alors que vous n’en avez ni les compétences ni la légitimité“.

Elle a ensuite évoqué le passage du philosophe dans Ce soir (ou jamais !) sur France TV.

Il y a une vidéo qui tourne sur Internet où vous criez à M. [Abdel Raouf] Dafri : “Taisez-vous, taisez-vous”. Pour le bien de la France, je vous dis la même chose : “Taisez-vous M. Finkielkraut” !

Finkielkraut : “Je suis accusé d’être barréssien [partisan de Maurice Barrès, figure de proue du nationalisme français], c’est un contresens terrible, j’essaie de répondre et je suis interrompu une fois, deux fois, trois fois (et) pour pouvoir finir ma phrase, je dis “taisez-vous“…

Les commentaires des internautes sur Twitter :

Merci Wiam Berhouma d’avoir parfaitement illustré l’arrogance des banlieues et la duplicité de l’Islam”…

“Un vrai débat digne et constructif jusqu’à l’intervention de Wiam Berhouma qui attise la haine de la République”…

“Qui est Wiam Berhouma l’arrogante et l’insultante face à Finkielkraut ? Un membre des Indigènes de la république“…

Thomas Clavel écrit sur bd Voltaire :

Wiam Berhouma a répandu son fiel et sa détestation d’une France “islamophobe” et “raciste”

Finkielkraut chez Pujadas-DPDA, c’était vraiment la défaite de la pensée… On attendait un combat sur le plateau de France 2 : Daniel Cohn-Bendit, le libertaire binational et polyglotte, contre Alain Finkielkraut, le défenseur de l’esprit français et des belles lettres… Le philosophe (fit) une déclaration d’amour liminaire à la “féminité à la française” qui désarma le jouisseur européen qui fit preuve, à son tour, d’une rare courtoisie, (quand, avec le coup monté très foireux de Pujadas) des tribunes a surgi le venin (de Wiam Berhouma) arborant sa foi musulmane. Dans un interminable monologue, Wiam Berhouma a répandu son fiel et sa détestation d’une France “islamophobe” et “raciste”, avec une morgue et une violence inouïes. Après avoir matraqué son dégoût d’une nation dont elle est censée, par sa fonction même, promouvoir l’amour et la grandeur, elle s’en est prise directement à Alain Finkielkraut.

“Venue dans le seul but apparent d’agresser l’écrivain en public, elle n’a pas lâché sa proie pendant de longues minutes, faisant fi des (lâches) remontrances (complices) bienveillantes de Pujadas Après avoir assimilé l’auteur de La Seule Exactitude* aux “pseudo-philosophes”, jeté dans le même sac que Zemmour, elle s’est muée en clasheuse de cité, cherchant à défaire le philosophe et ses “théories vaseuses” en réduisant la subtilité de sa pensée et en lui reprochant de “surfer sur les peurs et d’alimenter les amalgames”.

Finalement, “elle posa sa question rhétorique : Êtes-vous conscient de faire mal à la France ?

Et Finkielkraut de traduire : “Suis-je conscient d’être un salaud ?

Après avoir rappelé une vidéo qui circule sur Internet, où le philosophe malmené hurle au cinéaste Abdel Raouf Dafri de se taire, elle reprit l’injonction à son compte en achevant son propos par un “Taisez-vous, au nom de la France !

C’est la génération islamiste, ignare, propagandiste, et sans culture, “la génération YouTube” contre la civilisation et la culture du livre, “avec le buzz (dont le triste Pujadas a su se faire le complice par le passé) en ligne de mire“.

C’est la génération de la république socialiste.

C’est la génération de “l’immodestie éhontée, militante et associative contre le doute cartésien et le questionnement soucieux. Soutenue par (une) idéologie (islamiste) antiraciste, elle est venue “se faire Finkielkraut en direct”, ne doutant de rien, c’est la base ! “

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C’est au (piège) de la pensée que nous avons assisté (chez Pujadas). Le libertaire de gauche comme l’auteur de La Défaite de la pensée ont été boutés hors du (débat républicain) “par la violence d’une (militante) à l’insolence décomplexée, communautariste, sans aucun respect (pour les autres) et qui, pourtant, n’a que ce mot à la bouche ! C’est la marche des fiertés. Elles donnent le droit de ne pas penser.”

Pujadas voulait, encore une fois, “faire un coup” avec le buzz sur France 2, pour se faire remarquer de la caste politico-médiatique. Il fallait des otages comme le “diable Finkielkraut” pour briser les tabous et jeter les anathèmes islamistes contre les intellectuels déviants de la “Réac Academy” des intellos-bobos ou Joffrin de “Libération de gauche“. Le triste Pujadas devait, non pas valoriser l’ensemble des participants et respecter le public et les téléspectateurs, mais se payer le luxe d’une nouvelle polémique sur France 2, empêchant de débattre, en voulant adopter une “posture médiatique avantageuse“, notamment celle du présentateur télé qui se fait manipulateur et faussement rebelle en “bousculant les tabous” ! (Natacha Polony)

La violence islamiste de Wiam Berhouma a dit vrai, avec sa “haine social-proclamée de la France“, se faisant “égérie de la république socialiste“, portant le message islamo-communautariste dans les cités et pour “se faire voir à la télé“.

Pour conclure, on dit crier “au secours” et paraphraser le grand Arnold Toynbee :

Avec Hollande, “la civilisation (de la France éternelle) n’est pas assassinée, elle se suicide !”

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Thierry-Ferjeux Michaud-Nérard pour Dreuz.info.

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