Publié par Jean-Patrick Grumberg le 18 janvier 2016
Dafna Meir, 38 ans, poignardée à mort devant ses enfants
Dafna Meir, 38 ans, poignardée à mort devant ses enfants

Hier, sous le regard de trois de ses enfants, Dafna Meir, une maman âgée de 38 ans, a été poignardée à mort par un colon arabe, terroriste palestinien, qui s’était introduit dans la localité d’Otniel. Dafna Meir a combattu le terroriste et l’a mis en fuite pour préserver ses enfants.

Hélas, elle a succombé à ses blessures après avoir agonisé sous leurs yeux.

Je veux bien prendre des leçons de morale. Je veux bien entendre les hurlements des défenseurs des droits de l’homme lorsqu’un arabe palestinien est abattu par un soldat israélien – sans qu’ils ne veuillent rien entendre des motifs et du contexte.

Mais quand j’entends le silence sourd, lourd, étouffant presque, avec quelques ricanements en fond, de ces médias sermonneurs, alors qu’hier, l’horreur s’est abattue sur cette jeune femme israélienne de 38 ans, innocente, là, je ne prends plus de leçon de morale, j’en donne.

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Je n’entends plus les hurlements des défenseurs des droits des Palestiniens mais le bruit des bottes des boches qui résonne.

La coupe est pleine.

Quand je lis des Stéphanie Marteau, des Alain Gresh, Edwy Plenel, Pascal Boniface, Armin Arefi etc. s’ériger en humanistes, consacrer leur énergie à blâmer les juifs israéliens, et pas une ligne sur l’atrocité d’hier – parce qu’il ne veulent pas montrer que les arabes de Palestine dépassent l’ignoble et l’inhumain, quand je lis qu’ils légitiment cette barbarie palestinienne – légitimation qui est un attribut de l’extremisme de droite – je ne m’interroge plus, je constate.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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