Donald Trump a déclaré en janvier dernier que lorsqu’il sera élu président (il ne dit pas si je suis élu mais lorsque je serais élu), il déplacera l’ambassade des Etats Unis à Jérusalem.
Le geste est symbolique et fort, c’est une reconnaissance de la capitale de l’Etat juif. Malgré le vote en ce sens du Congrès, tous les présidents américains ont refusé de le faire.
“Il faut se fier aux Israéliens, ils savent mieux que nous ce qui se passe”
Répondant aux questions de Sean Hannity, Trump a expliqué que sur le risque nucléaire iranien, “il faut se fier aux Israéliens, parce qu’ils savent mieux que nous ce qui se passe là-bas.”
“J’ai tellement d’amis juifs qui soutenaient Obama, ajoute Trump, ils sont dégoutés, ils ne comprennent pas ce qui s’est passé, ce qui a mal tourné. Le président Obama a été la pire chose qui est jamais arrivée à Israël.”
“Netanyahou est quelqu’un de bien, mais il n’a pas pu convaincre [le président Obama], il était trop stressé.”
Hannity : J’avais cru comprendre que vous seriez neutre dans le conflit arabo-israélien, mais vous dites maintenant que Israël est la victime de ce conflit.
Je suis un grand ami d’Israël. J’étais le “grand maréchal” de la journée de célébration d’Israël. Mon gendre Jared est juif, et Ivanka [qui s’est convertie au judaïsme orthodoxe] va avoir un bébé la semaine prochaine. Bibi Netanyahou m’avait demandé de faire une publicité pour sa campagne électorale, j’ai fait la publicité :
(texte : “mon nom est Donald Trump, et je suis un grand fan d’Israël, et franchement, un premier ministre fort, c’est un Israël fort. Et vous avez vraiment un grand premier ministre. Personne n’est comme Benjamin Netanyahou. C’est un gagnant, il est très respecté, tout le monde a une haute opinion de lui. Et les gens ont beaucoup de respect pour ce qui se passe en Israël. Votez pour Benjamin Netanyahou, c’est un type formidable, c’est un dirigeant formidable, génial pour Israël”)
L’accord ultime, ce serait de signer un accord entre les Israéliens et les Palestiniens. Si nous pouvons, si nous pouvons y arriver, si c’est possible. Mais des gens de très haut niveau, très informés, m’ont dit que c’est impossible. Il y a trop de haine, surtout d’un coté – je ne vous dirais pas de quel coté [sourire ironique].
Du coté palestinien ?
La haine des palestiniens est si intense, depuis l’âge de 2 ans on leur dit d’avoir la haine des juifs
Oui [avec la tête et le sourire] Leur haine est si intense, si incroyable. Depuis l’âge de 2 ans, on leur dit d’avoir la haine, d’avoir la haine, d’avoir la haine [des juifs] ! On doit y mettre fin.
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Si Israël est attaqué et que vous êtes président des Etats Unis, vous viendrez à leur défense [ou vous resterez neutre] ?
A 100% je viendrais défendre Israël ! [hurlements de joie, long applaudissements dans la salle]. Au fait, vous savez que selon l’accord avec l’Iran, si Israël attaque l’Iran, nous devons attaquer Israël – mais ne vous inquiétez pas, ça n’arrivera pas.
Ne vous inquiétez pas Israël, nous serons là pour vous.
De tels propos, ne cherchez pas plus loin pourquoi l’ensemble de la presse française crache sur Donald Trump !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Chaque jour qui passe renforce mon admiration pour Trump. Et merci pour ces articles. Il est impensable pour moi que dreuz disparaisse quand je lis toutes ces analyses .
Oui, Trump est porteur d’un immense espoir pour Israël mais aussi pour nous tous.
Oui, le monde libre peut espérer regagner du terrain sur la barbarie et la domination gauchiste grâce à lui.
Oui, il faut continuer à écrire des titres enthousiastes et des articles positifs concernant son ascension.
Il n’y a aucun raison de laisser les médias baver leur haine sans riposter. Ils doivent rager et c’est tant mieux.
j’ai également vu l’entretien de Donald Trump sur Fox News
entièrement d’accord sur son analyse internationale et sur son soutien inconditionnel à Israël.
En revanche, je reste sur ma faim sur ses mesures économiques floues : absence de flat tax, de suppression des niches fiscales, pas de chiffrage du taux des impôts des sociétés pour éviter les délocalisations. Il est actuellement de 34%, le plus fort taux du monde, ce qui explique la fuite des sociétés américaines vers l’Irlande où le taux est de 12.5%.
Trump n’a pas beaucoup développé son plan économique hier soir, mais il l’a fait en d’autres occasions.
En gros, c’est :
Pour les entreprises : 15%. C’est le bon sens appliqué à l’économie : au lieu de pleurer sur l’existence de paradis fiscaux, autant en faire un soi-même, ça attire les entreprises, donc la richesse et l’emploi.
Pour les particuliers, simplification du code des impôts et de la feuille à remplir (entre ma femme et moi, j’en ai personnellement 13 pages) 0 impôts pour ceux qui gagnent moins de $50,000, et 10, 20 ou 25% pour les tranches au dessus.
Suppression des droits de succession (qu’il serait honnête d’appeler taxe sur la mort).
Le détail est sur son site de campagne : https://www.donaldjtrump.com/positions/tax-reform
Meme avec un taux de 15 pc, cela n empêchera pas les délocalisations en Asie. La fiscalité n est qu un facteur parmi d autres. Le plus important est le coût de la main d œuvre et il est impossible de produire en Occident aux mêmes couts qu en Asie. En tant que chef d entreprise Trump ne peut pas ne pas le savoir.
Je lisais sur atlantico la semaine dernière que certains États américains étaient devenus de véritables paradis fiscaux, comme le Dakota du sud, avec secret bancaire etc. Des taux bas de personal tax peuvent influer sur le rapatriement des fortunes sur le territoire américain, et en matière de corporate tax, pourront limiter les montages d optimisation fiscale (légaux, faut il le rappeler) mais n auront qu un effet marginal sur les délocalisations de la production.
Il n’y a pas que le coût de la main d’œuvre qui compte. Il y a d’autres facteurs comme la proximité de la main d’œuvre, la qualité de la main d’œuvre, et au delà, les coûts et le temps de transport.
Pourquoi croyez-vous que les fabricants d’électronique grand public turcs tiennent si bien le coup en Europe, c’est parce qu’ils ont des coûts et des temps d’approche bien plus faibles. Ils peuvent fabriquer de plus petites séries et les livrer plus vite, ce qui leur permet de réduire leurs surstocks et leurs invendus pour des produits technologiques qui changent vite.
Certes, ce n’est pas un argument pour Oreo 😉
Il n y a pas que l électronique. Il y a aussi le textile et la les asiats sont imbattables. Il y a meme une concurrence féroces entre les pays d Asie. Certaines boites sont les profits sont pour l essentiel réalisés à Singapore ou à Hong Kong délocalisent leur production vers le Cambodge depuis l Indonésie (ou le coût de la main d œuvre est pourtant tres bas) juste pour augmenter leurs marges qui sont deja considérables.
Nous sommes d’accord, c’est pourquoi j’ai cité Oreo qui est parti au Mexique.
Mais nous parlions initialement de paradis “fiscal”. Le sujet a glissé vers des considérations de gestion d’entreprise qui seront plus ou moins affectées par une réduction de la fiscalité.
Lorsque l’on compare à la France, on est sidéré de voir que la France n’est qu’un pays soviétisé d’un point de vue économique et fiscal : le fruit du travail, l’épargne, l’effort, sont sanctionnés par Bercy (La droite comme la gauche, en France sont soviétisé ; ces partis ne savent que créer de l’impôt de la taxe. Quand l’économie sera libéralisée ?)
Il est absurde que les gens paient des droits de succession car celui qui lègue a déjà payé des impôts (c’est l’impôt sur l’impôt, et l’impôt sur la mort comme vous le dite si bien).
De plus, autre absurdité, les taxes foncières et d’habitation en France, on paie un impôt pour avoir le droit d’habiter chez soi…
La France est un pays où les impôts et les taxes paralysent le pays, c’est le seul pays au monde où l’impôt est rétroactif, ou l’impôt est sur l’impôt…
J’espère sincèrement que nos politiques prendront exemple sur D. Trump et qu’en particulier la droite cesse d’être une annexe du PS !
Vos politiques détestent les USA de BUSh et de D. Trump, vos politiquent aiment l’Islam dur , et le model communiste
Les patriotes me font chaud au Cœur
L’Israël Poutine et les USA doivent se détourner de la France Merkel et autres qui n’en valent pas la peine , ça va plomber l’alliance laissons les Français et autres losers devenir Arabes et Musulmans.
Le Français n’a pas compris , ile détestent les Juifs mais adorent les Punitions comme le Bataclan, après ils se prennent pour des Hommes bien sur après quelques verres de Pastis et autre substance fortes .
Il faut quand même se remettre au gout du jours ils collaborent avec l’Islam ainsi que Hussein le Musulman (lui on lui pardonne il est Muzz) , mais les autres sont très soumis le Juppé un sacré frog ce mec , ex taulard Sarko lui il aime l’Islam c’est bien il va aller en prison il y retrouvera ses potes Islamiques des 700 Zones de non droit.
Bref on croit rêver avec ces losers fini , qu’ils n’en valent pas la peine.
Tout cela est bel et bon mais il ne faut pas oublier que Trump est pro Trump d abord et avant tout. De plus je crois me souvenir des déclarations d amour de Barack Obama pendant sa campagne, on a vu le résultat …
Le plus authentiquement pro israélien de tous les candidats à l investiture, GOP comme démocrate, c est Rubio.
J\’attendais cette réponse, elle est logique : vous avez de légitimes doutes. Mais je vous rappelle que lorsque Trump a fait le clip de campagne pour Netanyahou, quand il a présidé à la journée pour Israël, quand il a dit que ce qui était arrivé de mieux à sa famille, c\’est la conversion de sa fille Ivanka, il ne se présentait pas à l\’élection présidentielle : c\’était désintéressé et honnête.
Un bon point pour lui : Trump est new Yorkais. En tant que tel il est ouvert aux juifs et au cosmopolitisme (dans le bon sens du terme).
Le plus pro israelien de tous est Ted Cruz. Il n;y pas photo. Et Rubio est tres pro israelien.
Ted Cruz est beaucoup plus que tres pro israelien.
Dans « future amitié intense », le mot important est « future ». Avec un opportuniste tel que Trump, les promesses n’engagent que ceux qui les reçoivent.
JPG a expliqué clairement que les promesses ont précédé de beaucoup sa campagne. Quand à l’accuser d’opportuniste, n’oubliez pas que vous êtes sur Dreuz : cela veut dire que vous êtes invité à argumenter vos accusations. Donnez des exemples, c’est ainsi que les idées se forgent, pas avec une simple accusation.
Trump a tellement varié…
http://www.politifact.com/personalities/donald-trump/
Il a lui-même reconnu avoir eu des idées libérales pendant de nombreuses années, mais il a rappelé que Reagan aussi.
D. Trump va faire ami avec Poutine aussi , sale temps pour les losers
Je ne sais si Trump sera élu mais il est certain que s’il l’est ce sera un grand président qui apportera paix et prospérité à son pays mais aussi à ses amis. Pourvu que la sorcière Hillary se fasse ratatiner aux primaires car Sanders va se faire laminer avec son programme socialo communiste.
C’est Sanders qui va se faire ratatiner, ça c’est presque certain. Par contre, pour l’instant, elle bat Trump – mais le FBI n’a pas dit son dernier mot.
… et beaucoup menti, comme sur la guerre contre l’Iraq.
http://www.politifact.com/truth-o-meter/statements/2016/feb/13/donald-trump/donald-trump-says-his-early-opposition-iraq-war-wa/
Bon. Un homme politique ment. Trump ment plus que les autres. Voilà tout.
Lacy & daun. Politifact n’est pas toujours un bon point de reference car son parti-pris est devenu notoire http://www.politifactbias.com/p/about-politifact-bias.html
Vous dites: “un homme politique ment,” mais Trump n’est pas un homme politique. On pourrait dire que sur la guerre contre l’Irak il etait tres tiede, et ses paroles demontrent le doute qui l’animait.
Au lendemain des attaques du 11 septembre, et apres avoir visionne sur nos ecrans la mort de 3000+ personnes, les democrates, republicains et le peuple americain etaient principalement POUR cette guerre.
I- Certes, il n’est pas un politicien professionnel mais il ne sort pas de nulle part. Il est à la fois un homme d‘affaires et un homme politique. La meilleure preuve en est qu’il ne s’agit pas de sa première tentative dans une campagne présidentielle. Pour ce qui est de ses mensonges, ils sont suffisamment répertoriés pour que je n’ai pas à revenir dessus.
Nul mépris de ma part à son égard, son succès, tout comme les résultats inespérés de Bernie Sanders, témoignent de ses talents à incarner les angoisses et à proposer une vision de renouveau à une Amérique malade.
Et plutôt que d’en accuser Obama ou les instances du Parti républicain, je suggère de méditer une autre analyse qui mérite au minimum d’être débattue, même si elle ne correspond certes pas aux idées défendues par dreuz et qui, en filigrane montre que les deux candidats anti-establishment que sont Trump et Sanders surfent exactement sur la même vague :
« … aspect inédit de cette campagne des primaires républicaines : […] le fait que Trump pose une question différente de celle posée dans les primaires républicaines depuis plus de quarante ans : non pas une question de valeurs, mais bien une question économique et sociale, en somme une question de classe. On est passé de la lutte idéologique sur la définition du conservatisme à la lutte des classes, soit une caractéristique insolite pour les Etats-Unis et un comble pour les républicains.
Les Américains, et particulièrement les républicains, sont en effet historiquement rétifs à la rhétorique de la lutte des classes. L’Amérique est le pays de la réussite personnelle et de la liberté individuelle qui ne peut supporter aucune interférence de l’Etat. Dans l’esprit des électeurs républicains, si les pauvres sont pauvres, c’est qu’ils le veulent bien, puisque le rêve américain permet à chacun de réussir par le travail s’il le veut et y met toute son énergie. Ou du moins tel était le rêve américain, celui d’une Amérique des classes moyennes clairement menacée par l’augmentation des inégalités depuis le début des années 1980. Or, la crise de 2008, la plus grave récession économique aux Etats-Unis depuis la crise de 1929, a montré que le rêve, écorné par trente ans de politiques économiques néolibérales, n’existait plus.
Le coup est particulièrement rude pour le Parti républicain, dont l’électorat est constitué en grande partie de cette classe moyenne appauvrie et des classes populaires qui ont particulièrement souffert des évolutions économiques récentes. La crise a révélé l’impasse dans laquelle s’est enfermé le parti, arrivé au bout d’une logique qui lui a permis depuis plusieurs décennies de faire voter une majorité de ses électeurs contre leurs intérêts économiques, en détournant l’attention des questions économiques pour porter le combat sur des questions culturelles et de société. »
https://froggybottomblog.com
II- Enfin, après le 11 septembre 2001, il y avait bien une majorité d’Américains POUR la guerre, mais CONTRE Al-Qaeda en Afghanistan, pas CONTRE l’Irak de Saddam Hussein qui n’avait joué aucun rôle dans cette attaque.
lacy&daun: Froggy ‘oubliât’ de faire remarquer que depuis les années fin ’80 on a assisté à une véritable explosion des règlementations sur le business, l’emploi, les banques et leurs prêts, qui ont engendré une sclérose dans les opportunités qui se présentent a la classe moyenne, ainsi qu’aux petits entrepreneurs. Ces derniers fournissant 80% des nouveaux emplois avec des budgets limités, ils sont bien moins capables d’assumer les frais que de telles réglementations engendrent.
On observe une détérioration encore plus importante des emplois à plein temps depuis la loi sur l’assurance sante nommée obamacare, qui force les petits employeurs à engager à mi-temps afin d’en éviter les charges. On ne pourra revenir à une croissance de 4.1% – telle qu’elle existait sous Reagan – que si le surplus de fédéralisme et loi socialistes sont abandonnées.
Froggy ‘oubliât’ également que la crise de 2008 n’était pas causée par « des politiques économiques néolibérales », mais plutôt par des couches superposées d’irresponsabilités de la part de la Federal Reserve, propriétaires, congres, agents d’immobiliers, l’administration Clinton, les courtiers hypothécaires, Wall Street et la qualité des prêts risqués, l’abrogation de la loi Glass-Steagall, et la délusion collective.
D’ailleurs et depuis obama, l’économie stagne à 2% avec une fuite croissante des entreprises vers des cieux moins hostiles au business, 92 millions d’américains capables de travailler sont aujourd’hui sans emploi, 47 millions survivent grâce a des bons alimentaires, et d’ici qu’il quitte la maison blanche, obama aura double notre dette – de dix mille milliards de $$ a vingt mille milliards de $$. http://www.usdebtclock.org/
Celui qui ment vraiment beaucoup, c’est Hillary Clinton, personne ne lui arrive à la cheville, n’inversons pas.
Grande amie de Donald Trump … Je crois qu en matière de cynisme et d opportunisme ils se valent …
Tiens tiens, voila une information – une de plus me répondrez-vous – qui n’a bien évidemment pas été portée à l’attention des Français…
Au moins, il est clair, j’espère juste qu’il tiendra parole… Mais aussi qu’il reviendra sur la mise en esclavage de l’Europe par le gouvernement OBAMA…Je parle de la destruction de l’Europe dont une partie de ce gouvernement, et sans doute une partie des précédents se sont rendus coupables…
Enfin un président Américains comme je les aime!
Nous sommes loin de l’immonde Soros et de ses soutiens aux organisations pro migrants.
Notre ennemi commun est l’islam sous toutes ses obédiences.
Vive l’état d’Israël
Vous avez raison.
Nos élites devraient réaliser que c’est l’axe USA-Europe-Israël et Russie qui nous sauvera !
Mais , hélas en France , le choix de nos dirigeants, de nos médias c’est la préférence pour ceux qui viennent cher nous ; tout est fait pour la fin des juifs, des chrétiens, et de notre civilisation et traditions en Europe.
Trump, et ce n’est que mon avis, me redonne espoir et j’espère qu’il sera élu.
Prudence, prudence. Comme le rappelle Ally, les effusions vis à vis d’Israël ne manquaient pas de la part d’Obama en 2008. Nous connaissons la suite. Trump a récemment déclaré qu’il ne prendrait pas position entre les Israéliens et les Palestiniens :
http://www.timesofisrael.com/trump-says-hed-be-neutral-with-israelis-and-palestinians/
Scarborough: Israelis or Palestinians’ fault?
Trump: “Let me be sort of a neutral guy…I don’t want to say whose fault is it”
En outre, je n’ai pas du tout apprécié sa récente logorrhée (extrêmement mal informée) sur l’Irak et contre Bush.
Je prends le risque de me répéter pour corriger votre erreur. Il faut être factuel et comparer ce qui est comparable. Vous comparez les promesses de Obama en 2008 à ce qui est rapporté sur Trump. Là où la comparaison ne s’applique pas, c’est qu’Obama, en 2008, était en campagne électorale, tandis que ce qui est rapporté pour Trump précède de plusieurs années sa candidature, et a sa continuité pendant l’élection.
Avez-vous entendu Obama soutenir Israël avant 2008 ? J’en doute. Voilà pourquoi votre comparaison n’est pas juste.
En cherchant bien, on doit trouver autant de déclarations de Trump favorables à Israel que plus hostiles comme celle citée ci-dessus. Si ma mémoire est bonne, il avait également provoqué un tollé il y a quelques mois car il avait implicitement rendu responsable Israel de la situation. Rubio lui avait rétorqué que la situation en Israel n’était pas un deal immobilier.
On ne pourra savoir à quoi s’en tenir que lorsque Trump sera au pouvoir, dans un sens comme dans l’autre. Je n’aime pas Trump (vous l’aurez compris), mais j’essaie d’être un minimum honnête.
Envoyez-nous les déclarations anti-israéliennes de Trump, si vous en trouvez.
En voilà au moins une (celle qui lui a valu les critiques de Marco Rubio dont je parlais tantôt) http://www.wsj.com/articles/BL-WB-59560
sans compter des clichés douteux sur les Juifs, mais là dessus je veux bien lui accorder le bénéfice du doute http://www.timesofisrael.com/trump-courts-jewish-republicans-with-offensive-stereotypes/)
Le Wall Street Journal est proche du GOP, pas des démocrates FYI
Merci. Pas à son honneur.
Vous noterez cependant qu’il a dit ceci pendant sa campagne. Ce qui veut dire, comme JPG le faisait remarquer, qu’il ne tient pas un discours avant différent de pendant, comme Obama, et s’il est revenu sur ses propos durant sa campagne, c’est ailleurs qu’il faut chercher ce changement, et ce n’est pas forcément à son crédit.
Vu l opportunisme du sieur, je crois que l on ne saura a quoi s en tenir avec certitude que lorsqu ll sera à la Maison Blanche (ce dont je ne doute absolument pas).
Pour être honnête, Obama etait si peu connu avant sa campagne que, à part la guerre en Iraq, il est difficile de trouver une de ses positions sur quoi que ce soit. Sur israel, rien à ma connaissance avant la campagne, dans un sens comme dans l autre. Mais étant Astérix de l Obamania de la première heure, je me suis toujours méfiée de lui comme de la peste, malgré son immense charisme.
Heureusement qu’il y a Dreuz pour nous informer…
Car les médias français, de gauche et “”droite””, ont déjà pris le parti anti D. Trump.
Oui, Trump est une chance pour les USA, l’Europe et Israël ; son langage est clair, anti conformiste et réaliste. Ca non changera de Hussein Obama, et de La Clinton !
Formidable !!!!
J’ai peur, très peur, que ces propos ne lui coûtent son élection !
En poilitiquecomme en affaires le secret de la réussite est LE SECRET…
Un p’tit faux-nez par ci ! Un p’tit faux nez par là !
Plaise à D. que je me trompe !
Je souhaite de tout cœur que Donald Trump devienne le prochain Président. Pour l’Amérique et Israël. Cet homme courageux lutte contre le communisme, le gauchisme, les palestiniens, les iraniens, tous ces fléaux que la France encourage. Trump, c’est l’avenir, l’espoir en marche.