Publié par Rosaly le 24 mars 2016

barbus

Les journaux italiens La Repubblica et Corriere della Sera ont réussi l’exploit de décrire la tragédie de Bruxelles comme une “catastrophe”, due au hasard, sans coupable …

Si un extra-terrestre atterrissait devant l’un de nos kiosques à journaux, il ne comprendrait rien à ce qui se passe en Europe. Il penserait que mardi, à Bruxelles, il ne s’est pas perpétré l’une des attaques terroristes les plus atroces depuis 1945 sur le sol belge, mais un grave accident. Ferroviaire, tremblement de terre, collision entre poids lourds, une catastrophe due purement au hasard ou à un phénomène naturel imprévisible. Pourquoi ce préambule ? Parce que les éditoriaux relatant la tragédie qui a laissé à terre plus de trente corps d’innocents sont des plus lunaires.

Dans les 14 premières pages du journal La Repubblica dédiées au carnage, le mot « islam » n’apparaît pas une seule fois, ni dans un titre, ni dans une synthèse.

Comme s’il n’y avait pas eu un mandataire idéologique et un objectif lucide derrière les attentats de mardi.

Comme s’il n’existait pas une même appartenance religieuse et un projet politique commun reliant tous les attentats qui depuis 15 ans sèment l’horreur et la terreur en Occident et font de nos concitoyens de la chair à canon.

Comme si prononcer le mot « islam » était un blasphème dans nos bouches impures, un affront envers les musulmans. Au plus, peut-on écrire IS, acronyme suffisamment obscur et islamiquement correct pour apparaître dans nos titres. Le sommet de notre courage national ! Affirmation très claire de notre soumission, aujourd’hui culturelle, demain physique.

Soumission identique dans le journal Il Corriere della Sera : 17 pages entièrement consacrées à la boucherie jihadiste, sans jamais citer, ne serait-ce que par erreur, le mot « islam », le prophète, ou un imam quelconque.

Dans une trentaine de titres, tous les synonymes possibles et imaginables, à la limite du ridicule, sont utilisés pour contourner le mot musulman, sans jamais le nommer.

Même ritournelle pour la Stampa di Torino et une grande partie des quotidiens agenouillés devant le politiquement correct.

Les sigles conviennent à merveille, encore mieux s’ils sont incompréhensibles ou ressemblent à une marque pour détergent, comme Daesh/Dash. Tout au plus, on pourrait se permettre le mot « califat ». Mais gare à celui qui mentionnerait le mot « islam ».

C’est la soumission !

Renoncer à appeler les choses par leur nom signifie avoir déjà suspendu sa propre identité au porte-manteau de la défaite.

Les monstres qui se sont faits exploser dans le métro et ont appuyé sur les détonateurs de l’aéroport l’on fait au nom du jihad, de la guerre sainte, d’Allah. Ils veulent éliminer les infidèles que nous sommes. Pouvons-nous le dire ? Pouvons-nous l’écrire ? Sommes-nous en train de violer quelques commandements de la bien-pensance ?

Qui s’en soucie ? Nous devons le faire.

Par respect de la vérité avant tout, mais aussi pour nous. Renoncer à taper ces cinq lettres signifie ne pas avoir le courage de dire que tout le problème part de là. Autrement, si nous ne sommes pas massacrés par le terrorisme, nous mourrons de l’islamiquement correct.

Parmi ces soumis, un résistant ! Le Directeur du quotidien Il Giornale, Alessandre Sallusti, a eu le courage de publier un éditorial politiquement incorrect :

« Chassons l’islam de chez nous ! Le problème, c’est l’islam, tout le reste n’est que bavardage.

L’islam et son Allah sont incompatibles avec notre civilisation, ils ont les mains rougies du sang de nos fils et ne sont pas encore rassasiés.

Ils doivent rester chez eux, retourner chez eux. Ce n’est pas du racisme, c’est de la légitime défense

La réaction des fidèles d’Allah ne s’est pas faite attendre.

Ces derniers n’en peuvent plus de se sentir continuellement visés, soupçonnés, accusés. Ce ne sont ni les souffrances, ni la mort atroce des victimes du terrorisme au nom d’Allah qui les perturbent, non, c’est l’islamophobie ambiante.

Fidèles à leur propre idéal de victimisation, au lieu de condamner les assassins de Bruxelles qui ont fait exploser des bombes remplies de boulons et de clous, éventrant des dizaines d’innocents, les musulmans manifestent leur colère contre le quotidien Il Giornale.

Ils n’organisent pas des sit-in ou des cortèges de protestation contre les islamistes de Bruxelles, de Paris ou d’ailleurs en Europe, qui aspirent à massacrer tous les infidèles occidentaux. Non ! Contre ces barbares, ils n’osent pas lever la voix, ni prendre leur distance. Les musulmans de Milan protestent contre le quotidien Il Giornale. Ils veulent imposer la censure à un journal qui refuse de se soumettre à ces criminels, qui attentat après attentat, mettent l’Europe à feu et à sang.

Ils se sont donnés rendez-vous devant le siège du journal à 18h30.

L’appel aux armes a été lancé par le CAIM (Coordination des associations islamiques).

Davide Piccardo, le fils de l’ex-directeur de l’Ucoii, (union des communautés islamiques d’Italie) Hamza Roberto Piccardo, en tant qu’Italien musulman, n’en veut pas aux barbares musulmans qui trucident les Européens car infidèles, mais s’énerve, en tant que bon musulman, contre Il Giornale.

Par précaution, le directeur a dû être évacué du siège de son journal par la police, car nul ne peut prévoir ce qui risque de se passer quand des musulmans protestent …

Répondant à l’appel, une vingtaine de musulmans se sont présentés devant le siège du journal à Milan, ont étendu des feuilles du quotidien à terre et ont commencé leur prière par « Allah u Akbar ». Les femmes voilées sont restées en retrait, car elles ne sont pas autorisées à prendre certaines positions. Pendant six minutes, la tête tournée vers La Mecque, ils ont prié sagement leur divinité.

« Nous avons prié sur les pages du journal pour ne pas nous salir le front. Nous sommes offensés par les titres du journal, qui sont une incitation au nettoyage ethnique et à la haine raciale. Un acte de terrorisme médiatique.

Nous aurions pu utiliser les pages du journal pour faire des choses moins élégantes. »

Ils admirent, toutefois, que leur prière était bien une provocation.

Une participante rajouta : « Ce sont eux, qui ont les mains rougies de sang ».

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Pour ces musulmans, ce ne sont pas les terroristes qui ont répandu le sang des innocents, mais le quotidien Il Giornale !

Dans son éditorial, A. Sallusti s’insurge : d’autres attentats, d’autres morts. L’islam a déclaré la guerre à l’Occident. Fini les mensonges du loup solitaire, de l’islam modéré, du dialogue !

Les islamistes ne sont pas des désespérés, ils appartiennent à la bourgeoisie de l’islam, que certaines de nos blanches colombes ont qualifié “d’intégré”, un islam, dont nous n’avons aucune raison de nous méfier.

Sadiques, ils ont rempli les bombes de clous afin de faire souffrir les victimes au maximum

Et pourtant, ils ont encore semé la mort, cette fois-ci à Bruxelles, la capitale de l’Europe. Sadiques, ils ont rempli les bombes de clous afin de faire souffrir les victimes au maximum. Ils ne s’arrêtent pas et ne s’arrêteront jamais.

L’islam et son Allah sont incompatibles avec notre civilisation, ils ont les mains rouges du sang de nos fils et ne sont pas encore rassasiés. Ils utilisent la tolérance occidentale pour miner l’Europe, l’asservir, voire l’anéantir. Cette Europe où leurs ancêtres échouèrent dans leur mission destructrice de la chrétienté, en 1571 à la bataille de Lépante, suite à l’anéantissement de la flotte ottomane par la flotte chrétienne, puis en 1683 à Vienne, suite à la défaite de l’armée ottomane par les armées chrétiennes. Ces défaites leur sont restées en travers de la gorge et ils veulent leur revanche.

Les morts d’hier, comme ceux des mois, des années précédentes, sont non seulement des victimes de l’EI, mais aussi de la tolérance occidentale et de son droit de l’hommisme à sens unique. Les droits de l’Homme sont devenus les droits des musulmans, auxquels les Européens sont priés de se soumettre.

Au nom de l’accueil, de l’égalité et de l’angélisme ambiant, personne n’a défendu ces malheureuses victimes du terrorisme islamique, ni hier, ni aujourd’hui, quand la Belgique, premier pays européen, ouvrit grandes ses portes à l’immigration illimitée et incontrôlée.

Elle a payé chèrement son utopie du vivre ensemble. Et selon les services de renseignement, d’autres massacres sont à craindre. Le vivier de terroristes islamistes prêts à passer à l’attaque pour la cause d’Allah se renouvelle sans interruption.

L’Italie pourrait être la prochaine cible sur la liste des adorateurs d’Allah, si nous ne disons pas immédiatement « BASTA », à supposer qu’il soit encore temps.

Basta à la gauche, aux prêtres, aux évêques, qui trahissent l’Evangile !

Basta aux maires, aux directeurs d’écoles, aux professeurs, qui nient le problème et foulent au pied la Constitution, qui est là pour nous défendre, nous les citoyens italiens.

Basta aux magistrats, qui légalisent l’illégalité !

Basta à l’accueil « valeur absolue » !

Basta aux politiques qui tergiversent et palabrent sans fin !

Nous sommes en train de sauver, de nourrir, de cajoler nos futurs ennemis. Ils le seront, même les « modérés » d’aujourd’hui, car s’ils ne manipulent pas des bombes, ils constitueront des réseaux de protection, de complicité, d’omerta pour abriter, protéger, aider, ceux qui feront exploser les bombes pour massacrer nos concitoyens.

Ils doivent rester chez eux, ils doivent retourner chez eux. Ce n’est pas du racisme, mais de la légitime défense.

C’est l’islam qui est parti en croisade contre l’Occident et non l’inverse.

Comme l’écrivait Oriana Fallaci, journaliste italienne qui fit preuve de courage, ne se laissa pas intimider par le mensonge vertueux et n’hésita pas à mettre les pieds dans le plat, car elle regardait la réalité bien en face :

«Cette guerre veut frapper notre âme plutôt que notre corps. Notre manière de vivre, notre philosophie de la vie. Notre manière de penser, d’agir et d’aimer. Notre liberté.

Ne vous laissez pas abuser par leurs explosifs. C’est juste une stratégie. Les terroristes, les kamikazes, ne nous tuent pas seulement pour le plaisir de nous tuer. Ils nous tuent pour nous soumettre. Pour nous intimider, nous fatiguer, nous démoraliser, nous faire chanter.

Si vous êtes un Occidental et déclarez que votre civilisation est supérieure, la plus développée que cette planète ait jamais connue, vous prenez de gros risques. Mais si vous êtes un fils d’Allah, ou l’un de leurs collaborateurs, et déclarez que l’islam a toujours été la civilisation supérieure, un rayon lumineux… personne ne vous touche. Personne ne vous poursuit. Personne ne vous condamne

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Sources : Il Giornale.it (traduction et adaptation par Rosaly)
« E adesso i giornali italiani censurano la parola “islam” Francesco Maria del Vigo
« Cacciamo l’islam da casa nostra » Alessandro Sallusti
« Protesta e preghiera degli islamici davanti alla sede de ilGiornale » Sergio Rame

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