La Turquie est islamique à 98%. Elle s’achemine, sous la férule d’Erdogan, vers une présidence à la « Hitler », citée comme un exemple de régime présidentiel efficace par le sultan d’Ankara.
Dans sa recherche désespérée d’une solution à la crise des réfugiés, provoqué par son délire humaniste, Merkel n’a pas hésité à promettre à la Turquie une accélération des négociations pour son adhésion à l’UE.
Admettre la Turquie dans l’UE serait une véritable folie, une trahison de nos peuples sans précédent dans l’histoire de l’humanité.
Rien ne saurait justifier de céder au chantage turc, même pas un accord, jugé par de nombreux observateurs comme inefficace et illégitime, sur la gestion de la crise migratoire.
Bruxelles ne doit pas se prostituer à Ankara, ce serait faire preuve de faiblesse, d’incapacité, ce serait entériner la trahison des peuples européens par ses dirigeants.
Il y a 10 excellentes raisons pour dire NON à l’entrée de ce pays musulman en Europe.
- 1) Ce n’est pas un pays européen et son admission ouvrirait une véritable boite de Pandore, encourageant les prétentions d’autres nations musulmanes à rejoindre l’UE.
- 2) C’est un pays à 98% musulman, très peu tolérant envers les autres religions et si nous nous référons au passé, ce pays est un ennemi historique de l’Europe. Cette adhésion introduirait dans l’UE un élément étranger, car même si ses racines judéo-chrétiennes ne sont pas reconnues dans les documents officiels, l’UE est née de racines et de règles judéo-chrétiennes. Ces dernières sont une constituante « normale » de la réalité et vouloir nier cette réalité relève d’une mauvaise foi dramatique.
- 3) Par son développement démographique impétueux, ce pays musulman deviendrait le pays le plus peuplé de l’UE et disposerait de ce fait du plus grand nombre de représentants musulmans au Parlement européen et de bureaucrates à Bruxelles. Cette perspective cristallise à raison toutes les inquiétudes. Quand un pouvoir est confié à un élu musulman, ce dernier s’empresse de défendre les intérêts de l’Oumma et la propagation de l’islam.
Il serait dès lors très facile pour l’OCI, avec l’appui d’Erdogan et des ses infiltrés, de faire voter le délit de blasphème passible de la peine de prison. Ne pas oublier que dans certains pays membres de l’OCI, c’est la peine de mort qui est appliquée à toute personne accusée de délit de blasphème. Cela laisse songeur quant à l’avenir d’une Europe sous influence musulmane !
Selon Erdogan : « l’islamophobie est un crime contre l’humanité!ˮ
« Toute politique fondée sur ce crime contre l’humanité ou qui en porte l’empreinte, est mauvaise et sera destructrice », avait déclaré Recep Tayyip Erdogan lors un discours prononcé lors de l’inauguration de la 7e réunion du Conseil islamique de l’Eurasie à Istanbul en 2009.
Erdogan avait également assimilé le sionisme au fascisme et qualifié de crime contre l’humanité, au même titre que l’islamophobie.
Or, avoir peur de l’islam ne signifie pas être raciste, l’islam n’étant pas une race que je sache, mais bel et bien une idéologie totalitaire, suprématiste, castratrice de libertés, destructrice de vies, à l’instar du communisme et du nazisme, savamment saupoudrée de religieux.
Pourquoi est-il interdit d’avoir peur de l’idéologie islamique et non du communisme, du fascisme ou du nazisme ?
Pourquoi la crainte de l’islam est-elle considérée comme fasciste, xénophobe, nazie ?

En outre, erronément considéré à mon avis comme un pays pauvre, il recevrait la majeure partie des fonds structurels au détriment des pays de l’Est, le Portugal l’Espagne et l’Italie. Ce qui ne manquerait pas de faire grincer les dents.
- 4) A l’époque de la guerre froide, la Turquie était le pilier oriental de l’OTAN, aujourd’hui, elle est une puissance régionale, qui poursuit ses propres objectifs, souvent opposés aux nôtres.
La Turquie a aidé à la croissance de l’EI, en lui achetant son pétrole et en laissant passer en Syrie des milliers de combattants étranger.
La Turquie soutient les Frères musulmans, ces hypocrites, ennemis jurés de l’Occident.
Erdogan a développé une hostilité insensée envers Israël. Hostilité qui se poursuit, malgré une récente apparente tentative de normalisation des relations entre les deux pays.« Nous n’oublions pas Gaza et la Palestine, même dans nos rêves. Ce qui est mauvais pour la Palestine, est aussi mauvais pour nous. Nous avons discuté cela en détails avec mon cher ami Khaled Mashaal, leader du Hamas. C’est le principal objectif derrière les négociations de normalisation de nos relations avec Israël.» – Ahmet Davutoglu, Premier Ministre de Turquie.
Comme il arrive souvent au Moyen-Orient, il y a toujours un double discours, l’un officiel en anglais, l’autre officieux en arabe ou en turc et cela, les Occidentaux semblent ou feignent de l’ignorer.Le 1er juillet 2010, le PM turc s’adressait au parlement turc :
« Jérusalem est notre objectif. Contrairement à ce que vous croyez, Jérusalem n’est pas une terre israélienne. Selon la loi internationale, Jérusalem-Est fait partie de l’Etat de Palestine et c’est un territoire sous occupation. La mosquée Al-Aqsa se trouve à Jérusalem-Est. La mosquée Al-Aqsa ne se trouve pas en territoire israélien et ne le sera jamais. S’il devait y avoir la paix un jour, Jérusalem-Est sera la capitale de la Palestine. Nous apportons un message de paix. Il y aura la paix et Jérusalem-Est sera la capitale de la Palestine. ˮ
« Jérusalem est un problème turc, car cette ville se trouvait sous l’administration ottomane. Même les sites religieux sont toujours administrés selon la précédente loi ottoman et cette dernière est toujours valable. Il n’y a pas d’autre loi. ˮ
La Turquie poursuit son rêve d’établir une Jérusalem musulmane :
« La Turquie continuera à apporter un soutien illimité au peuple palestinien. Et notre aide continuera jusqu’à ce que soit établi un état palestinien libre, avec Jérusalem pour capitale. » – Ahmed Davutoglu – réunion du 20 décembre 2015 avec son cher frère et ami Khaled Mashaal.
Si la Turquie devait intégrer l’UE, il est facile de déduire que l’antisémitisme musulman, déjà bouillonnant, exploserait avec une vigueur sans précédent. Erdogan et ses troupes y veilleraient personnellement.
Dans la guerre avec la Syrie, Erdogan traite les Kurdes en ennemis, alors que l’Occident les considère comme leurs meilleurs alliés contre le califat. Il a assisté impassible au massacre de Kobane par les jihadistes. Il a fait abattre sans raison un avion russe, risquant de déclencher une crise à l’issue imprévisible.
Dans la crise des réfugiés, la Turquie exerce à l’encontre de l’Europe un véritable chantage. Tout en étant parfaitement à même d’arrêter le flux vers le Grèce, elle exige toujours plus d’argent. Pour l’obtenir, la Turquie a fermé les deux yeux sur les trafiquants d’êtres humains dans la mer Egée.
- 5) La Turquie se transforme en une dictature. Après s’être fait élire Président, dans l’attente d’une modification de la Constitution – qu’il n’a pas encore réussi à obtenir – et qui lui permettrait de gouverner jusqu’en 2023, Erdogan outrepasse systématiquement ses pouvoirs en continuant à gouverner via les ministres qui lui sont asservis.
- 6) Après l’échec d’une longue négociation, Erdogan a repris la persécution de la minorité kurde, soit 15% de la population, n’hésitant pas à bombarder villes et villages, sans que cela ne suscite l’indignation de l’Occident.
Organisés par les Kurdes en représailles ou par le gouvernement Erdogan pour justifier ses attaques meurtrières à l’encontre de la population kurde, des attentats sanglants déferlent sur le pays, transformant les villes en véritables champs de bataille, menaçant également les institutions occidentales. - 7) Erdogan poursuit une campagne impitoyable contre la liberté de la presse, envoyant en prison plus de journalistes que la Chine et fermant progressivement les médias qui lui sont hostiles.
Les tribunaux turcs, contrôlés par le gouvernement Erdogan, ont récemment placé le journal Zaman, l’un des derniers médias encore critique d’Erdogan, sous contrôle de l’état. Amer, l’éditeur en chef, Segvi Akarcesme, a déclaré que c’était effectivement la fin de la liberté des médias en Turquie.
De journal d’opposition, appartenant à son ancien allié Fetullah Gülen, aujourd’hui son ennemi mortel, il est devenu un journal à la solde du régime.
Deux journalistes de « Cumhuriyet » ont été accusés d’espionnage et de terrorisme suite à la publication de documents relatant l’envoi de camions remplis d’armes aux jihadistes combattant en Syrie. Les procureurs ont requis des peines d’emprisonnement à perpétuité. - 8) Erdogan a entamé une islamisation implacable et progressive du pays : il réduit les droits des femmes, invitées à se voiler et à rester à la maison pour enfanter, et se rapproche de la loi de la charia, dans le but final d’effacer l’état laïc voulu par Atatürk. Sa femme a même suggéré le rétablissement des harem comme « lieu d’éducation des femmes ».
- 9) Erdogan refuse obstinément de résoudre la question de Chypre, dont la partie septentrionale fut envahie il y a 50 ans par les Turcs, restant ainsi en conflit avec un Etat de l’EU, qui, en représailles, applique systématiquement sont véto à l’encontre de toute décision concernant la Turquie.
- 10) Un cinquième des citoyens turcs admet éprouver de la sympathie pour l’EI. Si rien qu’un seul sur mille, devenait militant jihadiste, nous ouvririons la porte de l’Europe à quelques 7.500 fanatiques, prêts à commettre des attentats. Ils viendraient s’ajouter à ceux déjà présents sur nos territoires, attendant le signal pour lancer le « grand jihad. »
Rien de ce qui se passe en Turquie ne peut nous laisser indifférents, vu la mégalomanie dangereuse du sultan d’Ankara et ses rêves islamiques de rétablir la grandeur ottomane, afin d’islamiser l’Occident.
Par un vote populaire, le pays a basculé dans une tyrannie islamique. Et ironie grotesque, les leaders européens s’apprêtent à capituler devant le tyran maître-chanteur.
La Turquie est en train de glisser vers un horrible despotisme islamique. Et nonobstant cela, ses relations avec l’UE, à laquelle elle aspire adhérer au plus vite, n’ont jamais été aussi bonnes. Certains appellent cela une « amélioration transactionnelleˮ ou du « pragmatisme.ˮ
D’autres, dans un langage moins diplomatique, qualifient cela de chantage turc sur le dos des réfugiés.
Dans la réalité, la Turquie moderne n’a jamais été aussi éloignée des valeurs fondamentales inscrites dans la civilisation européenne et ses institutions.
Erdogan joue au leader suprême, outrepassant ses droits.
Dans un discours le 11 mars, il a vivement critiqué la décision rendue par la Cour constitutionnelle turque au sujet des deux journalistes du quotidien d’opposition Cumhuriyet.
La haute juridiction avait jugé que les droits de Can Dündar, rédacteur en chef, et Erdem Gül, chef du bureau d’Ankara, avaient été violés, et permis leur libération conditionnelle après trois mois de détention provisoire.
La réaction furieuse d’Erdogan fut à la mesure de sa tyrannie.
“Je garderai le silence au sujet de la décision rendue par la cour constitutionnelle. Mais je ne suis pas obligé de l’accepter. Laissez moi-être clair. Je ne suis pas d’accord avec cette décision et je n’ai pas de respect pour elle”, avait déclaré le président turc.
Ils seront jugés à partir du 25 mars, et risquent la réclusion à perpétuité pour “espionnage”, “divulgation de secrets d’État”, “aide à un groupe terroriste” et “tentative de coup d’Etat”, et cela pour avoir fait correctement leur travail de journaliste.
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Hitler, Staline et Mao se seraient-ils réincarnés en la personne du sultan d’Ankara ?
La Turquie est devenue un pays, où un président élu déclare publiquement qu’il n’obéira pas à une décision de la Cour suprême !
Et c’est à cet homme-là que l’UE, sous l’impulsion d’Angela Merkel, confie la sécurité de ses frontières extérieures et promet d’accélérer le processus d’adhésion de son pays – en passe de devenir une république islamiste – à l’UE !
A quand les négociations avec l’Etat islamique, qui selon Barack Obama et George Soros ne représentent pas un danger pour le monde libre ?
Certains dirigeants de l’UE, dans leur élan humaniste pro-musulman, perdent la raison et nous entraînent vers l’abîme.
Vraiment, l’islam rend fou !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
In ne faut pas oublier également que la Turquie fut un allié de choix de l’Allemagne nazi; Quoi de plus naturel, pour Merkel, que de renouer les vielles alliances.
(Von Papen + Saracoglu) = (Merkel + Davutoglu) = Pactes diaboliques
Merkel trouve normal que les soldats turc brûlent des bébés kurdes ?
Le pire c’est qu’il ne nous restera plus que la « solution Poutine » si ça continue comme ça !
sauf qu’un Poutine, en Europe Occidentale, on n’en aura jamais 🙁
tout afait daccord et a souhaiter
Nicolas Sarkozy : « Si on dit que la Turquie est un pays européen, c’est qu’on veut la mort de l’Europe »
http://www.itele.fr/politique/video/nicolas-sarkozy-si-on-dit-que-la-turquie-est-un-pays-europeen-cest-quon-veut-la-mort-de-leurope-158077
Alice ,
Nicolas Sarkozy dit tout et son contraire selon les circonstances , exactement comme Angela Merkel . Pas fiables . A croire qu’ils font de la politique que pour prendre du blé .
Exactement, vous avez tout à fait raison ALPHA … OMEGA .. Christian Vanneste disait : « L’UMP n’est pas de droite, elle est n’importe où »; « l’UMP n’est plus un parti politique, c’est une agence de placement pour arrivistes politiques en tous genres ». Sarkozy est partout, Sarkozy est Kouchner, Morano, MAM, NKM, et Frédéric Mitterrand.
mais bien sur on compte sur qui Hollande ? ? ou on laisse faire tant pis si on s’enfonce encore plus en attendant une espèce de messi sauveur ? ?
nous n’avons pas fini de payer d’avoir laisser un socialiste à la tête du pays ! certains nous disent pas grave si nous n’avons pas réussi en 2012 ou 2017 nous sommes prets à aller jusqu’à 2022 pour placer le dit messi sauveur à la tête de l’état !
Peut être a-t-il été payé pour faire de la publicité à kärcher, même si ce n’était qu’une Kärcherette percée!…..qui a bien fait rire tout le monde, et terrorisé les Bobos!
simple nous on rit tous les jours depuis qu’on a qui vous savez !
Sauf qu’il a refusé que la Turquie entre dans UE tant qu’il a été au gouvernement
jacques bien sur mais pour certains oublie :
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NICOLAS SARKOZY: « LA TURQUIE NE DOIT PAS ÊTRE MEMBRE DE L’UNION EUROPÉENNE »
Publié le : Mercredi 02 Décembre 2015 – 08:55
Dernière mise à jour : Mercredi 02 Décembre 2015 – 09:00
Le chef de l’opposition Nicolas Sarkozy était ce mercredi l’invité d’Europe-1. Le président des Républicains s’est opposé à la décision de Bruxelles de relancer la procédure d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne et a confié, en parallèle, son ressenti à quelques jours des régionales.
Nicolas Sarkozy était au micro d’Europe-1 ce mercredi matin.
©Capture d’écran Europe-1
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Le pétrole de l’Etat islamique transiterait par la Turquie selon Vladimir Poutine
« Je n’ai pas d’élément pour savoir qui a raison ou qui a tord. Ce que je peux dire c’est que je me réjouis qu’on ait enfin remis la Russie dans la coalition. Je n’ai cessé de dire qu’on avait besoin de la Russie pour régler le drame syrien ».
« Nous avons également besoin de la Turquie qui a 800 kilomètres de frontière commune avec la Syrie. On a besoin de tout le monde dans la coalition. Nous avons qu’un seul adversaire, c’est l’Etat islamique ».
Décision de Bruxelles de relancer la procédure d’adhésion de la Turquie à l’Union européenne
« C’est une faute. C’est toujours une faute de mentir. Leur faire croire qu’ils peuvent adhérer à l’Europe, c’est se préparer des lendemains impossibles. Nous devons avoir des rapports étroits avec la Turquie, nous devons avoir des intérêts communs avec la Turquie mais la Turquie ne doit pas être membre de l’Union européenne ».
« Je pense que la commission européenne a fait une erreur. Parler avec la Turquie est nécessaire mais parler ne veut pas dire céder à un chantage ».
Une menace terroriste sous-estimée suite à l’intervention de la France en Syrie
« J’ai approuvé l’intervention en Syrie. Je considère qu’elle a été trop tardive. Dès juillet 2012, à l’époque où l’Etat islamique n’existait pas, j’avais dit qu’il fallait intervenir en Syrie. La Syrie c’est la méditerranée. J’ai voulu l’union pour la Méditerranée. Nous ne pouvons pas nous désintéresser de ce qui se passe. Mais lorsque nous décidons de participer à une coalition, cela a des conséquences sur notre sécurité ».
Contrôles aux frontières
« On n’a pas le choix. Schengen a explosé en vol. Schengen était mort-vivant. Plus personne n’y croyait. A partir du moment où le système européen sous nos yeux s’effondre, il faut reprendre les contrôles aux frontières ».
« Il n’y a pas plus urgent que les chefs d’Etat européens se mettent autour de la table pour nous expliquer comment on va remplacer Schengen 1 qui est mort par un Schengen 2 ».
Mosquées salafistes fermées pendant le mandat de Nicolas Sarkozy
« Nous avons expulsé un certains nombre d’imams. J’ai été accusé d’être un voyou. Ce que j’ai dis à l’époque était violement combattu par la gauche, monsieur Hollande en tête. Et maintenant je vois qu’il propose de faire ce que j’avais indiqué qu’il convenait de faire ».
« Il y a eu beaucoup de temps perdu. On ne pouvait pas demander à fermer une mosquée sans être islamophobe. La parole était cadenacée ».
Lire : Hollande en Turquie pour solder les différends des années Sarkozy
Un processus lancé en 2005
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/international/article/2014/01/29/le-long-chemin-de-l-adhesion-turque-a-l-union-europeenne_4355569_3210.html#VrkKi7es8VYL3YjM.99
L’entrée de la Turquie est une priorité pour l’UE, et rien ne l’en empêchera.
Salut Paul,
Il est vrai que l’U.E.: » l’Union des ExcréMENTEURS » se comporte comme une prostituée qui ne demande qu’à se faire « pénétrer » par devant (ou par derrière) par l’un de ses amants et maîtres la « Turquie ».
Elle a effectivement déjà plusieurs amants, comme l’ Arabie Saoudite, le Qatar…
Bon c’est vrai que ce n’est pas très reluisant ce que j’écris…
Mais parfois la réalité ne l’est pas toujours !
Rien à voir avec l’attitude de cette « petite » Nation d’Israël qui a remporté la guerre en 6 jours en 1967, face à ses nombreux ennemis !
Alors qu’ Israël était pronostiqué PERDANT par tous les hommes !
Ne croyez-vous pas au D.ieu d’ Israël, Paul?
Notre guerre est avant tout spirituelle ! Et c’est d’une manière spirituelle que notre D.ieu interviendra …Si nous croyons et Lui faisons confiance !
Arnaud.
ce s’est pas l argent ni la puissance industriel qui regit le comportement humain mais la conviction ds le comportement auquel on fait foi (bon ou mauvais)
Eh bien moi j’espère que si nos dirigeants sont assez fous pour obéir à Merkel et se soumettre à Erdogan dans cette affaire, les citoyens européens, qu’à l’évidence on n’aura pas consultés, se révolteront, vireront les traîtres qui sont aux manettes et empêcheront cela de se faire.
Je ne sais si votre propos est fatalisme ou approbation de l’entrée de la Turquie dans l’UE, mais le « rien ne l’en empêchera » est déplacé.
La Turquie dans l’Europe sera la catastrophe fatale. Vous imaginez plus de 80 millions de musulmans, additionnés aux 30 millions déjà chez nous, cela changera la composition même (et la couleur) du parlement européen. La population musulmane représentera le tiers de la population de l’Europe avec des guerres fratricides entre les sunnites d’origine magrébine et africaine et les chiites turques. Soutenus par les turques devenus majoritaires, certaines zones européennes à population musulmane totale pourraient bien demander leur autonomie pour pouvoir appliquer la charia.
Les turques frappent à la porte de l’Europe depuis plus de 20 ans, et les dirigeants européens, sous la pression américaine démocrate, ne pourrons pas éternellement et sans arguments solides s’opposer à leur entrée. Il fallait écrire que l’Europe était chrétienne ( seule la France de Chirac s’y est opposée), maintenant c’est trop tard. Que les kurdes continuent leur guerre de sécession, ce sera notre seul rempart provisoire.
tout ca c est archi juste mais ca va faire sombrer l europe qui est a demi deja mais declanher une guerre russie turquie que putin souhaite (avec le consentement de trump s’il est elu) pour avaler toute l europe jusqu a latlantique qui a perdu son agressivite’ defensive et gerrer par des politiciens (prostitues)
Consentement de Trump s’il est élu ? Où avez-vous lu des idioties pareilles ? Mais peut-être que vous les avez inventées de toutes pièces. C’est avec ce genre de propos que des gens comme vous se discréditent.
Quel dommage que nos dirigeants ne tienne pas comptes des avis du peuple ,mais quel dommage aussi que le français en général n’a que de la gueule ,JE VOTE F N premier tour OUI deuxième tour ? oui mais c’est peut être pas bien ,qui sait ? ho non ,ALORS QUE SA DEVRAIT ÊTRE OUI ,non pas que je compte sur eux pour un grand changement , encore que , va savoir plus mal que ce qui existe ils ne peuvent pas faire ,et sa donnera une bonne leçon a la gauche et a la droite qui nous prennes pour des cons depuis de très longue années ALORS FRANÇAIS RÉVEILLEZ VOUS descendez dans la rue, contre toutes les taxes que de plus de gens ont du mal a payez ,et ce prive de chose au quel ils aurait le droit pour avoir travaillez toute leurs vie , l’argent gaspillé pour des aides au émigrés les sans papiers loger a grand frais dans des hôtel insalubres ,contre le regroupement familiale , les R S A donner a des gens sans le moindre contrôle qui ne vive même pas en France, qui son plus souvent dans leurs pays d’origine , ou touche le R S A et travail au noir ou pire trafic avec de la drogue empoisonne vos enfants ,et vous font vivre dans l’insécurité ……et et et … la liste est longue 75 a 80 pour cent des taulards sont musulman ils on des prisons 4 étoiles et nos vieux sont dans la misère ,c’est bien ça non? .Alors si en plus la Turquie rentre dans l’Europe !!! au plaisir
Sur les billets en €uros , une CROIX au crayon à billle sur la turquie , cela n ‘enlève rien à la valeur du billet .
j’en ai parlé dans un commentaire et voilà ce que je trouve aujourd’hui, de quoi contrarier er do gan
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Le représentant des Kurdes syriens à Moscou a défendu aujourd’hui la proclamation d’une région fédérale kurde dans le nord de la Syrie, un projet qui suscite autant l’opposition du régime de Damas que des rebelles syriens. « Nous n’aspirons pas à créer une zone autonome exclusive à la nation kurde », a justifié Rodi Osman, le directeur du bureau de représentation des Kurdes syriens en Russie. « Nous visons à instaurer un régime fédéral, démocratique et laïque dans lequel toutes les composantes de la société syrienne pourront se retrouver et par lequel ils se sentiront représentés », a-t-il poursuivi.
Les Kurdes de Syrie et leurs alliés ont proclamé jeudi un « système fédéral » unissant les zones sous leur contrôle dans le nord du pays, un modèle qu’ils espèrent voir s’appliquer à l’ensemble du territoire après la fin de la guerre. Cette initiative inédite s’apparente à une autonomie de facto pour les plus de 10% du territoire syrien et les trois-quarts de sa frontière avec la Turquie que contrôlent les groupes combattants kurdes. Considérés comme l’une des forces les plus actives dans la lutte contre l’organisation Etat islamique (EI), les Kurdes syriens sont tenus à l’écart des pourparlers de paix indirects qui se tiennent actuellement à Genève sous l’égide de l’ONU, notamment en raison de l’opposition farouche de la Turquie qui considère le mouvement comme « terroriste » et craint les répercussions au niveau de sa propre communauté kurde. Les Kurdes syriens ont ouvert en février un bureau de représentation à Moscou et annoncé leur intention d’en ouvrir à Washington, Berlin, Paris et dans plusieurs pays arabes.
Bientôt nous serons en Europe TOUS musulmans qu’on le veuille ou non!!!Merci à nos traîtres dirigeants!!!