L’égalité est un droit fondamental de la personne humaine, peu importe son sexe, ses origines, sa culture et sa religion.
Selon l’article 2 de la Déclaration Universelle des Droits des Humains, adoptée en 1945 :
« Chacun peut se prévaloir de tous les droits et toutes les libertés, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion d’opinion politique ou de toute autre opinion, d’origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation. »
Ce mardi 8 mars, c’est la journée internationale de la femme. Dans de nombreux pays, elle est devenue un jour de fête nationale.
Ce jour célèbre quasi un siècle de luttes pour l’égalité, la justice, la paix.
Des femmes ordinaires se sont battues pendant des décennies pour obtenir l’égalité des droits avec les hommes : droit à l’éducation, droit à la formation professionnelle, droit au travail, droit de vote, droit de participer au processus politique et économique du pays, droit de se défendre contre les discriminations, les harcèlements et la violence sur les lieux de travail.
Ce jour rend hommage aux actes de courage et à la détermination de femmes ordinaires, qui jouèrent un rôle extraordinaire dans l’histoire de la lutte pour obtenir l’égalité des droits.
Mais, si nous, femmes occidentales, avons remporté des victoires grâce au combat de nos aïeules, d’autres femmes, de par le monde, subissent toujours l’injustice, la violence, la discrimination.
Pour elles, les droits de la femme ne sont qu’un lointain mirage, surtout quand les « religieux » prétendent que la femme est inférieure à l’homme et que son seul droit est de se soumettre aux volontés et aux caprices de l’homme, et ce en silence.
Dans le monde musulman, pour ne citer qu’un exemple régi par la charia, les droits de la femme se limitent à obéir à son seigneur et maître.
S’appuyant sur le « noble coran » rédigé par des hommes pour le bien-être exclusif des hommes, les « érudits » religieux encouragent les traditions les plus barbares.
Mariage avec un enfant
Dans les pays musulmans régis par la charia, les religieux au pouvoir ou proches du pouvoir par leur influence multiplient les fatwas autorisant le mariage des fillettes, qu’ils justifient par l’exemple du prophète, en se référant au hadith authentique de Bukhari évoquant le mariage de leur prophète avec Aïcha, une enfant de 6 ans, qui fut consommé dès qu’elle eut ses premières règles, à l’âge de 9 ans. (Bukhari 7 :62.88)
Dans nos pays, les chefs religieux islamiques ne sont pas encore suffisamment puissants pour imposer cette loi abjecte, qui porte atteinte aux droits fondamentaux de l’enfant, mais certains imams, impatients de voir l’Occident sous la coupe de la charia, commencent à semer les graines de la légitimation de la pédophilie en référence à leur prophète.
Le viol dans le mariage
“Si un mari appelle sa femme et qu’elle se refuse à lui et l’oblige ainsi à s’endormir dans la colère, les anges la maudiront jusqu’au matin. » (Bukhari 4.54.460)
Dans les pays musulmans, une femme violée n’est pas victime mais coupable, et elle sera jugée comme telle, condamnée à la prison ou obligée d’épouser son violeur.
Dans les pays régis strictement par la charia, une femme violée sera lapidée, à moins qu’elle ne prouve le viol par le témoignage de quatre hommes … car la parole d’une femme ne compte que pour la moitié de celle de l’homme. Dans l’islam, la femme est considérée, non comme un pur diamant, comme on prétend le faire croire en Occident aux pauvres écervelées qui se convertissent à cette merveilleuse religion source de « béatitude et de félicité », mais comme un être maléfique et impur.
Battre sa femme
« Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs qu’Allah accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leur bien. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé pendant l’absence de leurs époux, avec la protection d’Allah. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Allah est certes, Haut et Grand ! » Coran 4 :34
« Un homme ne devrait pas être questionné sur les raisons qui l’ont poussé à battre sa femme, car c’est un problème entre eux» a déclaré un responsable religieux « britannique ». Cet homme n’est pas extrémiste, il a seulement cité le prophète, l’homme parfait, le modèle à suivre : « On ne doit pas demander à un homme pourquoi il bat sa femme. » (Abu Dawud 2142)
En Grande Bretagne, les tribunaux islamiques sont autorisés pour régler les différents conflits familiaux des membres de la communauté musulmane. Il sont dirigés par des « religieux » qui soutiennent l’amputation des membres pour les voleurs, le mariage avec les enfants, le viol conjugal et la violence maritale. Bref, des citoyens «britanniques » très démocrates.
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Les responsables politiques viennent de découvrir, oh, shocking, que ces tribunaux administraient la « justice » selon les lois de la charia, définies par le coran et la sunna.
Ces grands naïfs, déconnectés de la réalité de la doctrine islamique, ignoraient sans doute que la charia était l’antithèse de la démocratie, qu’elle puisait ses origines dans l’Islam politique et qu’elle s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation, à ses lois, à son système judiciaire.
Le chemin pour l’obtention de l’égalité des droits de la femme dans le monde musulman est encore bien long et semé d’épines. Même en Occident, les femmes musulmanes doivent se soumettre à la barbarie de la charia, avec la complicité de nos dirigeants occidentaux.
Au vu de l’invasion musulmane programmée par nos élites politique – si rien ne l’arrête – la célébration de la journée internationale de la femme, d’ici quelques décennies, ne sera plus qu’un vague souvenir, une époque heureuse à jamais révolue.
Dans l’espoir que ce cauchemar ne devienne jamais une réalité, je souhaite à toutes les lectrices de Dreuz une radieuse « journée de la femme », et j’exprime le vœu, qu’un jour, toutes les femmes de la planète puissent mener une vie heureuse dans le respect et la dignité.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.
c’est certainement pour l’internationalité des droits des femmes que Hollande a décidé de remettre la légion d’honneur à un prince d’Arabie Saoudite, ces experts déjà nommés aux droits de l’homme à l’O.N.U !
Mais quand ce foutage de gueule intégral prendra t il fin ?!?
Bonjour Rosaly!
Radieuse «journée de la femme» à vous aussi.
Par contre, un rapport de l’ONU dont il n’est question que dans les médias anglophones, trouve le moyen de blâmer Israël pour la maltraitance des femmes falestiniennes par leurs conjoints!
Selon ce document, l’occupation israélienne est à blâmer pour la violence domestique contre les femmes falestiniennes. «…Les conditions de vie surpeuplées et un manque d’intimité » dans les camps de réfugiés causeraient une « détresse psychologique chez les résidents du camp » qui, combinée avec « la situation politique et sécuritaire instable, les stéréotypes et les normes discriminatoires » conduirait à ce type de violence…
http://www.jpost.com/Israel-News/Politics-And-Diplomacy/Israel-slams-UN-report-blaming-it-for-domestic-abuse-of-Palestinian-women-447198
Et les nombreux viols et harcèlements dans les camps de réfugiés en Allemagne, c’est la faute aux Allemands?