Très surprenant revirement publié sur le compte Twitter de la journaliste Katie Simpson, de CTV il y a 10 minutes :
Trudeau répondait à la question du rédacteur en chef de Bloomberg TV John Micklethwait : « Comment allez-vous vous en sortir face à Trump ».
Trudeau says he share value with Trump, that he desires to see Americans do well, have opportunities.
— Katie Simpson (@KatieSimpsonCTV) 17 mars 2016
« Trudeau a déclaré qu’il partage des valeurs avec Trump, et qu’il souhaite voir que les Américains aillent bien et qu’ils s’en sortent »
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John Micklethwait : Sur quels sujets avez-vous des points communs avec Donald Trump ?
« Le désir de voir que les Américains aillent bien. De voir que les citoyens trouvent de meilleurs emplois et de meilleures opportunités. Quand vous ramenez cela à un cadre qui consiste à créer de la réussite, vous regardez quel est le meilleur moyen de créer ce succès, et j’ai une énorme confiance dans la capacité des Américains d’obtenir le meilleur résultat au moyen de leur système électoral ».
Même si ce résultat est monsieur Trump ?
« Toute personne qui a récemment perdu une élection vous le dira : c’est une victoire pour la démocratie, c’est la ligne que nous respectons. Et je pense que nous allons voir avec cette élection de quoi les Américains sont faits. Il y a une énorme colère contre les élites, [l’establishment], et je crois que le prochain président devra regarder en face les problèmes de gouvernance [des Etats Unis] et comment on construit une économie qui fonctionne pour tout le monde. »
La semaine dernière, lors de sa visite à Washington, le premier ministre canadien a beaucoup été sollicité par les journalistes pour qu’il donne son avis sur l’élection. Il s’était prudemment refusé au jeu et avait déclaré : “J’ai une immense confiance dans le peuple américain [cela change des élites européennes et américaines] et j’espère collaborer avec celui qu’il décidera d’envoyer à la Maison Blanche à la fin de l’année.”
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Leger pour Dreuz.info.
D’après Alexander Panetta, journaliste de l’agence Presse Canadienne à New York: «Plusieurs anciens ambassadeurs canadiens ont recommandé publiquement au premier ministre de ne pas parler des élections américaines puisque le Canada pourrait devenir un enjeu dans une campagne déjà plutôt décousue.»
Trudeau sait de quel côté son pain est beurré et il n’a pas intérêt à se mettre à dos le futur président des États-Unis quel qu’il soit. Le fait qu’il ait trouvé le moyen de dire quelque chose de positif sur Trump en étant à côté d’un de ses plus grands critiques (Bloomberg) démontre sa compréhension de ce qui est en jeu lors de ses visites aux USA: rester en bons termes avec nos voisins. Un esprit mal tourné pourrait aussi voir dans sa réponse sur la réussite, une critique oblique d’Obama, son grand copain …
Juste un trou d’eau a été élu avec l’aide des experts envoyés par Barry Hussein…alors, faut pas rêver en couleurs…Papa était à son âge un nazillon de la pire espèce, financier du Hitler Canadien Adrian Arcand…plus tard, il s’est retourné communiste et la fortune familiale lui a acheté la direction(désastreuse) du pays…
ah…tiens…donc, ce petit demeuré possède tout de même un petit peu de bon sens…
C’est un petit Marco Rubio avec le cul dans le banc de neige…petit, tout petit.
Le dieu des midinettes fofolles et autres sans génie…Papa s’appelait PET(Pierre Elliott Trudeau), lui, c’est juste un trou d’eau…
bof , aujourd’hui justin bridou pur porc hallal dit une chose et le lendemain dit son contraire, ce n’est rien de plus qu’un collabo qui tapine pour les mahométans.