Publié par Jean Vercors le 4 avril 2016
Nicolas Ropert, journaliste haineux de RFI
Nicolas Ropert, journaliste de RFI qui a la haine d’Israël

Le 31 mars 2016, Ropert faisait ses choux gras, sur franceinfo.fr de l’accablant dossier qui agite les antisionistes, qui n’ont pas écrit une ligne lorsque des milliers de palestiniens sont massacrés dans les camps libanais…

« Le soldat franco-israélien qui a achevé un Palestinien à Hébron jugé en France ? » écrit le journaliste malhonnête qui emploie des mots dégueulasses (« achevé » terme porteur d’infamie, « Palestinien » au lieu de « terroriste »), contraires à la déontologie de la profession, et qui créent un climat nauséabond.

Le ton est donné. Salaud de Ropert.

Nicolas Ropert sait pertinemment qu’il va produire des nouveaux Mohamed Merah, des Nemmouche, des vengeurs de palestiniens tueurs de juifs, car tous les sites pro palestiniens ont déjà repris son article. C’est précisément ce qu’il recherche : alimenter la haine, inciter à la haine, au lieu d’apaiser une communauté chauffée à blanc qui agresse quotidiennement les juifs. Sa technique est élaborée et redoutable.

« Soldat franco-israélien » ? Quelles sont les sources de ce hoax ? Il n’existe pas d’armée franco-israélienne. Le soldat est un militaire des forces de défense d’Israël, Tsahal, il est né en Israël. Sa famille serait originaire de France que cela ne fait pas de lui un « soldat franco-israélien ».

Dans autre article aux relents inadmissibles posté sur le site de RFI, il titrait «Meurtre d’un Palestinien à Hébron : le soldat entendu par la cour militaire».

Il oublie, le fourbe journaliste, de rappeler que ce soldat n’avait pas tiré sur un innocent mais sur un terroriste. Mais je suppose qu’il a du chercher le mot et ne l’a pas trouvé.

Quand à employer le mot « meurtre » avant la décision du tribunal, Ropert a besoin d’une petite leçon :

La Charte des devoirs professionnels des journalistes français stipule :

«La calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge, sont les plus graves fautes professionnelles ».

Il s’assied sur la charte, tout comme il s’assied sur la présomption d’innocence, le Ropert.

Salaud de Ropert.

Le mot terroriste a été banni du vocabulaire qui désigne les colons arabes palestiniens, même lorsqu’ils attaquent au couteau ou à la voiture bélier des femmes ou des enfants juifs.

RFI est une chaîne d’Etat, elle est affiliée au ministère des affaires étrangères, financée par les Français et elle devrait être neutre. Pourtant, sa couverture de la vague de violences qui secoue Israël et la Judée et Samarie est totalement biaisée.

Dans un article scandaleux du 17 mars 2016, il écrit : Ahmed Dawabsha est arrivé mercredi 16 mars 2016 à Madrid. Ce garçon palestinien de 5 ans, seul survivant d’une famille décimée par l’incendie volontaire de sa maison par un extrémiste juif à l’été 2015.

A-t-il des preuves qu’il s’agisse d’un extrémiste juif ? Aucune : «La calomnie, les accusations sans preuves … sont les plus graves fautes professionnelles »

Les services de sécurité israéliens ne disposent toujours pas des preuves concrètes impliquant des activistes juifs dans l’incendie, en juillet, d’une maison palestinienne. Ropert le sait mais il ment. «les accusations sans preuves, le mensonge, sont les plus graves fautes professionnelles »

Salaud de Ropert.

Un autre article. Le 14 novembre 2015 : « Cisjordanie : la récolte des olives sous haute tension ». Il affirme : « Plusieurs attaques de colons ont été recensées ces dernières semaines ».

Mais les centaines d’attaques au couteau, au cocktail molotov, à l’arme à feu, avec des haches, à la voiture bélier, perpétrées depuis fin septembre 2015 par les terroristes arabes palestiniens, qui eux sont les squatters de la Judée et de la Samarie sont passés à la trappe.

«La calomnie, les accusations sans preuves, l’altération des documents, la déformation des faits, le mensonge, sont les plus graves fautes professionnelles »

Salaud, menteur de Ropert.

En octobre 2010, des arabes palestiniens et des militants israéliens de gauche avaient organisé une attaque dans des oliveraies palestiniennes, dans le but d’accuser les colons de vandalisme. Ils ont été pris en flagrant délit.

L’affaire a été révélée par les membres de l’Unité Tazpit, une organisation israélienne « de droite » qui prouve, avec des éléments factuels – ça change des gauchistes – les mensonges de Pallywood et des médias francais.

les journalistes OK

Dans un article de mai 2015, Ropert écrit :

« Cela fait un peu plus d’un mois que l’Etat de Palestine a officiellement été intégré à la Cour pénale internationale. Les autorités palestiniennes assurent qu’elles veulent aller jusqu’au bout de la procédure afin de faire condamner Israël pour crime de guerre pour les bombardements commis l’été dernier à Gaza. »

L’état de Palestine ? Ca existe ? Ropert, le fantasme n’est pas du journalisme ! Le Hamas, en 3 lignes, est blanchi de ses crimes de guerre. Petit Ropert : le Hamas, ce sont des terroristes. Tu sais ce que c’est des terroristes ? Alors si tu sais, dis le mot salaud de Ropert.

Il veut remplacer Charles Enderlin le Ropert ?

Les forces de sécurité israéliennes neutralisent chaque jour des terroristes et tentent, autant que possible, de les garder en vie.

Comme ce jeune palestinien de 13 ans qui avait poignardé deux israéliens, dont un adolescent de son âge. Désarmé, pris à partie par la foule en colère, il a été sauvé par la police israélienne.

Mahmoud Abbas et les médias, qui auraient bien voulu en faire un Mohamed Al-Dura 2, ont accusé les israéliens de l’avoir « exécuté ».

La supercherie aura duré 24 heures.

C’est le temps qu’il fallu pour que des photos du jeune garçon, soigné dans un hôpital israélien, soient diffusées dans la presse.

Un mensonge palestinien repris une fois de plus par les médias. Quand la supercherie a été révélées, les médias, subitement, étaient silencieux.

Salaud de Ropert, pourquoi on ne vous a pas entendu dénoncer le mensonge palestinien ?

Rien n’y fait. Pour les médias, Israël est coupable. Ce n’est pas aux colons arabes palestiniens de ne pas commettre d’attentats, c’est à Israël de faire preuve de retenue. On est en plein délire, mais avec des militants journalistes véreux comme Ropert, qui sera surpris.

Quand al Jazeera et l’AFP écrivaient qu’Israël inonde des quartiers entiers de Gaza en ouvrant des digues, causant la fuite de centaines de personnes, Ropert a fait ce que chaque antisioniste fait. Il a gobé l’histoire les yeux fermés selon la règle d’or de l’AFP :

Règle numéro 1 dite règle Enderlin : « On ne doit jamais douter de ce qu’affirment les Palestiniens et on doit le publier sans vérifier ».

Règle numéro 2 : « on ne doit jamais chercher à savoir si que les Israéliens affirment pourrait être vrai. Si jamais on publie leur narratif, on doit le mettre au conditionnel et dans des guillemets ».

Donc Ropert écrit : « A Gaza, certains endroits du territoire palestinien sont sous les eaux. Des centaines d’habitants ont dû quitter leur maison. Si la tempête qui a récemment frappé la région est en cause, les autorités palestiniennes, elles, accusent Israël. L’Etat hébreu aurait ouvert les vannes d’un barrage qui aurait fait déborder le fleuve qui traverse l’enclave palestinienne. »

Deux verbes au conditionnel en seulement une phrase qui créent une polémique inutile et stérile.

«les accusations sans preuves, la déformation des faits, sont les plus graves fautes professionnelles »

Salaud de Ropert.

Sur son compte Twitter on demande à Ropert pourquoi il a publié ce hoax, il répond, pervers et de mauvaise foi : « quel Hoax? n’y a t’il pas eu des innondations? « j’ai cité les autorités palestiniennes, Israel a démenti, Ok Mais que prouvent vos images satelites? A peu près rien. désolé. »

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Voici une image satellite du réservoir de Nahal Oz, en rouge. Comparez avec la taille de la bande de Gaza ! Ce réservoir, en ouvrant ses vannes, peut-il créer des inondations de trois mètres de hauteur dans Gaza ? (Merci à ElderofZiyon)
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Al Jazeera a eu l’honnêteté de retirer l’article de son site et s’en excuser. Ce ne fut pas le cas ni de RFI, ni de son journaliste activiste Nicolas Ropert, qui s’est contenté comme à son habitude de reprendre les dépêches palestiniennes des agences Wafa et Maan news.
«La calomnie, les accusations sans preuves, la déformation des faits, le mensonge, sont les plus graves fautes professionnelles »
Salaud de Ropert.
Retweeter les posts de l’OLP et du journal gauchiste post-sioniste Haaretz, ça il sait le faire…
Le 8 février dernier, sur un ton très sournois, il écrit sur son compte twitter « Une « Guerre des couteaux? « Quelqu’un a vu une guerre des couteaux? La palme au site de l’@LEXPRESS. Là il fait dans le négationnisme.
Ropert nie les faits. Il crache sur les victimes juives du terrorisme arabe, au mépris des faits criants : les services de la sécurité israélienne ont déploré depuis mi septembre 2015 la mort de 34 personnes et 411 blessées lors d’attaques terroristes arabes.
Il y a eu 211 attaques au couteau, 83 attaques à l’arme a feu et 42 à la voiture bélier. Et Ropert demande « Quelqu’un a vu une guerre des couteaux? »
«la déformation des faits, le mensonge, sont les plus graves fautes professionnelles »
Salaud de Ropert.
Les motivations de ce journaliste peuvent être diverses.
Dans le cas de la négation de l’existence de victimes juives des terroristes arabes, elles ressemblent à une défense aveugle du régime arabe palestinien. Sa prose vise des objectifs politiques et non informatifs comme son métier le supposerait. Il cherche à faire pression contre Israël, à délégitimer l’Etat juif.
Dans un article du Monde, le 11 août 2015, son titre est scandaleux : « En Israël, la « guerre sainte » des colons radicaux ».
Désigner les juifs habitants la Judée comme la source du mal, présenter les colons arabes palestiniens comme des gentils. A Hebron en 1929, 67 juifs ont été tués par les arabes. Il n’y avait ni colons, ni territoires occupés. Le pogrom avait été lancé par le mufti nazi de Jérusalem.

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Et ça, lorsqu’il écrit « Moins de fidèles à Bethléem pour Noël », il n’explique pas que les Chrétiens arabes sont victimes de l’Autorité palestinienne et du Hamas.
Le nombre de chrétiens, à Bethléem, est en chute vertigineuse depuis une vingtaine d’années. Les chrétiens ont quitté Bethléem avec l’inauguration du retour de Yasser Arafat. Il y a vingt ans, la ville était à majorité chrétienne. Ils ne sont aujourd’hui plus que 10 à 15 % de la population, et beaucoup de ceux qui sont encore à Bethléem craignent quotidiennement pour leur vie.
Ils n’ont pas peur des soldats israéliens qui les protège, mais des couteaux et des armes que leurs réservent leurs voisins de quartier.
   
Le 26 août 2014, le BNVCA saisissait le CSA, après avoir été alerté par des auditeurs, qui reprochent au journal de 9h de France Inter de diffuser un reportage sur Gaza signé Nicolas Ropert, considéré comme partial et pro-Gaza, au mépris de la réalité et des souffrances des citoyens israéliens bombardés par le Hamas, et au mépris de la neutralité que doit respecter une chaîne publique.
Comme Murielle Paradon, journaliste à RFI, comme Etienne Monin de France Inter, Nicolas Ropert s’est entièrement mis au service de la propagande de l’Autorité palestinienne. Il « pratique » son métier par copié/collé des communiqués de presse palestiniens. La position israélienne est systématiquement ignorée.

Règle numéro 1 dite règle Enderlin : « On ne doit jamais douter de ce qu’affirment les Palestiniens et on doit le publier sans vérifier ».

Règle numéro 2 : « on ne doit jamais chercher à savoir si que les Israéliens affirment pourrait être vrai. Si jamais on publie leur narratif, on doit le mettre au conditionnel et dans des guillemets ».

Et accessoirement, le diable étant dans le détail, il aurait même plusieurs identités :

Ropert

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean Vercors pour Dreuz.info.

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