Publié par Jean-Patrick Grumberg le 6 mai 2016

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Lee Zeitouni est cette jeune professeur de gym âgée de 25 ans, mortellement percutée en traversant une rue de Tel Aviv, au petit matin du 16 septembre 2011, fauchée à plus de 100 km/h par la voiture d’un français, Eric Robic, qui a arrêté sa voiture, regardé sa victime gisant sur la chaussée, et pris la fuite dans le premier avion vers la France.

Après une longue procédure qui aura duré 4 ans, le tueur au volant a été condamné à 5 ans de prison – fermes.

Mais les progressistes, dont les idées, il faut les regarder pour le déplorer, tendent à gagner du terrain – ce sont eux qui facilitent l’invasion de l’Europe par l’islam parce qu’ils fabriquent une société humaine nouvelle et artificielle – ont réduit sa peine à 15 mois.

La phrase qui suit est ce qui nous attire d’être qualifiés d’extrême droite

Eric Robic a été libéré. La phrase qui suit est ce qui nous attire d’être qualifiés d’extrême droite, (Arte encore il y a deux jours) :

“Imaginez ce que ressentent les parents de Lee.”

Les progressistes n’ont jamais été autant convaincus que le coupable est une victime, et la victime un déviant qui l’a d’une certaine façon bien mérité. Lorsqu’ils font juge comme métier, ils le mettent en pratique dans leurs décisions de justice. Lorsqu’ils font journaliste comme métier, ils l’appliquent dans la manipulation de l’info et de l’insulte.

Aussi n’ai-je pas le droit, parce qu’ils ont décidé au nom de la défense de la diversité que toute diversité de pensée doit être réprimée, je n’ai pas le droit de plaindre la victime, de penser à ses parents.

Les progressistes ne croient pas en la prison pour les délinquants et les criminels – Christiane Taubira n’était pas un cas unique mais une porte parole de cette idéologie. Pour eux, les prisons ne doivent servir qu’à incarcérer les contestataires et dissidents politiques qu’ils ne peuvent pas faire taire autrement. Et ils y vont bon train. Pour eux, la punition d’un délinquant n’est pas juste parce qu’ils ne croient pas que l’homme doive être responsable de ses actes, encore moins en payer les conséquences (voyez comme ils payent des gens à ne rien faire avec l’argent de ceux qui travaillent).

Ils ne pensent pas que les criminels, les tueurs, les voleurs, les agresseurs, et même les terroristes représentent un mal à combattre mais une des caractéristiques de la société nouvelle qu’ils construisent, et à laquelle il faut s’adapter, et se soumettre.

Regardez s’ils défendent les valeurs qu’ils disent défendre :

  • Ils ne pensent pas que la pédophilie doit être punie pénalement (sauf pour l’Eglise romaine qu’ils veulent achever), même si l’enfant ne peut pas être consentant – Libération avait lancé une grande campagne en ce sens. La prostitution, dont les acteurs sont consentants, elle doit être condamnée.
  • Ils ne veulent pas qu’on tente de désarmer les gangs, mais mal vous en prendra si vous défendez le droit de posséder une arme.
  • Ils ne veulent pas toucher au droit de se droguer, cet infallible et puissant moyen de détruire la volonté et l’ambition, et là, ils n’ont pas le plus petit problème avec les fortunes que les trafiquants amassent.
  • Regardez encore : ils sont contre la peine de mort, mais n’ont rien à reprocher aux terroristes qui tuent pour “défendre une cause”.
  • Et ils n’ont jamais condamné le communisme pour ses 100 millions de morts.

Regardez ça aussi :

Les droits naturels découlent de la nature humaine : le droit à la vie, le droit à la sécurité, le droit de propriété, la liberté d’être, de faire, de penser, de dire, d’avoir, etc.

Ils sont contre la plupart de ces droits, parce qu’ils sont contre la nature humaine telle qu’elle est. Ils veulent la transformer de fond en comble et ils la transforment.

Ils sont convaincus : le peuple est trop con pour savoir ce qu’il veut, pour comprendre ce qui est bien pour lui.

Cela frise la dictature ? Pas quand c’est bien enrobé de paroles d’experts, manipulé pour faire croire au peuple qu’il décide, ou lui donner si peu de choix que de tous cotés il tombera dans leur filet.

Lisez les journaux, étudiez leurs raisonnement, souvenez-vous du mur des cons. Vous croyez qu’ils ont baissé les bras ?

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Qui les tuera ? Pas vous, pas moi, mais les islamistes qu’ils soutiennent, s’ils arrivent à leurs fins.

Les islamistes auront pour les progressistes une réponse – c’est toujours la même qui est réservée aux mécréants, à ceux dont les idées défient les lois d’Allah, et Dieu m’est témoin que les idées progressistes défient l’islam. Et ce sera la décapitation.

Le juge a donc accepté la demande de remise en liberté conditionnelle d’Eric Robic. Il l’a même acquitté de l’amende de 30.000 euros à la famille de la victime.

En 2014, Robic a également été condamné dans une affaire d’escroquerie.

En décembre 2011, Carla Bruni, l’épouse du président Sarkozy, avait écrit à la famille de la jeune Israélienne pour lui assurer que la France faisait le maximum pour que justice soit faite. Elle n’avait pas menti. Il y a justice et justice.

Ma conclusion :

Aux Etats Unis, le ministère de la Justice du très progressiste Obama a décidé qu’il ne faut plus utiliser les termes «criminels» et «condamnés». C’est un pas supplémentaire vers la dépénalisation totale des crimes et l’irresponsabilité des criminels.

Jeanine Pirro, une commentatrice politique que je respecte, ancien procureur de l’Etat de New York, a expliqué qu’après avoir été d’abord choquée par la décision du gauchiste Obama, elle comprend qu’une personne qui a purgé sa peine, qui a payé sa dette à la société, a droit à être réhabilité, et que cette marque noire d’ancien condamné ne le permet pas.

Si 15 mois de prison payent la dette de meurtre, de non assistance à personne en danger, et de délit de fuite, le prix de la vie humaine établi par les progressistes montre que leur idée de l’homme retourne au Marxisme, et qu’ils ont adopté les idées d’un communisme qui ne dit pas son nom : les droits individuels doivent s’effacer devant les droits collectifs de l’homme.

Dans l’inversion du sens des mots, revenir au 19e siècle s’appelle progressisme. Vieux cons.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

washingtontimes.com

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