Publié par Rosaly le 22 mai 2016

islamophobie

L’Italie de Mussolini commit l’erreur fatale de s’allier aux nazis. Aujourd’hui, l’Italie soutient l’idéologie islamo-nazie au détriment de ses propres citoyens. Le passé devrait pourtant lui servir de leçon.

Si Laura Boldrini, la présidente de la Chambre, insiste sur le délit d’islamophobie pour censurer toute critique de la « religion » d’Allah, elle occulte le sort des Chrétiens persécutés par les adorateurs de la divinité lunaire.

La menace principale qui pèse sur notre civilisation laïque et libérale réside dans l’interdiction absolue de critiquer et de condamner l’islam comme « religion ». Or l’islam prône un enseignement en opposition totale avec les lois de l’Etat, les règles de la cohabitation, les valeurs non négociables du caractère sacré de la vie, l’égalité entre l’homme et la femme et la liberté de choisir.

Si le terrorisme islamique des égorgeurs d’Allah qui décapitent, massacrent, se font exploser, sera sans doute vaincu un jour sur les champs de bataille à l’intérieur et à l’extérieur de nos pays, nous, par contre, nous nous sommes malheureusement déjà rendus au terrorisme islamique des coupeurs de langue : ces irresponsables politiques, qui ont réussi à nous imposer la légitimité de l’islam, à faire abstraction de ses contenus suprématistes, belliqueux, mortifères, liberticides, intolérants, misogynes, et qui, aujourd’hui se mobilisent, sous l’impulsion de l’OCI, pour codifier le « délit d’islamophobie », une autocensure à l’égard de l’idéologie islamo-nazie.

L’ONU, l’UE et le Conseil de l’Europe ont déjà accrédité sur le plan politique le « délit d’islamophobie », selon le vœu de l’OCI.

Aujourd’hui, en Italie, Laura Boldrini a fait un pas supplémentaire en avant, visant à codifier légalement le « délit d’islamophobie », qui sera passible de sanctions pénales et civiles envers quiconque critiquera et condamnera l’islam comme religion.

C’est ce qui émerge de l’initiative de la Boldrini : créer une Commission d’étude sur l’intolérance, la xénophobie, le racisme, et les phénomènes de haine dans leurs formes variées : xénophobie, antisémitisme, islamophobie, le racisme anti-roms, le sexisme, l’homophobie. Selon cette humaniste, éclairée à la lumière obscure de l’islam, ces nouvelles formes de racisme se manifestent surtout sur les réseaux sociaux, catalogués comme « hate speech », incitant à la haine.

Ironiquement, en Italie et en Europe, n’importe qui peut s’exprimer impunément contre le Christianisme, Jésus, l’Eglise, le Pape, de manière sacrilège, irrespectueuse, vulgaire, sans qu’il ne soit poursuivi, car il est protégé par la liberté d’expression.

Par contre, la liberté d’expression n’existe plus quand il s’agit de la « religion » d’Allah : on nous a imposé une autocensure sur l’islam, Allah, Mahomet, le coran, par crainte de heurter la sensibilité des musulmans, par peur de leur réactions violentes, dont les Chrétiens à travers le monde sont les premières victimes. Mais à part cela, l’islam est une religion de tolérance et de paix …

Comme les Chrétiens sont persécutés par les musulmans, pourquoi la christianophobie musulmane ne serait-elle pas considérée comme un délit, incitant à la haine de l’autre et passible de sanctions pénales ? Pourquoi ce « deux poids, deux mesures » ?

L’erreur fondamentale est de superposer la dimension de la personne à celle de la religion, estimant que pour respecter les musulmans en tant que personnes, il est automatiquement obligatoire de légitimer l’islam comme religion, sans émettre la moindre critique. Si nous devons respecter les musulmans comme personnes, nous devons en même temps pouvoir utiliser la raison pour analyser les contenus d’une religion et exprimer en toute liberté la vérité sur cette religion, en l’occurrence, l’islam.

Boldrini, troisième personnage le plus important de l’Etat, devrait prêter loyauté et fidélité à l’Italie, or elle porte fièrement une petite broche portant l’inscription : « Etats-Unis d’Europe », une entité inexistante, mais qui se traduirait par la disparition de l’Italie comme Etat souverain et indépendant si elle venait à exister, et qui promeut déjà l’invasion du pays par des millions de clandestins musulmans et africains.

Ces nouveaux Italiens régénéreraient la vie et la civilisation italienne, d’après cette irresponsable politique.

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Les citoyens italiens assistent jour après jour à la « régénération » en cours : viols, meurtres, vols, agressions multiples, zones de non droit, bidonvilles, saletés, injustices sociales, laxisme criminel de la justice, etc. Dans ce contexte, le délit d’islamophobie serait le coup de grâce porté à l’Italie et aux Italiens.

De plus en plus, je trouve hypocrite l’attitude de ceux qui s’imaginent pouvoir lutter et vaincre le terrorisme islamique en niant que ce dernier s’inspire directement de l’islam, qu’il est l’application littérale et intégrale des commandements d’Allah prescrits dans le coran, et fidèlement respectés et suivis par son prophète Mahomet, le modèle à suivre.

Nous les islamolucides, sommes confrontés à la mobilisation effrénée des institutions et des gouvernements européens, de l’Eglise, des médias de masse, pour faire taire, criminaliser, et sanctionner toutes les voix non soumises à la novlangue d’Orwell, décrite dans son roman, 1984*, actualisée sous l’enseigne rigoureuse de l’islamiquement correct.

Ponctuellement, tandis que les terroristes islamistes commettent des atrocités à l’encontre des citoyens européens, jugés comme mécréants et condamnés à être tués par les disciples d’Allah, nos responsables politiques, médiatiques et religieux élèvent une barrière de plus en plus hérissée d’épines pour la défense de l’islam comme religion, interdisant explicitement l’utilisation de l’expression «terrorisme islamique», à l’instar du plus ardent défenseur de l’islam : le président Barack Hussein Obama, maître à penser de nos idiots utiles de l’islam.

Ainsi, plus les terroristes islamistes massacrent les kouffars, plus ces derniers s’acharnent à défendre et à sanctifier l’islam.

Plus nous comptons nos morts, tombés sous les balles des islamistes, égorgés, ou déchiquetés par leurs bombes, plus nos responsables au pouvoir soutiennent les imams et les présidents des communautés islamiques, maîtres dans l’art de la taqiya, confortent et rassurent les communautés musulmanes.

Plus les islamistes déclenchent des guerres atroces au nom de l’islam, plus nos dirigeants politiques et religieux, collabos, consolident le mythe de l’islam modéré, incarné par des musulmans qui nous chantent le même refrain : ces criminels n’ont rien à voir avec l’islam.

Et de nous rassurer, la voix tremblante et les yeux voilés de larmes, que l’islam est une religion de paix et d’amour ! En fait, ils ne craignent pas pour nous, mais pour eux ; ils ne pleurent pas nos morts, mais s’inquiètent de leur avenir. Sait-on jamais, ces infidèles pourraient un jour en avoir assez de subir sans cesse humiliations, remontrances, culpabilisation …

Plus nous sommes déstabilisés et inquiets du terrorisme islamique et de l’islamisation démographique, religieuse et culturelle et l’exprimons, plus les islamophiles dénoncent l’islamophobie ambiante, source de radicalisation, la folie de vouloir déclarer la guerre à l’islam, le racisme envers les musulmans, en nous rappelant, telle une litanie, que les musulmans sont les premières victimes du terrorisme islamique, comme si cette affirmation devait absoudre l’islam de ses horreurs. A noter, que si les musulmans sont les premières victimes du terrorisme, c’est dû au conflit sanglant entre Chiites et Sunnites, qui remonte à la mort de Mahomet.

L’Europe actuelle est vouée au suicide.

Celui qui survivra à la violence physique des terroristes islamistes coupeurs de gorge est destiné à mourir de l’intérieur, en devant se soumettre à la violence mentale, morale et affective des coupeurs de langue qui nous dépouillent de notre liberté de choisir et de notre dignité.

Et tandis que nos islamophiles au service d’Allah, s’affairent à nous concocter une loi pénalisant toute critique de l’idéologie islamo-nazie, de pieux serviteurs d’Allah nous envoient un message d’amour et de paix :

« Frappez les civils en Occident ! Un ramadan de sang se prépare ! »

Tel est l’appel pacifique et fraternel lancé par l’EI via son porte-parole Abu Muhammad al Adanir à tous les musulmans.

Ce fou d’Allah invite ses frères musulmans à « combattre, combattre, combattre » pendant le mois sacré du ramadan, qui débutera le 7 juin.

« Nous sommes partout. Attaquer les civils est la façon la meilleure et la plus utile. Sur la terre des Croisés, à savoir l’Occident, il est inutile de préserver le sang, car personne n’est innocent. »

Mais selon les islamophiles à la tête de l’UE, la véritable urgence en Europe n’est pas la réalité du terrorisme islamique, mais la critique légitime de l’islam.

athée

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

Source : « La Boldrini vuole punire chi parla male dell’islam » Magdi Cristiano Allam (traduit et adapté par Rosaly)

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