Publié par Rosaly le 10 mai 2016

Danemark

Ouvrons les bras à nos chers frères musulmans à la recherche désespérée d’une vie meilleure en Occident, conforme, toutefois, à … la charia.

Quelles sont les chances pour que ces réfugiés musulmans deviennent des citoyens loyaux, travailleurs, patriotes, tolérants ?

Ce qui se passe dans les centres de réfugiés nous apporte une réponse claire, nette, sans ambiguïté.

Chrétiens Suède

En bons et pieux musulmans, ils appliquent la loi d’Allah à la lettre et menacent les réfugiés chrétiens qui refusent de participer à la prière islamique, comme s’ils étaient déjà en leur nouvelle terre d’islam.

En Allemagne, Markus Rode, de l’association «Open Doors», parle d’un climat de « peur et de panique » pour les réfugiés non-musulmans dans les camps de réfugiés.

Selon une étude, des milliers de Chrétiens ayant fui la Syrie et l’Irak sont exposés dans les camps de réfugiés allemands à des violences et à des menaces.

réfugiés Sicile

Les agents de sécurité et les réfugiés musulmans seraient responsables des attaques.

Selon Volker Baumann de l’Aktion für verfolgte Christen und Notleidende (AVC), jusqu’à 40.000 réfugiés seraient harcelés pour leurs croyances religieuses en Allemagne.((Source : Frankfurter Allgemeiner/Les Observateurs.ch)

Séparer les réfugiés chrétiens des musulmans constituerait une discrimination à l’encontre des musulmans. Si les réfugiés chrétiens harcelaient les musulmans, nul doute que la décision de les séparer serait prise sur le champ.

Autriche : agressée par des migrants afghans, la police conseille à la victime, une jeune femme blonde, de teindre ses cheveux en foncé.

blonde

La jeune femme, née à Dubaï de père irakien, convertie au christianisme, vit à Vienne. Elle attendait le train à la Westbahnhof quand un homme s’approcha d’elle. Il se mit à lui parler dans une langue étrangère. D’après son apparence et sa manière de parler, la jeune femme déduisit qu’il devait être Afghan. Après lui avoir dit que dans son pays d’origine, il n’y avait pas de femmes aux cheveux blonds, il commença à lui caresser les cheveux. Elle lui demanda de partir, ce qu’il fit. Mais c’était pour revenir quelques minutes plus tard accompagné de trois amis. Ils lui volèrent son sac et ses cartes de crédit.

« Je me sentais si seule, si impuissante, à leur merci.”

Ensuite, les quatre « doux réfugiés » la frappèrent, puis la jetèrent violemment à terre avant de s’enfuir. A quatre contre une femme.

Tandis qu’elle gisait à terre, blessée, personne ne vint à son secours. Bonjour la solidarité.

Quand elle put se relever, elle se rendit à l’hôpital car elle ressentait des douleurs à la tête, aux épaules, à la colonne vertébrale et aux hanches. Une fois soignée, elle se rendit à un poste de police afin de porter plainte. Sa détresse se transforma en colère quand la police lui conseilla de changer la couleur de ses cheveux et de ne pas prendre un transport public après 20h00 !

Elle déclara :

« Je fus d’abord très effrayée, mais par la suite, je devins furieuse. Après l’agression, les policiers me dirent que les femmes ne devraient pas sortir seules dans les rues après 20h00. Ils me conseillèrent aussi de me teindre en foncé et de ne pas m’habiller de manière aussi provocante.

En d’autres termes, ils me firent comprendre que j’étais en partie responsable de mon agression. Ce que je ressentis comme une véritable insulte ! »

En guise de consolation, la police lui déclara que ces agressions étaient désormais devenues une routine quotidienne et que la situation allait encore empirer.

A la question : « que ferez-vous si vous deviez rencontrer vos agresseurs », elle répondit : « je vaporiserai leur visage avec mon spray au poivre ». ( Source: Heute Newspaper)

C’est à nous à changer notre façon de vivre, à nous adapter aux traditions et mœurs rétrogrades des réfugiés musulmans. Le contraire serait considéré comme une discrimination envers ces « pauvres opprimés » venus en masse pour nous convertir à l’islam. A se demander qui est le hôte, qui est le migrant ? Du jamais vu dans l’histoire de l’humanité.

Bientôt, la police conseillera aux femmes de porter le hijab pour éviter d’être violées

La société européenne semble s’acheminer vers son effondrement total sans aucune volonté apparente de se défendre.

Bientôt, la police conseillera aux femmes de porter le hijab ou la burqa pour éviter d’être violées, quoique …

Encourager le suicide national et culturel, cela fait-il partie du devoir des « élites » politiques au pouvoir et des prélats de l’Eglise ?

Après les assauts sexuels du Nouvel An à Cologne et dans 17 autres villes allemandes, la hiérarchie catholique, tout en déplorant les incidents, s’était surtout inquiétée de la montée des nationalismes et de l’extrême-droite.

L’Europe risque de s’engouffrer dans les flammes d’une guerre civile, mais rares sont les autorités politiques et religieuses à en prendre conscience. Bien au contraire, ils attisent les braises en continuant à diaboliser et à ostraciser quiconque essaye d’avertir du danger de ces forces obscures, déterminées à détruire l’Occident.

Le Cardinal Rainer Woelki de Cologne, encore lui, grand dhimmi devant Allah, avait certes condamné les agressions sexuelles perpétrées devant sa cathédrale, mais il réserva sa plus grande inquiétude aux menaces de « l’extrême-droite » et des « cercles bruns ».

L’Evêque Gregor Ganke d’Eichstätt s’était plaint des dirigeants allemands qui envisageraient de rétablir des frontières, les accusant d’adopter des politiques islamophobes dignes de l’extrême-droite.

Le Cardinal Christoph Schönborn, archevêque de Vienne, lança également un avertissement. Face à la crise migratoire européenne, le plus grand danger serait … le retour d’un nouveau nationalisme :

« Le défi posé par l’afflux de réfugiés pourrait inciter les pays à se retirer, chacun à l’intérieur de leurs propres frontières et ainsi inaugurer le retour de frontières, de barrières, de murs, de rideaux de fer. »

A supposer que ces évêques, si soucieux de la protection des migrants, si indifférents aux craintes et malheurs des citoyens, aient raison, l’inquiétude manifestée par de nombreux Européens ne serait donc fondée, que sur des fantasmes … L’islamisation en cours ne serait qu’un mythe, issu de l’imagination tortueuse des islamo-réfractaires !

Selon ces éminences, ce ne sont pas les hordes de jeunes musulmans se déchaînant avec sauvagerie à travers l’Europe, qui constituent le danger majeur, mais bien ces Européens qui expriment leur inquiétude grandissante et osent demander que des mesures soient prises pour enrayer les flux.

Comme nous le savons tous, les termes « nouveau nationalisme », « cercles de droite ou cercles bruns », « xénophobe », et « populiste » sont les mots codes pour décrire tout opposant à cette politique migratoire folle, bref ce sont des néo-nazis …

La plupart des prélats de l’Eglise penche pour une Europe sans frontières et épousent la vision internationaliste des «élites» européennes.

Allemagne

A l’exception des questions sur le mariage et la famille, la hiérarchie catholique européenne semble avoir adopté l’agenda de l’UE.

En agissant de la sorte, elle court le risque, si ce n’est déjà fait – tout comme les leaders européens – de se déconnecter des citoyens ordinaires – vous savez ces gens du peuple traités avec un certain mépris par les élites, et dont le tort majeur à leurs yeux de grands sages visionnaires est d’oser exprimer leur crainte pour la sécurité de leurs femmes, de leurs enfants, si l’immigration musulmane de masse devait se poursuivre.

Gregor von Fürstenberg, le vice-président de Mission, une organisation missionnaire allemande, a fait observer que les Européens doivent offrir des conditions de vie dignes aux réfugiés, car jamais auparavant, dans l’histoire récente de l’humanité, un tel nombre de gens fuyant la guerre, l’oppression et la faim, n’ont frappé à leurs portes.

Cette personne et d’autres autorités religieuses ne semblent pas comprendre que la crainte de nombreux Européens ne réside pas seulement dans le nombre de migrants frappant à leurs portes, mais abattant leurs portes.

Guerres, famines, oppressions ont toujours existé.

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Pourquoi, soudainement, des millions de gens se mettent en marche à l’assaut de l’Europe ?

Comment expliquer que ces réfugiés fuyant guerre, famine, oppression, soient si exigeants, arrogants, méprisants, une fois arrivés dans les pays d’accueil, au point de dicter leurs conditions, de jeter nourriture et vêtements et d’imposer leurs propres règles et traditions religieuses ? 

Les vrais réfugiés n’agissent pas de la sorte. Ils sont reconnaissants de l’aide qui leur est apportée.

En 2014, le thème de la réunion de la Conférence des évêques européens (Commission des Episcopats de la Communauté européenne , la COMECE) était : « Le Nationalisme de l’Exclusion ».

Les évêques exprimèrent leur crainte relative au phénomène sans cesse croissant du racisme et de la xénophobie à travers l’Europe.

Ils déclarèrent : « Les mouvements nationalistes sont les réminiscences des politiques belligérantes et ultranationalistes, qui précédèrent les deux dernières guerres mondiales. »

Ils exhortèrent les citoyens européens à résister à toute tentation de faire de l’UE le bouc émissaire de la crise actuelle, ce qui serait gravement irresponsable.

L’attitude générale des autorités catholiques laisse sous-entendre que ces peurs sont celles d’esprits fermés, qui n’ont pas été à l’université ou n’ont pas eu suffisamment de contacts avec « l’autre ». D’après leur point de vue, ces gens vivent mentalement dans la nostalgie du passé, un passé sans plus aucune importance.

Ainsi, le Cardinal Schönborn appelle les Européens à surmonter leurs peurs et à ne pas céder au « nouveau nationalisme » un concept démodé, tout comme le « patriotisme ». Ce qui est une façon polie de dire : « Si vous n’êtes pas prudents, vous allez replonger dans le nazisme du passé. »

Le Père M. Gardzinski, un responsable du Conseil pontifical pour les migrants, a balayé ces peurs à l’encontre des réfugiés et les a qualifiées de « xénophobes et de restrictives », car non fondées sur une base « réelle et objective. »

Mais les défenseurs d’une UE sans frontières sont précisément ceux qui vivent dans le passé.

Le succès d’une entreprise comme l’UE dépend surtout de l’hypothèse que les membres d’une union commune partagent des valeurs communes. Or les forces conjuguées du multiculturalisme et de l’immigration ont fait voler cette hypothèse en éclats.

Quand on demande aux Européens de partager leur société avec des communautés dont les valeurs autorisent la mutilation génitale féminine, le mariage forcé et autres formes de misogynie, il est normal qu’ils ressentent des doutes et des craintes, d’ailleurs parfaitement justifiées.

Une autre valeur largement prônée dans le monde islamique est celle qui fait de la femme européenne un objet sexuel en libre service du fait qu’elle ne se couvre pas en public.

Dès lors, demander le rétablissement des frontières n’est en rien une réaction atavique, elle serait plutôt une réaction d’auto-défense civilisée des plus normales. Ce sont les élites européennes et de nombreux prélats de l’Eglise qui vivent dans le passé. Ils supposent que les conditions qui prévalaient autrefois et rendirent possible une union commune sont toujours d’actualité.

Eh bien non ! Ce n’est plus le cas. Et grâce aux expérimentations suicidaires de nos élites, ce passé pourrait être révolu à tout jamais.

Les élites européennes ont l’habitude de comparer les nationalistes d’aujourd’hui aux nazis d’hier.

Or le principal objectif nazi n’était pas de défendre les frontières de l’Allemagne, mais de les élargir, de les étendre : l’Anschluss généralisé sous la bannière nazie de la croix gammée. Le but d’Hitler était de contrôler toute l’Europe et le Royaume-Uni et les soumettre au nazisme.

Aujourd’hui, le plus grand mouvement internationaliste est l’islam. L’étendard noir des jihadistes n’a rien à envier à la croix gammée nazie.

Tout comme de nombreux évêques internationalistes, les islamistes ne croient pas en l’existence des frontières. Ils ne se considèrent pas eux-mêmes comme des Français, des Allemands ou des Britanniques, mais membres de l’Oumma. Ils prêtent leur serment d’allégeance uniquement à l’islam, car selon la doctrine islamique, le monde entier appartient de droit à l’islam. La seule paix envisagée par les islamistes est celle qui viendra après l’asservissement de toutes les nations à la maison de l’islam.

Allah

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

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