C’est officiel : lorsqu’un peuple ne vote pas comme les élites le demandent, c’est un peuple de cons, de bouffeurs de Macdo, de gros beaufs racistes et islamophobes.
Quand il vote à gauche, soudainement il est sensationnel, il a « trouvé la voie de la raison » et a « rejeté la haine ».
Je vous barbe avec des trucs ressassés ? Je sais. Mais ce baratin gauchiste usée, ils l’utilisent toujours. Je vous dis pourquoi : on reproche aux journalistes d’être déconnectés. Peut-être à tort : le bon coté est qu’ils ne savent pas que leurs numéros de cirque ne fonctionnent plus, ça réduit leur pouvoir de nuisance.
Il vient de se passer un phénomène intéressant : Donald Trump a recueilli le plus grand nombre de votes à une élection primaire républicaine de toute l’histoire des Etats Unis.
Avec sa victoire d’hier dans l’Oregon, Donald Trump a battu le record précédent, détenu par George W. Bush en 2000.
10.8 millions de personnes avaient voté pour Bush lors de la primaire Républicaine de 2000.
Donald Trump a déjà obtenu le vote de 11.1 millions de personnes. Les experts qui le défonsent, combien de votes ont-ils réunis sur leur personne ?
Et la campagne n’est pas terminée, puisqu’il reste l’Etat de Washington le 24 mai, puis le très important (en volume) Etat de Californie, le Montana, le New Jersey, New Mexico et le South Dakota le 7 juin prochain.
Je suis meilleur à décrire le présent à qu’à prédire l’avenir, mais les bonnes nouvelles, certaines mineures en apparence, s’ajoutent aux bonnes nouvelles.
- Comme le fait qu’après un président noir, la perspective d’une femme présidente devrait déclencher une vague sans précédent auprès des progressistes. Et qu’il n’y a même pas une vaguelette.
- Comme le fait stupéfiant que les femmes Démocrates votent plus pour Bernie Sanders que pour Hillary.
- Et que 50% des gens qui ont voté pour le vieux socialiste Bernie ont dit qu’ils voteront pour Trump si leur candidat n’est pas sélectionné – et il ne le sera pas.
- Comme le fait que Hillary, la routière archi-connue de la politique, la femme d’un ex-président toujours très haut dans les sondages, a difficilement gagné (avec 0.5% d’écart) hier dans le Kentucky contre l’inconnu du Vermont Sanders, et qu’elle a perdu contre le vieillard dans l’Oregon.
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Donald Trump, qui fait ses premiers pas en politique – ça n’est pas rien – a gagné plus de primaires (27), plus d’Etats (30), a le plus grand pourcentage de votes (87%), a remporté le plus grand pourcentage d’Etats (71%), le pourcentage le plus élevé de délégués (74%), et le plus grand pourcentage de votes (60%) que tous les candidats, tant Républicains que Démocrates.
Que voulez-vous que les médias répondent à ça, à part cracher sur les électeurs républicains – et bien entendu sur Trump.
Seulement voilà, les journalistes ont un problème : les électeurs se sont détournés de Hillary Clinton.
Depuis 3 semaines, l’inconnu Bernie Sanders écrase régulièrement Hillary Clinton.
Et là, il est difficile aux journalistes d’insulter les électeurs Démocrates.
Alors ils fouillent la vie de Trump, inventent des histoires sur les femmes du passé de Trump (le New York Times de ce week end, qui a été dénoncé pour mensonge et manipulations de leurs témoignages par les femmes interviewées), fabriquent des accusations de racisme, de fascisme et de liens avec le Klu Klux Klan et les suprémacistes blancs qui ne freinent même pas le train Trump, tout simplement parce que le public n’en croit pas un mot !
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.
Les media, qui se prennent pour le gouvernement, en sont arrivés à la même conclusion que celle de tout régime totalitaire lorsqu’il «estime que le peuple à trahi la confiance du régime et devra travailler dur pour regagner la confiance des autorités.» Dans ce cas, disait Bertold Bretch, «Ne serait-il pas plus simple pour le gouvernement de dissoudre le peuple et d’en élire un autre?» En effet.
Seulement voilà, le peuple américain n’a pas la moindre envie de se laisser dissoudre, et les vaticinations des journaleux ne l’intéressent pas.
Une milice extrémiste socialiste tente de détruire le musée de l’armée (paris), des militaires et gendarmes lynchées, pas un mot dans les médias.
Dissolution des groupuscules violent d’extrême gauche ?
Si Donald Trump, qui était inconnu en politique,, il y a près d’un an, et a gagné autant d’états, c’est qu’il décrit la réalité telle qu’elle est visible, et redonne au Américains l’espoir de continuer le rêve américain, qui, quoi qu’on en dise ici, fait rêver bien des hommes, sur la planète.
Sa fortune personnelle est sans doute d’une aide appréciable pour se faire entendre dans les médias, dont bon nombre sont acquis aux démocrates. Tant mieux donc, qu’il reste une cance à l’Amérique.
De ce côté-ci de l’Atlantique, nous avons des hommes courageux, lucides et patriotes.
Mais, sans médias ouverts au débat, leur parole est inaudible.
Comment pourrions-nous entendre des Ménard, des Collard?
Les médias, majoritairement de gauche, ne laissent aucune chance à la démocracie.
Non, ce n’est pas sa fortune qui lui ouvre la porte des médias, mais son succès : jamais aucun média n’a fait autant d’audience que lorsque Trump est invité.
La gauche cherche des histoires de femmes pour Trump, ahahaha , Ils ne manquent pas d’air, pauvre Clinton, ils ne savent pas ce que sont les histoires de Femmes !! ahahaha? et notre brouter aux « verrues d’amour » dévorant son visage, ridiculisant la France sur son scooter rue du cirque, lui il ne sait pas ce que sont les histoires de femmes..
la gauche n’a vraiment pas de honte.
SVP JPG informez-nous plus sur les primaires.