[Note de la rédaction : les positions développées dans cet article ont fait tousser la rédaction de Dreuz car elles écartent les dimensions psychologiques du misérable statut d’esclave.]
Le 10 mai a été la date choisie par Jacques Chirac pour reconnaître la traite et l’esclavage comme crime contre l’humanité.
Nous allons avoir droit aux mêmes discours et réclamations des représentants de ces anciens esclaves noirs afin de demander une nouvelle fois que la France s’agenouille et demande pardon, qu’elle fasse repentance mais surtout qu’elle continue à «banquer» pour expier ses fautes passées.
Christiane Taubira n’est plus au gouvernement mais nous pouvons compter sur le CRAN pour nous en faire souvenir.
- Ce sera le même silence en ce qui concerne l’esclavage qui se pratique toujours de nos jours en Afrique, organisé par les noirs eux-mêmes et les arabes.
- Ce sera le même silence également en ce qui concerne l’esclavage blanc.
Il ne faudrait pas oublier que du XVIe siècle au début du XIXe, plus d’un million d’esclaves blancs ont disparu en Afrique du Nord. Je dis « disparu » car il n’existe nulle part au monde une descendance de ces esclaves susceptibles d’exiger une repentance des Arabes, des Turcs et des roitelets noirs qui vendaient leurs sujets.
Et que pour mettre fin à cette piraterie la France a conquis l’Algérie.
Je vais m’autoriser quelques commentaires sur l’esclavage et je sais que je ne vais pas me faire que des amis mais c’est mon opinion et je la partage.
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Il ne s’agit nullement de faire l’apologie de l’esclavage mais d’un simple constat.
- Cette « marchandise » (j’emploie le terme « marchandise » à bon escient car une marchandise ça s’achète et ça se vend et si possible avec un important bénéfice) était transportée pour gagner de l’argent et il fallait qu’elle soit livrée dans le meilleur état physique pour être vendue le plus cher possible. CQFD.
- Cette main d’œuvre était nécessaire pour ces nouvelles contrées, et ils ont été enlevés afin de satisfaire ces nouveaux besoins. Bien-sûr ils étaient esclaves, bien-sûr ils appartenaient à des maîtres, mais pour des raisons financières, il fallait les maintenir dans la meilleure condition physique possible afin qu’ils soient rentables.
- En les privant d’une liberté qui les aurait sans doute vu mourir avant trente ans, l’esclavage leur a permis de survivre. Ils ont fondé des familles, eurent de nombreux enfants, qu’ils ont pu élever, et leur population s’est développée et s’est multipliée.
- Bien-sûr ils ont été exploités, bien-sûr ils ont travaillé dur, bien-sûr ils n’étaient pas libres, mais le résultat de tous ces bien-sûr, c’est l’existence peuple noir américain actuel, et les descendants d’esclaves résidant dans les DOM-TOM, en Amérique du Sud et partout dans le monde.
Alors je pose la question : Qui devrait réclamer repentance au nom de l’esclavagisme ?
Les descendants des Africains ou ceux des esclaves blancs ? Il est vrai que personne ne réclame justice et repentance pour les derniers.
L’invasion de ces centaines de milliers de migrants qui fuient leurs pays nous prouve qu’ils sont prêts à accepter de nouvelles conditions de vie, même comme esclaves et même au prix de leur liberté.
Ne tentent-ils pas de le faire par tous les moyens, même au prix de leur vie ?
Si on leur donnait le choix, ils signeraient tous des deux mains pour bénéficier des mêmes conditions de vie qu’ont connues les esclaves noirs.
Ils choisiraient tous cet avenir plutôt que leur présent.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Manuel Gomez pour Dreuz.info.
Avec des raisonnements pareils, on arriverait à écrire que l’expulsion des Juifs d’Espagne de 1492 les a sauvés de persécutions bien pénibles, et comme ils ne pouvait que préférer un exil, même forcé, à des bûchers, ils devaient s’estimer contents d’être chassés. Ben voyons.
Vous êtes sûr qu’il manque juste une dimension psychologique, là ?
L’esclavage est une horreur. On peut l’examiner froidement pour dire qu’en plus il est inefficace économiquement (démonstration par Tocqueville observant deux états américains limitrophes, de même climat, l’un esclavagiste, l’autre pas. Tocqueville n’est absolument pas indifférent aux autres aspects). le problème des commémorations est qu’elles oublient une chose : c’est que s’il y a une chose à dire des Blancs dans cette historie, c’est qu’ils l’ont aboli partout où ils étaient majoritaires. Que tous les peuples ont connu cette sinistre atrocité, et qu’il est infâme de ne jamais parler de l’esclavage barbaresque des Blancs qui est une des causes de la conquête et de la colonisation européenne du Maghreb, et ignoble de taire celui de la côte Est de l’Afrique perpétré par les Arabes sans le concours des Blancs. Surtout, l’esclavage existe encore aujourd’hui, et ce n’est pas l’abolition passée qui est la plus importante, c’est celle à venir. Bref, ces commémorations lamentables sont racistes.
Mais atténuer les choses comme fait l’article est plutôt maladroit, pour ne pas dire malvenu.
@ Manuel Gomez
Cet article est puant. Ce ne sont pas les noirs qui ont mis les blancs en esclavage. Les deux traites étaient justifiées par l’islam et par le judaisme. Que des associations de noirs aujourd’hui soient malhonnêtes ne change rien à ce qu’a été la traite des noirs.
Il y a eu également des musulmans qui ont pratiqué l’esclavage mon brave !
Certes mais ces musulmans qui ont fait la traite des noirs comme des blancs n’étaient pas noirs mais arabes et turcs. Ce sont les croisades qui y ont mis fin en ce qui conserne la traite des blancs.
La traite des noirs par les blancs s’est faite avec l’aide de quelques traitres mais il y en a partout. Elle n’est pas due aux catholiques mais à l’Angleterre protestante et à la France d’après la révolution.
Dans les deux cas elle s’est justifiée par l’infériorité de la race de Cham devant celle de Sem selon certaines interprétations du chapitre du déluge.
Pardon de traiter en bloc toutes ces associations de malhonnête.
Raz le bol de tous les mea culpa.
Il ne faut pas tout changer, ce sont en majorite les parents
et les chefs de tribus qui vendaient les pauvres esclaves
a quelques marchands hollandais, anglais, francais.
Parlant de repentance, ou puis-je m’adresser pour demander
compensation aux salauds du Front populaire en 1936 qui
ont mis par leur saloperies ma famille en fallite, qui ont
oblige mon pere a retourner en Espagne pour etre tue et
surement enfoui dans une fosse commune et ou apres plus
de 30 ans, personne n’ose ouvrir la bouche pour m,informer.
pas les croisades mais les expéditions dites coloniales du 18e… Les barbaresques ont sévi jusqu’à cette époque !
Les deux traites étaient justifiées par l’islam et par le judaisme
Par le Ju.dais.me qui est historiquement le premier mouvement de liberation de l’homme contre l’es.cla.vage ???
Vous etes une cra..p..ule !
Par la chrétienté et l’Islam vous voulez dire je suppose ? Parce que ce sont bien ces 2 religions qui prétendent que l’infidèle est à peine un homme…
Quand à vos interprétations de la Genèse, dispensez nous par pitié, elles sont à votre image : limitées et puantes. A l’image (désolé pour nos amis chrétiens, mais il m’a chauffé les oreilles) des interprétations que vous avez fait de l’histoire d’Adam et d’Eve (née d’une côte, d’un os d’Adam, donc forcément inférieure, et péché originel, faisant qu’un nourrisson non baptisé était promis à l’enfer : c’est tellement à pleurer de nullité et de bêtise crasse que cela devrait vous inciter à fermer votre claque merde avant de venir nous donner des leçons de théologies puantes
le christianisme ne justifie nullement l’esclavage ! Le baptême des nourrissons est bien une stupidité, introduite tardivement par l’église catho., mais on en trouve dans toutes les religions y compris le judaïsme. Même si il y a de très belles choses dans cette dernière. Le grand tord du faux christianisme est d’avoir imiter l’islam dans cette affaire.
« le christianisme ne justifie nullement l’esclavage ! »
Mais oui, mais oui, bien sur.
Nonobstant que les conciles du VI et VII siècle légiféraient sur l’interdiction de tuer un esclave (le tuer, pas l’asservir), à une époque où l’Eglise elle même possédait ses propres esclaves, nonobstant les réflexions de Saint Augustin, pour qui l’esclavage était la conséquence du péché originel, vous nous commentez la bulle pontificale suivante ?
Nicolas V (Dum Diversas , 1452), confirmée par Calixte III (Etsi Cunctu, 1456), par Sixte VI en 1481 et par Léon X en 1514 (Precelse denotionis).
Quand au rapport à l’infidèle de l’Eglise à cette époque, et pendant longtemps, il faut se crever les yeux pour ne pas le connaitre…
PS : on me chuchote à l’oreille de relire l’Epitre aux Colossiens, de Paul, faisant partie du Canon donc.
Col 3,18 : « Femmes, soyez soumises chacune à son mari, comme il convient à des femmes qui appartiennent au Seigneur. »
Col 3, 22-25
« Esclaves, obéissez en tous points à vos maîtres terrestres, et pas seulement quand on vous surveille, comme s’il s’agissait de plaire à des hommes, mais de bon gré, parce que vous révérez le Seigneur.
Quel que soit votre travail, faites-le de tout votre cœur, et cela par égard pour le Seigneur et non par égard pour des hommes.
Car vous savez que vous recevrez du Seigneur, comme récompense, l’héritage qu’il réserve au peuple de Dieu. Le Maître que vous servez, c’est le Christ.
Celui qui agit mal recevra, quant à lui, le salaire que méritent ses mauvaises actions, car Dieu ne fait pas de favoritisme. »
!!!
Pas faux du tout….
Ce n’est pas faux.
Je trouve cet article ahurissant et scandaleux.
Mais trêve de discussion : les vrais scandales sont que l’esclavage continue de nos jours en pays arabes, que l’état islamique y trouve une source substantielle de revenus, et que le seul esclavage dont il est légitime de parler en France (merci Taubira) est la traite blanche, à l’exception de la traite africaine et de la traite maure.
Dans ma boîte il y avait une employée sénégalaise (je crois) qui me racontait que sa famille du Sénégal avait à sa disposition une esclave. Une jeune fille qui s’occupait des tâches ménagères. J’étais choquée mais voilà comment elle justifiait la chose :
« elle vient d’une famille d’esclaves, à statut inférieur. Chez nous elle travaille et fait partie de la famille. Elle est née pour être mise à la disposition des autres »
Donc, suivant le même raisonnement c’est grâce à pharaon, aux croisés, à Torquemada, aux pogroms et à Hitler qu’Israël est un pays aussi puissant aujourd’hui…..
Cet article est du grand n’importe quoi !!!!
Il serait bon que Dreuz relise les contributions de ses auteurs avant de les publier !!!!
Le fait est que les noirs américains ont produit depuis la deuxième guerre mondiale de grands athlètes (Jesse Owens, Carl Lewis, Michael Jordan, Mohamed Ali, etc) et de très bons acteurs et artistes (Sidney Poitier, Morgan Freeman, ..) alors que pour les Africains c’est arrivé plus tardivement.
De là à dire que l’esclavage leur a rendu service, il y a une marge!
Mais présenter des excuses et verser des compensations comme en réclament certains groupes noirs américains?
Permettez… Combien de jeunes afro-Américains qui idéalisaient l’Afrique et ont voulu y faire un voyage initiatique de retour aux origines, et trois mois plus tard en sont repartis écoeurés ? Bénissant les esclavagistes européens de les avoir soustrait à ce continent de malheur !
Anecdotes relevées dans le livre « négrologie » de stephen smith chez calmann-lévy.
Histoire d’un journaliste Paul Thérou romancier américain qui raconte son périple du Caire au Cap, n’en peut plus de l’anarchie, la paresse, la crasse, qui finit par péter les plombs et invectiver un mendiant du Malawi dans ces termes
« pourquoi ne me demandes-tu pas du travail, plutôt que la charité ? Ce Thérou qui connaissait l’Afrique comme sa poche en est reparti à moitié fou. A la fin il invectivait tout le monde.
Mais ce n’est pas tout : il y a des Africains qui regrettent la colonisation. D’autres qui s’en servent pour nous faire chanter , comme Alpha Blondy le chanteur ivoirien qui disait en itw à Libération « Ils sont venus ils nous ont dit : on va vous coloniser ! Laissez tomber les pagnes et les feuilles. Prenez le blue-jean , le tergal, les ray-ban, et puis en cours de route ils changent d’avis, ça coûte trop cher de coloniser, alors ils décolonisent et vous vous retrouvez indépendants » – « mais ce serait trop facile parce qu’on en veut pas de cette indépendance. Celui qui m’a conquis et m’a mis son verbe sur la langue, il ne peut plus me laisser tomber parce que je suis une projection de lui… »
La hargne du colonisé est une vraie maladie dont sont atteints tous les africains. Ils attendent tous le jour de la revanche historique.
C’est pourquoi YHVH dit à Moshéh : j’alourdirai son cœur (à pharaon) il ne vous laissera pas partir… pas tout de suite… he oui ! C’est peut-être pas aisé à admettre mais il y a de cela… réfléchissons
C’est une analyse osée et poil à gratter, mais je suis d’accord. J’en ai ras le bol de cette repentance sélective.
Sur la traite arabo-musulmane on peut lire http://bouquinsblog.blog4ever.com/le-genocide-voile-tidiane-n-diaye (qui relativise par contre, à juste titre me semble-t-il, l’esclavage traditionnel intra-africain). Il y a aussi un livre bien documenté de Jacques Heers.
La liberté d’expression et de contradiction est l’ apanage de l’occident, ce dont nous n’avons pas toujours conscience !
Un point de vu osé, ouvrant le débat sur la traite intra-africaine orientale où les malheureux mâles étaient châtrés, donc sans descendance pour les eunuques de la « côte des esclaves » (Mozambique) -lire Tidiane N’Diaye, « le génocide voilé » Gallimard éditeur ou Jacques Heers sur le même sujet en livre de poche-) !!!
La définition de l’esclavagisme c’est « »Nourri, logé, pas payé et corvéable 24/24…. « » D’après amnistie international c’est la condition de 30 millions d’individus en 2016… Ce genre d’exploitation du paupérisme existe sous toutes les latitudes ou des enfants se retrouvent à la rue sans nourriture ni logement… même les bouddhistes du Thibet abusent de cette aubaine des enfants perdus sans collier, pour les convertir comme les islamistes embrigadent pour obliger d’apprendre le coran par coeur…
Moi-même étant enfant, à 13 ans à la rue je me suis sauvé de » l’oubli » en étant embauché pour faire l’abattoir nourri avec les gobets ( les restes invendables) loger sans chauffage dans le stock de papier d’emballage et de ficelles, avec un robinet d’eau froide et une douche municipale par semaine payée avec les maigres pourboires… La toilette c’était au plus vite en s’aspergeant le visage à l’eau froide dés que çà cogne à la porte à 4 heures du matins… sans interruption jusqu’à 20 heures… avec des coups de pieds au cul en cas de mollesse… Carreaux lavés au blanc d’Espagne, vérifié en biais pour voir si ça brille, cuivres astiqués et outils oxydables passés à la toile émeri…. j’ouvrai des têtes d’animaux divers pour extraire la cervelle… au risque de me couper une main… EN FRANCE !!!! oui EN FRANCE… J’ai en outre vécu presque dix ans en Afrique… et visité l’ile de Gorée, ( une belle escroquerie) et je vois bien l’abus des noirs qui ont quatre sous, sur leurs frères démunis… Alors les histoires d’esclaves noirs avec du repentir blanc, cela m’agace énormément car je me sens doublement victime… Je n’ai AUCUN compte à rendre au moindre noir, ni métis, ni crépu, ni cheveux lisses,… QUE DALLE ! Circulez pour trouver d’autres niches pour vous faire du fric sur mon dos… j’ai déjà donné au risque d’y laisser ma santé… Car comme direz Gainsbourg, ce ne sont pas les enculés qui manquent, mais le fric…
La politique des bas salaires contribue à la fixation des individus sur leur habitat avec le minimum de manoeuvre au cas ou ils voudraient « bouger »… Cette manoeuvre des nomades qui s’installent chez nous fait partie de manipulations conscientes du paupérisme…
J’ai écrit ma bio, avec mon parcourt exceptionnel… ou je suis devenu PDG… puis ma transformation, mais cela n’intéresse personne !
Cerventés qui a écrit Don Quichotte s’est tapé dix ans d’esclave blanc à Alger… Il y avait un tronc dans les églises pour racheter les blancs prisonniers à Alger… C’est cela qu’il faut fêter… Il faut honorer les vainqueurs pas les losers… sinon c’est le monde à l’envers… Nous devons avoir une mentalité de gagnant, pas de perdant !!!! Sinon on est maso ?
Claise: chapeaux bas.
Les français semblent frappés d’amnésie en proie à la notion romantique d’une france imaginaire et « parfaite » hier. Celle que j’ai connue (et ai fuie) ressemble bien plus à la votre.
Avouons que demander à des gens qui n’ont pas été esclavagistes, de présenter des excuses à d’autres qui n’ont pas été esclaves, au nom de l’esclavage, c’est un peu fort.
Mais ne pas exiger d’explication à ceux qui aujourd’hui sont esclavagistes, cela relève de l’escroquerie sociale.
La définition de l’esclavagisme c’est « »Nourri, logé, pas payé et corvéable 24/24…. « » D’après amnistie international c’est la condition de 30 millions d’individus en 2016… Ce genre d’exploitation du paupérisme existe sous toutes les latitudes ou des enfants se retrouvent à la rue sans nourriture ni logement… même les bouddhistes du Thibet abusent de cette aubaine des enfants perdus sans collier, pour les convertir comme les islamistes embrigadent pour obliger d’apprendre le coran par coeur…
Moi-même étant enfant, à 13 ans à la rue je me suis sauvé de » l’oubli » en étant embauché pour faire l’abattoir nourri avec les gobets ( les restes invendables) loger sans chauffage dans le stock de papier d’emballage et de ficelles, avec un robinet d’eau froide et une douche municipale par semaine payée avec les maigres pourboires… La toilette c’était au plus vite en s’aspergeant le visage à l’eau froide dés que çà cogne à la porte à 4 heures du matins… sans interruption jusqu’à 20 heures… avec des coups de pieds au cul en cas de mollesse… Carreaux lavés au blanc d’Espagne, vérifié en biais pour voir si ça brille, cuivres astiqués et outils oxydables passés à la toile émeri…. j’ouvrai des têtes d’animaux divers pour extraire la cervelle… au risque de me couper une main… EN FRANCE !!!! oui EN FRANCE… J’ai en outre vécu presque dix ans en Afrique… et visité l’ile de Gorée, ( une belle escroquerie) et je vois bien l’abus des noirs qui ont quatre sous, sur leurs frères démunis… Alors les histoires d’esclaves noirs avec du repentir blanc, cela m’agace énormément car je me sens doublement victime… Je n’ai AUCUN compte à rendre au moindre noir, ni métis, ni crépu, ni cheveux lisses,… QUE DALLE ! Circulez pour trouver d’autres niches pour vous faire du fric sur mon dos… j’ai déjà donné au risque d’y laisser ma santé… Car comme direz Gainsbourg, ce ne sont pas les en.cu.lés qui manquent, mais le fric…
La politique des bas salaires contribue à la fixation des individus sur leur habitat avec le minimum de manoeuvre au cas ou ils voudraient « bouger »… Cette manoeuvre des nomades qui s’installent chez nous fait partie de manipulations conscientes du paupérisme…
J’ai écrit ma bio, avec mon parcourt exceptionnel… ou je suis devenu PDG… puis ma transformation, mais cela n’intéresse personne !
Cerventés qui a écrit Don Quichotte s’est tapé dix ans d’esclave blanc à Alger… Il y avait un tronc dans les églises pour racheter les blancs prisonniers à Alger… C’est cela qu’il faut fêter… Il faut honorer les vainqueurs pas les losers… sinon c’est le monde à
l’envers… Nous devons avoir une mentalité de gagnant, pas de perdant !!!! Sinon on est maso ?
[Sinon on est maso ?]
Eh bien oui, en Occident c’est devenu un mal répandu. Il suffit de regarder le marxisme, et ses affidés; pensée créée par un homme de culture et de civilisation allemande, dont le but final est la destruction (certains diront remplacement) de sa civilisation mère; la culture judéo-chrétienne occidentale.
Existe t-il aujourd’hui une seule autre civilisation au monde dont le mouvement de pensée, le mouvement politique et économique dominateur, souhaite la destruction?
Je ne pense pas.
L’Occident se suicide. Et ça ne date pas d’hier.
Marx a écrit des « essais » dont il conteste lui-même l’exactitude… Les gens malhonnêtes sont ceux qui ont repris ses thèses pour en faire des vérités… Comme les abrutis de musulmans qui reprennent les affirmations du coran pour en faire leur vérité… L’être humain est soit stupide, soit un escroc ?
Il y a des êtres humains stupides et des êtres humains escrocs. Après je ne pense pas que tous les êtres humains soient ainsi.
Au contraire je pense que nombre d’être humains ont une grande propension à faire le Bien lorsqu’on les laisse mener leurs vies comme ils l’entendent.
Petite digression; la Terre, la vie sur Terre, tout ce qui nous entoure, est vraisemblablement voué à la destruction d’ici quelques milliards d’années, probablement encore plus tôt si on considère la possibilité d’impacts cométaires, de planétoïdes ou l’évolution du soleil.
Si la vie terrestre doit survivre (peut-être même la Terre qui sait…), ce sera, d’après nos connaissances actuelles, par l’Homme.
Nous sommes la seule espèce susceptible de voyager un jour vers les étoiles, de visiter et nous installer sur de nouveaux mondes et d’emmener avec nous ce qui vit sur ce monde-ci.
Voilà pourquoi je n’adhérerai jamais au discours de l’humain destructeur, fondamentalement mauvais. Et que je suis un indécrottable optimiste de l’Homme. Parce qu’en l’état actuelle de la connaissance, nous sommes la seule espèce qui pourra peut-être sauvegarder la vie complexe, voire la vie tout court, lorsque viendra l’heure de la mort de notre système solaire. Nous sommes une des seules espèces à ne pas limiter notre intérêt à notre environnement immédiat et à nous soucier de l’Autre, non seulement humain, mais aussi animal, végétal voire minéral, non par intérêt mais par compassion, générosité, curiosité ou amour du vivant, du beau.
Bref nous sommes une grande espèce. Qui a, jusqu’à présent, fait beaucoup plus de Bien que de Mal. Qui promet beaucoup.
Aussi, je pense qu’il n’y a rien d’absurde à espérer de l’Homme. A penser que par lui-même, il est Bon.
Ce qui ne signifie pas parfait. Et j’estime, à titre personnel, que la défi auquel l’Occident fait face ressemble furieusement à un mécanisme d’hallucination collective à grande échelle associé à une pulsion autodestructrice qu’on peut rencontrer au niveau individuel ou au niveau des foules.
Malgré la réalité qui démontre, non la perfection, mais la Bonté globale de l’Occident à travers l’histoire et encore aujourd’hui au présent, nombre d’occidentaux dépeigne leur civilisation comme un monstre à abattre absolument. Certains vont même jusqu’à élargir ce souhait à l’humanité toute entière. C’est là une des bases du discours autour du réchauffement climatique à mon sens (parmi d’autres bases, elles bien plus recevables factuellement parlant). C’est également très en vogue du côté des écolos.
Pour ma part je suis pragmatique factuel. L’Homme a accompli de grandes choses. L’Occident a accompli de grandes choses, a été le phare du progrès. J’estime que, dans les deux cas, le solde entre Bien et Mal est largement en faveur du premier.
Aussi je chérie et l’espèce humaine et l’Occident.
D’autres ne sont pas de mon avis.
Elle est dispo où votre Bio ? merci
Franchement il me commence à me les gonfler sévère avec leur repentance !
Tous ces sots pourront se flageller matin midi et soir mais cela sera sans moi !
Je peux me repentir de ce que j’ai fait à la limite mais alors me repentir de ce que je n’ai jamais fais : JAMAIS !
Les cons s’occupent en quelque sorte !
On ne peut en aucun cas justifier l’esclavage même a posteriori – , esclavage qui est quand même la privation du bien le plus précieux de l’homme : sa liberté,
mais se repentir ad vitam aeternam alors que justement nous Occidentaux avons aboli l’esclavage – à la différence d’autres,
et accepter que la nation « rembourse » les descendants d’esclaves, alors que les descendants d’esclaves ont en moyenne, dans nos pays occidentaux, un niveau de vie bien plus enviable que celui des habitants actuels de leurs pays d’origine (africains),
est juste un non-sens, et une véritable injustice, pour le coup, envers la race blanche occidentale. Ce genre d’exigences ressemble à une forme de racket, et n’est sans doute pas dénué d’arrière-pensées électoralistes, comme souvent.
A la limite, je comprendrais que les descendants de ceux qui se sont enrichis de la traite des esclaves (voir les superbes demeures nantaises ou bordelaises, ou autres, datant de cette époque et dont la construction a manifestement été possible grâce à ce trafic) et qui ont bénéficié par héritage de ces biens injustement acquis puissent être mis à contribution, si cela est possible ; mais l’ensemble de nos sociétés, c’est hors de question.
[A la limite, je comprendrais que les descendants de ceux qui se sont enrichis de la traite des esclaves (voir les superbes demeures nantaises ou bordelaises, ou autres, datant de cette époque et dont la construction a manifestement été possible grâce à ce trafic) et qui ont bénéficié par héritage de ces biens injustement acquis puissent être mis à contribution, si cela est possible ; mais l’ensemble de nos sociétés, c’est hors de question.]
Bonjour Jacques.
Même une contribution des descendants de négriers semble moralement difficilement défendable. En quoi ces descendants ont-ils la moindre responsabilité morale dans les actes de leurs ancêtres? Comment mesurerait-on le préjudice? A quelle génération remonterait-on? Où cela s’arrêterait-il? Car après tout si les négriers ont largement fait leur beurre sur cette immondice qu’est l’esclavage, c’était aussi le cas des planteurs, des roitelets africains, des intermédiaires, des armateurs, des marins ect…
La vérité c’est que la traite européenne, comme la colonisation, est finalement un événement relativement limité dans le temps et l’espace africain. Espace africain qui a par ailleurs largement participé à la traite en question (chose peu connue, des rois africains détenaient des terres en Espagne et au Portugal au XVIème siècle, terres reçues en guise de paiement ou de récompense).
Or cela fait des années que l’héritage de la traite et de la colonisation est traité non factuellement, mais comme un élément à charge exclusive de l’Occident.
Alors que c’était là un système autrement plus complexe qu’on ne le dit.
L’héritage de l’esclavage, de la colonisation et du nazisme ont été retourné contre l’Occident, non pour qu’ils s’en amende et apprenne de ces immondes forfaits mais pour le détruire. Pour amener les occidentaux à détester leur civilisation et à vouloir l’oblitérer de l’intérieur.
D’accord avec vous, Francis.
(c’est pourquoi j’écrivais, à la limite ; mais cette limite s’avère concrètement impossible à atteindre, comme vous l’expliquez bien)
Les facades en pierre de taille de Nantes ou de Bordeaux n’ont pas étés construites par les noirs ??? Mais par des français traités en esclave, car à l’époque du marche ou crève l’ouvrier était considéré comme de la merde par la bourgeoisie qui bénéficiait d’une main d’oeuvre quasiment gratuite… Le bénéfice retiré des trocs entre les épices et les noirs ne rapportaient pas des fortunes… un esclave avait bien peu de valeur… c’est comme si on achète un animal de compagnie de nos jours… Et les éleveurs même de chiens de race ne font pas fortune… A l’époque il n’y avait ni TVA ni charges sociales…
Cet écart de considération entre le manuel et le bureaucrate existe toujours… C’est très catho… il y a les métiers nobles, avocat, médecin, maire, haut fonctionnaire… et les métiers mal considérés, boucher/charcutier et tous les commerces en général, et les artisans… plombier, garagiste….
Je suis toujours choquée quand j’entend les gens dit « bourgeois » passer commande au restaurant… Il n’existe aucun respect du serveur ou de la serveuse et le bizutage n’est pas loin…
Vous écrivez: » le bien le plus précieux de l’homme : sa liberté » que penser des gens tellement pauvres qu’ils préfèrent se faire mettre en prison que de subir l’esclavage moderne ? Soit les prisons sont trop « confortables » soit la liberté n’est pas si fondamentales que cela.
Voilà un article comme je les aime, choc et cash !
La condition humaine mérite mieux qu’une résilience politiquement correcte.
L’esclavage a fait partie de toutes les cultures et a disparu des sociétés civilisées (quoi que).
Alors si l’esclavage existe encore dans certaines cultures, il y a là un combat à mener.
Demandez aux philippins coincés en musulmanie ce qu’ils en pensent ?
L’avis des soi-disant intellos de gauche me dégoute, me révolte et m’incite à mépriser leur morale du café du peuple.
Bien sûr que l’esclavage est en soi une abomination d’un autre temps. Pourtant il existe encore aujourd’hui et devinez qui le revendique comme quelque chose de « normal » faisant partie de la loi divine?
L’Islam, c’est l’esclavage ! Et les musulmans sont des esclaves qui rêvent d’étendre l’esclavagisme au monde entier. Allez comprendre ?
N’est-ce pas là le véritable débat à mener sur cette pratique immonde ?
Bonjour, je n’ai pas à me justifier mais je vais tout de même le faire, e serait-ce que pour DREUZ
1/ Il n’est pas question,, dans cet article, de justifier l’esclavagisme.
2/ Ce sont bien les arabes et les noirs qui fournissaient les esclaves
3/ Ni le transport ni l’exploitation, par les blancs, des esclaves, n’étaient la caricature de certains écrits ou films.
4/ Les esclaves installés vivaient mieux que dans leurs tributs en Afrique
5/ Enfin, certains migrants, aujourd’hui, seraient satisfaits de trouver des situations identiques.
Il est facile d’être horrifié quand on est douillettement dans son confort.
Beuah !
« Beuah »? C’est tout?
Il y a de quoi ne pas être d’accord avec Gomez, mais son article mérite autre chose que vos onomatopées vomitoires.
Car il a raison sur un certains nombre de points d’après ce que j’en sais, et il se trouve que, par mes études, je connais un peu le sujet.
Oui les esclaves noirs étaient souvent fournis par les royaumes africains de la côte. Les européens s’aventuraient fort peu à l’intérieur du continent. Les esclaves étaient le plus souvent soit razziés, soit des captifs de guerres tribales ou royales.
Pour le transport des esclaves, par contre, je suis en désaccord avec Gomez. Au mieux les esclaves étaient-ils déshumanisés et traités comme des marchandises précieuses. Au pire les conditions étaient-elles abominables. Et la situation semble s’être aggravée au fur et à mesure de l’extension de la traite.
Pour la vie dans les colonies ou en Europe, l’exploitation, là encore Gomez n’a pas tort. Il y a eu de tout. Des esclaves forcé au travail jusqu’à la mort. Mais aussi, surtout avant l’avènement des plantations, des esclaves fort bien traités et destinés à devenir sujets de leur roi au même titre que des européens. Ce fut le cas au Portugal au XVIème siècle. Le statut d’esclave n’avait alors rien de définitif. Il arrivait souvent qu’il soit transitoire et serve en quelque sorte de période d’acclimatation, particulièrement sur le plan religieux.
Il se trouvait aussi des esclaves qui achetaient leur liberté, la gagnaient par leurs services, ou qui étaient libérés par leur maître.
Dans d’autres système on restait esclave à vie, mais cela ne transcendait pas les générations; les enfants n’étaient plus esclaves.
En réalité l’esclavage a couvert un grand nombre de situations très différentes les unes des autres.
C’est, semble t-il, la création des plantations qui a amorcé un tournant vers une inhumanité et une cruauté indéniable; le besoin de main d’oeuvre était énorme et à amené les planteurs à instaurer un statut d’esclave-objet sacrifiable et corvéable à merci.
Tous ces beaux esprits dénoncent le passé , mais en aucun cas L’ESCLAVAGE DU PRESENT ! encore pratiqué , par qui ,? des occidentaux Non ; Mais là c’est politiquement incorrect , et de plus très dangereux à combattre . alors qu’avec le fond de commerce de la repentance mémorielle de la traite atlantique la soupe est bonne . Le colonialisme n’a jamais pu éradiquer les pratiques arabo-musulmanes de l’esclavage en Afrique depuis …1200 ans et qui perdurent encore de nos jours . cherchez l’erreur.
Encore un article mal fagoté! …..
Sinon, savez-vous si il y aura une journée de commémoration pour les victimes du cannibalisme ? Pour d’éventuelles réparations cela s’annonce compliqué !
La plupart des esclaves noirs ont été vendus par leurs frères noirs à des arabes qui les ont revendus aux esclavagistes blancs. Les slaves ont été nommés ainsi car ils ont été les esclaves européens des ottomans. Les plus gros esclavagistes actuels sont à rechercher dans les pays du golfe et de la péninsule arabique.
Non je ne me sens coupable de rien, je ne présenterai aucune excuse ni regret !
Aux U.S. durant tous les mois de février, les gosses des écoles publiques régurgitent «black history», qui consiste à réviser le nom des illustres noirs américains.
Question en tête de ligne : Qui inventa le beurre de cacahuète ? (George Washington Carver), quel est le nom de celle qui refusa de laisser sa place dans le bus ? (Rosa Parks), qui était Martin Luther K ? (pas le théologien Allemand, mais l’autre), et quelles étaient les misères infligées au noirs américains par les blancs ? Afin de nourrir la culture de culpabilisation du blanc, il importe de rabâcher : bourreau=blanc, victime=noir, en aspergeant ici et là les quelques fioritures de noirs accomplis, tant bien qu’ils n’etaient pas de droite. On ne parle pas du fait qu’avant la guerre de sécession en Nouvelle Orléans, un tiers des esclavagistes étaient noirs. Et qu’à Birmingham en Alabama, c’était 31%. Ca la foutrait mal.
On ne dit pas que les chinois qui travaillaient sur les premières lignes de chemin de fer étaient eux aussi esclaves (de leur roi en tant que «indentured servants»). Ou que le peuple juif fut un jour entièrement asservi. Dans l’esprit américain c’est impossible voyez-vous, car les juifs sont blancs.
A l’âge adulte, nos belles têtes brunes pourront obtenir un Doctorat en études afro-américaines, ce qui leur permettra de devenir Activiste de Quartier, à moins qu’ils n’augmentent les fiches de chômage.
L’esclavagisme est un mal qui a frappé (et frappe) toutes les cultures. Ça, on ne l’enseigne pas. L’esclavage arabo-musulman étant certainement celui qui dura le plus longtemps et décima le plus de jeunes garçons noirs. Mais on ne l’enseigne pas non plus. Avant même l’arrivée des blancs, des tribus nomades d’amérindiens asservissaient couramment les femmes qu’ils avaient capturées. Ça devait certainement diversifier les fonds génétiques, mais faut pas le dire. Les Caribes asservissaient (et dévoraient) leurs ‘frères’ Arawak des iles voisines. Les européens s’asservissaient entre-deux et pendant des siècles sous un système féodal ; le servage étant considéré comme une forme d’esclavage. Peu d’américains en ont entendu parler, cet esclavage-là ne remplit pas les « critères » voulus.
De nos jours l’esclavage est en vogue de nouveau, mais restons bouche cousue, car ses pratiquants pourraient de rage – nous décapiter.
Ce qui compte c’est de savoir par cœur le nom de celui qui inventa le beurre de cacahuète.
Les musulmans ont fait bien pire que les chrétiens en matière d’esclavage ; mais leur technique était bien mieux rodée et ils n’ont pas laissé de « traces » (pas de descendance des esclaves puisque castration systématique). https://www.herodote.net/622_au_XXe_siecle-synthese-12.php