Publié par Rosaly le 5 mai 2016

Ce cri poignant est celui d’un citoyen italien, écoeuré par la classe politique de son pays, inquiet pour l’avenir de ses enfants, de tous les enfants de la nation.

Mais, il pourrait aussi être celui de chaque citoyen de l’UE, angoissé, atterré, apeuré, par le suicide programmé de l’Occident, assistant impuissant à sa lente agonie, voulue et planifiée par les différents serviteurs du Nouvel Ordre Mondial. Rêve mégalomane utopique, qui hante de nombreuses organisations internationales et musulmanes, créateurs de la grande illusion.

Immigration de masse incontrôlée, islamisation croissante de nos pays, avec la bénédiction papale et la bienveillance de la classe politique, mépris affiché des élites dirigeantes envers nos peuples, absence de scrupules, tromperies, mensonges, tout cela contribue à faire des Européens des étrangers dans leur propre pays, des citoyens de seconde zone, des gens sans importance.

Si vous avez l’audace de vous y opposer, vous êtes immédiatement traité de raciste, d’égoïste, de fasciste.

Il n’y a pas encore de goulags ou de camps d’enfermement pour les dissidents, mais cela ne m’étonnerait guère que nos irresponsables dirigeants y songent de temps à autre avec une certaine nostalgie d’un passé pas si lointain …

Ah ! Comme cela faciliterait la vie à la caste politique et aux têtes pensantes de l’UE, un peuple docile, soumis, abruti dès l’enfance par des programmes scolaires dûment étudiés à cet effet, crétinisés par des programmes télévisés d’un niveau correspondant au QI d’une limace, concoctés avec soin dans ce seul but, bêtifié par des informations biaisées, des campagnes publicitaires visant à leur lessiver le cerveau blanc plus blanc, pour qu’il devienne vide de vide.

Si le petit peuple se met à penser, à réfléchir, à se rebiffer, à proclamer son amour de sa patrie, de ses traditions, de sa culture, à défendre son identité, mais où allons-nous ? Tout droit vers le chaos, s’exclament ces prétentieuses marionnettes qui nous gouvernent. Et de diaboliser ce peuple rebelle, quand il ose exprimer sa voix.

La volonté du peuple ne doit pas primer, mais être sacrifiée sur l’autel de la tolérance, de la bienpensance, de la multiculturalité. Qu’on se le dise !

Ces autocrates, bouffis d’arrogance et de mépris, d’un sentiment de supériorité himalayen, assistés par nos dirigeants serviles, veulent faire le bonheur des peuples malgré eux, menaces à l’appui si nécessaire.

Pour soutenir Dreuz financièrement, cliquez sur : Paypal.Dreuz, et choisissez le montant de votre don.

Inutile de demander l’avis aux peuples, les sujets sont trop complexes, ils ne comprendraient rien et opteraient pour la mauvaise solution. Du haut de notre Mont Olympe, nous nous savons ce qui est bon pour eux … semblent penser avec suffisance les fossoyeurs de notre vieille Europe, de nos peuples, de nos nations.

frontières ouvertes

D’où le cri de cœur du citoyen italien révolté par la situation dans son pays :

Et maintenant, appelez-moi raciste !

Appelez-moi raciste. Allez courage ! Dites-le ! Hurlez-le avec toute la conviction dont vous êtes capable. Si vous pensez me blesser, me faire honte, je puis vous affirmer que vous vous trompez.

Ce raciste que je suis devenu, comme tant d’autres, est en train de se battre pour vous aussi.

Cet Italien comme tant d’autres que vous insultez, pense à votre avenir, à celui de vos enfants.

Ce sont les gens qui n’ont pas peur d’exprimer ce qu’ils pensent, ce en quoi ils croient, qui ne craignent pas de prendre des risques et qui vous aident à aller de l’avant.

Je me demande si vous vous sentez tellement supérieurs, tellement certains d’être dans le vrai, quand vous vous trouvez en face de ces citoyens italiens, hommes et de femmes, obligés de fouiller dans les immondices pour survivre ?

Vous sentez-vous tellement supérieurs à ceux qui ne peuvent offrir, par manque de moyens, ne serait-ce qu’une toute petite chose à leurs enfants, pour voir la joie briller dans leurs yeux ?

Vous sentez-vous supérieurs à ceux qui doivent remettre la barquette de steak dans le rayon du supermarché, car s’ils cédaient à la « tentation », ils ne pourraient boucler la fin du mois ?

Ce raciste, comme beaucoup d’autres, regarde ce que devient son pays et souffre tous les jours. Il regarde son Italie, notre Italie, qui est en train de tout perdre, mais ne réagit pas.

Son Italie, où trop de personnes sont occupées à juger ceux qui crient leur désespoir, à parler uniquement de ce qui est politiquement correct, afin de ne pas se créer des problèmes. Ces personnes, qui n’hésitent pas à détourner leurs yeux face aux situations difficiles, décrites plus haut, en croyant que cela ne leur arrivera jamais.

Hommes médiocres et dangereux qui veulent nous priver de tout ce que nous possédons pour s’enrichir eux-mêmes et appauvrir le peuple. Et ils veulent nous culpabiliser, quand nous protestons, car nous demandons tout simplement ce à quoi nous avons droit.

Je suis du côté de ce peuple qui souffre, de ces hommes courageux qui travaillent et font des sacrifices, de ces gens honnêtes qui sont rétribués avec de belles paroles, se transformant en insultes à la première occasion.

C’est pour cela, que je suis raciste, insensible, sans cœur et je dis :

  • STOP à l’immigration incontrôlée, aux banques et aux lobbies économiques, qui utilisent l’argent du peuple à leur unique profit ;
  • STOP au racisme antipatriotique, qui soutient quiconque n’est pas Italien ;
  • STOP à toutes ces taxes, imposées aux citoyens, qui doivent payer, à la sueur de leur front, les dépenses d’un Etat ingrat et indigne pour entretenir migrants et Roms, laissant mourir de faim les siens ;
  • STOP à ces institutions, qui au lieu de défendre les forces de l’ordre – les véritables serviteurs de l’Etat – les humilient, leur donnent un salaire de misère, alors qu’ils risquent leur vie chaque jour pour défendre la nôtre.

Je suis raciste et sans coeur parce que je regarde ces Italiens, victimes de violentes intempéries, qui n’ayant pas encore été relogés s’abritent sous des tentes. Ils mériteraient notre aide et notre réconfort, mais surtout l’aide et le réconfort d’un Etat qui les a totalement abandonnés. Oui, il a abandonné les siens pour mieux s’occuper des clandestins !

Je suis raciste car je pense quotidiennement avec amour, respect et affection à mon pays, que j’aime définir comme ma « Patrie » ; je crois aveuglement en mon peuple, avec lequel je partage idées, racines, histoire et valeurs.

coeur

Je suis fatigué de voir des hommes détruits par la crise.

Je suis fatigué et triste de voir des petits artisans et entrepreneurs qui se suicident, parce que l’Etat les accable et les brime par tous les moyens et ils ne savent plus comment s’en sortir.

Je suis fatigué de voir nos ouvriers perdre leur travail et leur dignité, car le travail représente la dignité d’un être humain, toutes ces personnes contraintes à mener une vie dure, faites de privations et de sacrifices, car les entreprises qui engagent sont en voie de disparition.

Je suis fatigué de voir ces pères de famille, qui ne pouvant plus garantir à leurs êtres chers une sécurité économique, tombent en dépression et détruisent leur vie.

Je suis fatigué de voir le taux de chômage augmenter.

Je suis fatigué d’assister à la fuite de nos jeunes talents, car ce système pourri récompense d’abord les incapables, « les amis des amis » et non les courageux et les méritants.

Je réclame des certitudes. Je demande que les citoyens italiens puissent vivre en toute sérénité, qu’ils soient récompensés pour tous leurs efforts et sacrifices de ces dernières années. Il n’y a rien de plus important pour moi. Et je ne cesserai jamais de lutter. Car il n’est pas acceptable de tout supporter sans combattre, sans au moins essayer.

Un jour, en regardant mes enfants dans les yeux, j’aimerais qu’ils sachent que j’ai lutté de toutes mes forces pour essayer de faire changer les choses, afin de leur garantir, ainsi qu’aux autres enfants, un avenir meilleur, dans un pays fantastique et unique au monde, qui par la faute d’un groupe de politiciens ineptes et incapables, des politiciens de pacotille, a été dépossédé de sa propre identité, de sa grandeur.

Oui, je suis un raciste et fier de l’être si cela signifie aimer, respecter, défendre par-dessus tout mon pays, notre pays, notre peuple.

Toi aussi, lecteur, essaye de te battre, car l’union fait la force.

Et je suis certain que si nous nous unissons tous dans le but commun de reconquérir la dignité et la souveraineté dues au peuple italien, nous chasserons cette classe de politiciens traîtres et incapables. Ainsi, demain, nous pourrons regarder nos filles et nos fils dans les yeux avec fierté, sans honte, car nous aurons fait au mieux, comme pères et citoyens, pour leur laisser en héritage une civilisation encore vive et forte et leur assurer un futur de femmes et d’hommes libres, et non d’esclaves dans leur propre patrie.

conficius

Fier d’être lombard, mais surtout fier d’être italien, je suis né en 1982. Jeune entrepreneur, grâce aux multiples sacrifices de mes parents, je m’ efforce de me montrer digne de cet héritage, jour après jour, avec humilité.

Chrétien convaincu, marié, père de deux filles, j’écris, car je pense juste d’exprimer ce en quoi on croit avec courage et sans peur. J’aime mon pays, et le peuple italien.

Je rêve à une classe dirigeante qui privilégie le bien commun aux intérêts personnels, qui sache aimer son travail comme une mission civique et qui réussisse à mériter par ses actions l’honneur de représenter un grand peuple et une grande nation comme l’Italie.

Je pense que les entrepreneurs italiens et les artisans sont des héros, car en dépit des taxes dont ils sont accablés, et d’une bureaucratie pachydermique, ils continuent à tenir le coup. Merci à eux !

Andrea Pasini

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info.

chiot patriote

Source:” Avanti, senza paura, le blog d’Andrea Pasini” par Rosaly

Inscrivez-vous gratuitement pour recevoir chaque jour notre newsletter dans votre boîte de réception

Si vous êtes chez Orange, Wanadoo, Free etc, ils bloquent notre newsletter. Prenez un compte chez Protonmail, qui protège votre anonymat

Dreuz ne spam pas ! Votre adresse email n'est ni vendue, louée ou confiée à quiconque. L'inscription est gratuite et ouverte à tous

En savoir plus sur Dreuz.info

Abonnez-vous pour poursuivre la lecture et avoir accès à l’ensemble des archives.

Continue reading