Publié par Dreuz Info le 11 mai 2016
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« J’ai remarqué que tous ceux qui sont en faveur de l’avortement sont déjà nés » – Ronald Reagan

Je ne suis certainement pas pour l’avortement.

J’ai certes été, à une certaine époque, pour une certaine *dépénalisation* de l’avortement – dans certaines conditions strictes et dans un délai limité (12 semaines, à l’époque) – pour permettre aux femmes de ne plus avoir à confier leur vie aux « faiseuses d’anges ».

L’avortement, « contraception alternative » pour idiotes attardées

En Belgique à l’époque, l’avortement médical ne devait s’appliquer qu’à des accidents, il devait être limité le plus possible, et certainement pas devenir une forme de « contraception alternative » pour idiotes attardées !

Ces mesures de dépénalisation partielle devaient aller de pair avec une politique de planning familial et de contraception active, pour limiter les cas malheureux d’avortements le plus possible ! Les féministes – y compris les « féministes » de gauche – avaient accepté ces contraintes strictes.

En Belgique, ces promesses d’encadrement ont été plus ou moins respectées au début, et leur mise en oeuvre faite avec une relative honnêteté. Mais dans les pays d’abrutis du Sud de l’Europe, dont la France, les promesses ont été oubliées aussitôt la dépénalisation partielle de l’avortement obtenue !

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En « Frönce », les grosses connasses de « féministes » de gauche ont aussitôt enchaîné avec un «drouwât à» l’avortement, et – ne rigolons pas, SVP – plus débile encore dans le nihilisme stupide le plus abscons : un «drouwât» (qui n’a jamais existé pour personne) des femmes à «disposer de leur corps».

Le résultat ne s’est pas fait attendre.

Le chiffre effarant de 200.000 avortements ne fut jamais revu… sauf à la hausse.

Et les avortements, de plus en plus tardifs, tournent à la boucherie.

En Espagne, l’horreur « avortementatoire » ne connait plus de limites.

Au Texas, il y a une quinzaine d’années, une femme tirait au colt sur la tête du bébé qui apparaissait entre ses jambes ; elle ne fut pas condamnée, car il s’agissait – selon la « justice » d’un « avortement ».

Définitivement non ! Je ne suis pas pour cette barbarie criminelle.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Elisa Naibed.

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