Une intervention des forces de l’ordre était en cours mardi matin pour dégager les accès à la raffinerie Esso ainsi qu’au dépôt de carburants de Fos-Sur-Mer (Bouches-du-Rhône),bloqués depuis lundi par des militants CGT opposés à la loi Travail, a-t-on appris auprès de la préfecture de police. Les forces de l’ordre sont intervenues à 04H15 et une heure plus tard l’opération de la Direction départementale de la Sécurité publique se poursuivait, rencontrant « une résistance importante » de plus de 200 militants cégétistes, a-t-on indiqué de même source. Des feux de pneus allumés par les manifestants étaient notamment en train d’être maîtrisés, a-t-on précisé.
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Plusieurs centaines de militants CGT bloquent depuis la nuit de dimanche à lundi le dépôt de carburants et la raffinerie de Fos-sur-Mer dans le cadre d’un mouvement de protestation demandant « le retrait de la loi travail ». Ils avaient indiqué lundi qu’ils comptaient maintenir les barrages jour et nuit jusqu’à la manifestation nationale prévue jeudi. Les forces de l’ordre sont intervenues mardi pour débloquer deux ronds-points, celui de Saint-Gervais qui conduit au dépôt de carburants et celui des Vallins qui mène à la raffinerie Esso, a-t-on précisé de source policière. « Nous voulons le retrait de la loi travail », avait indiqué lundi matin à l’AFP le secrétaire départemental de la CGT 13, Maxime Picard, depuis le barrage installé à l’entrée de Fos-sur-Mer, à l’instar de divers barrages mis en place depuis plusieurs jours notamment dans le nord et l’ouest de la France.
Selon le responsable syndical, quelque 500 militants étaient présents sur ce barrage où un mur de pneus occupait toute la largeur de la chaussée, soit sur une trentaine de mètres de large sur environ 1,50 m de hauteur. La ministre du Travail, Myriam El Khomri, a déploré lundi lors d’une déplacement à Marseille que « des salariés, des Français soient pris en otage » alors que six raffineries françaises sur huit sont affectées par des mouvements de protestation contre son projet de loi.
© Gaïa pour www.Dreuz.info
Source : Lefigaro
il n’y a que la C G T qui est en grève ,comme d’habitude ,c’est des fouteurs de merde ils on coulé la S N C M affaibli le port de Marseille ainsi que de nombreuses entreprise ,et la ils essaye de couler le pays, ils sont responsable d’un si grand nombre de dégâts que si on les ferrais passer a la caisse ils devrais vendre tout leurs bien châteaux et autres ,et si on prétend que C G T veut dire cancer généralisé du travail ,c’est bien vrais
votre avis m’a inspiré une pétition : http://www.mesopinions.com/petition/politique/dissolution-cgt-confiscation-avoirs/20043
j’ai signé
en 39 /40 il avaient déjà saboté l ‘armement , comme pour l ‘ INDO etl Algérie , ils ont sur les mains du sang du contingent .
et qui a coulé l ‘imprimerie il y a bien longtemps , le port de Marseille , les cargos vont à Rotterdam , le Havre prend le même chemin .
La SNCF , La RATP
Complot Général Total
Contre les Gens qui Travaillent
La CGT t’as apporté des droits, cherche sur internet
Mais allez-y, faites nous rire, donnez les nous ces droits ? Celui de subir en moyenne une grève par mois ? Celui de voir un syndicat ne représentant rien ni personne assassiner des entreprises parce qu’il ne comprend strictement rien aux réalités économiques ? Celui de voir ses nervis casser la gueule de tous ceux qui ne pensent pas comme eux ? (en particulier, cas concret, l’ouvrier qui veut travailler et pas participer à la grève inique lancée pour soutenir un « collègue » qui avait été sanctionné pour avoir volé dans les stocks de l’entreprise)
Et arrêtez de nous prendre pour des cons (je me réfère à votre réponse à Alice) : ce n’est certainement pas à la CGT que la France doit d’avoir l’une des électricités les moins chères d’Europe, mais aux gouvernements que ladite CGT traitait de fascistes, qui ont planté en quantité des centrales nucléaires en France. Si l’on se tenait à votre mouvance, les centrales nucléaires seraient fermées et remplacées par ces éoliennes et panneaux solaires que vous dénoncez sans honte, alors que c’est VOTRE mouvance politique qui les impose au nom d’une soit disant écologie qui sert à habiller en vert vos délires rouges.
Allez vendre votre propagande ailleurs, ici les gens sont parfaitement au courant que vous êtes les fossoyeurs de ce pays, et les premiers responsables de l’état désastreux dans lequel il se trouve, avec votre haine du patron, votre soit disant défense des « gens en bas de l’échelle » alors que vous avez toujours préféré fabriquer des chomeurs que de tenter de sauver des emplois. Pas par hasard que la France soit le pays le moins syndiqué du monde : les gens ne sont pas, ne vous déplaise, des imbéciles.
….. »Des feux de pneus allumés par les manifestants … »..
Au pays de la COP21, ca fait vraiment pas sérieux ! J’vous jure; Qu’ils sont stupides ces syndicalistes; Au lieu d’aller foutre les boxon dans les ministères, vaut mieux polluer et s’en prendre aux français qui bossent et les payent via les impôts et les subventions légales. C’est tellement plus facile et moins risqué; Un peu comme les terroristes qui s’en prennent aux civils en lieu et place des politiques et des militaires……
Tous les français sont victimes d’une énorme querelle de couple. La cgt n’a jamais été à droite ou chez Le Pen, donc qu’il se dé….e afin de ne pas pénaliser les gens qui bossent Eux!
Le véritable responsable est le « gouvernement » français et sa loi directement dictée par les multinationales comme Esso qui veulent accélérer la « tiers mondisation » de la France en nivelant par le bas pour que l’employé français soit enfin aussi taillable et corvéable que celui du Bangladesh.
Ce programme en cours depuis des décennies est le même que celui qui impose l’immigration invasion actuelle, le TTIP, la dictature de la commission européenne et des minorités.
Tout le monde oublie le volet « religion: de la loi El Komry, qui ouvre un boulevard aux islamistes, déjà bien actif (Roissy, attentat, Egyptair) , dans nos entreprises.
Personne ne peut dire que cette loi est bonne pour la France et les français. Elle ne serait jamais passée au parlement sans le 49-3.
La CGT, pour une fois, et indirectement, défend la démocratie.
Je ne sais pas si « pour cette fois, la CGT défend la démocratie »,
mais cette organisation a si souvent défendu son bout de gras, i.e. les privilèges de quelques centaines de milliers de salariés français, contre l’intérêt du pays, que pas plus cette fois-ci que les autres je ne suis prêt à la croire.
Sans parler de son infiltration par les islamistes, qui fait se demander si cette organisation ne leur sert pas de cheval de Troie pour mettre la France et ses institutions à terre, afin de mieux pouvoir les ramasser.
Le « droit de grève » et les privilèges exorbitants accordés aux syndicats dans ce pays doivent être sérieusement revus (à la baisse), si la France veut avoir une petite chance de s’en sortir.
« Malgré les pressions qui ont permis d’enterrer le premier rapport de la commission d’enquête parlementaire sur l’argent des syndicats, les langues se délient, sous le sceau du secret. Et l’on découvre le prix de la « paix sociale » : 4 milliards d’euros par an !
« Notre conversation est totalement off, je ne vous ai jamais parlé » : voilà l’entrée en matière d’un député, membre de la commission d’enquête sur le financement des syndicats dont le rapport, qui devait être rendu public début décembre, a été enterré à la dernière minute. « En fait, le gouvernement a fait pression pour que les parlementaires ne jettent pas d’huile sur le feu en faisant des révélations sur l’argent des syndicats à l’orée de la campagne présidentielle et alors que Nicolas Sarkozy vient tout juste d’annoncer, lors de son discours de Toulon, un sommet avec les partenaires sociaux tout début 2012, confie ce membre UMP de la commission. Ce n’était pas le moment de déterrer la hache de guerre et nous avons reçu la consigne expresse de nous abstenir. »
Consigne entendue : les parlementaires UMP, à une exception près, se sont abstenus. Ce rapport de 140 pages sur l’argent des syndicats, fruit de six mois d’enquête, ne verra donc jamais le jour. Des dizaines d’auditions, réalisées sous serment, où chaque personne s’est engagée à taire chaque parole prononcée ou entendue pendant les trente années à venir… pour rien.
Une première, selon les services de l’Assemblée nationale. Et un coup dur pour le député Nouveau Centre Nicolas Perruchot, rapporteur de la commission, qui avait mis quatre ans à obtenir le feu vert de l’Assemblée pour mener cette enquête : « En 2007, on m’avait expliqué que c’était le début du quinquennat, le lancement des grandes réformes. Ce n’était pas le bon moment. En 2008, ce n’était pas non plus le moment opportun à cause de la crise. Ensuite, on m’a suggéré de lancer plutôt une enquête sur le prix de l’essence. Cette année, ce n’était toujours pas le bon moment, à l’approche de la campagne présidentielle. »
Perruchot a résisté et obtenu gain de cause, jusqu’à ce qu’il comprenne que son rapport serait enterré. C’est « hallucinant », commente celui qui s’est estimé « lâché » par L’UMP. « Maintenant j’ai compris, raconte-t-il. Il y a une règle non écrite : on ne parle pas de l’argent des syndicats à l’Assemblée nationale. C’est un sujet tabou. »
La version officielle, livrée par le député UMP Richard Mallié, président de la commission d’enquête, n’a fait qu’alimenter le soupçon : « La législature se termine fin février, nous n’aurions pas eu le temps d’engager des discussions sereines avec les syndicats sur les propositions du rapport. »
Mais la consigne est arrivée trop tard. L’un des membres de la commission avait déjà transmis des éléments du rapport au Figaro Magazine, publiés dans son édition du 3 décembre. Personne ne savait alors que le rapport serait bloqué : les auteurs de l’article parlent d’ailleurs de la démonstration choc que font les députés « dans un rapport rendu public cette semaine ».
Mais que fallait-il dissimuler à tout prix ? L’incroyable richesse des syndicats français, pour commencer. Alors qu’ils ne comptent que 8 % d’adhérents chez les salariés (la France est l’un des pays européens où le pourcentage de syndiqués est le plus faible), ils reçoivent près de 4 milliards de la collectivité. Les cotisations des adhérents représentent une part ridicule de l’argent des syndicats : 3 à 4 % de leur budget. Plus de 90 % de leurs fonds proviennent des employeurs (État, entreprises), et des « fromages » qui leur ont été offerts.
C’est le prix de la paix sociale. En clair, on arrose les syndicats en espérant en contrepartie leur reconnaissance. lors des conflits sociaux. Car si les syndicats ont le pouvoir de déclencher les grèves, ce sont également eux qui savent mettre fin aux mouvements sociaux.
Le prix de la « paix sociale » est désormais connu : il atteint chaque année 4 milliards d’euros. L’addition est salée.
Le comité d’entreprise d’EDF : 500 millions et 4 000 salariés
L’argent des syndicats provient de plusieurs sources. Il y a tout d’abord les richissimes comités d’entreprise. Les cinq CE les plus riches de France sont, dans l’ordre : celui d’EDF, qui touche chaque année 1 % du montant des factures d’électricité (près de 500 millions d’euros) et compte près de 4 000 salariés ; ceux de GDF (140 millions), de la SNCF (93 millions), de France Télécom (92millions) et de la RATP (53 millions). Comités d’entreprise dont la gestion fait régulièrement l’objet de scandales (lire l’article de Gilles Gaetner page 16).
Comme très récemment à la RATP, où un rapport de la Cour des comptes a relevé de multiples dérives de gestion : aucune comptabilité digne de ce nom pour un budget de 53 millions d’euros et malgré 600 salariés à temps plein, une subvention annuelle de plus de 3 % de la masse salariale (la règle admise étant de 0,2 %), pas d’appel d’offres lors des achats, appel, systématiquement, aux mêmes prestataires, doubles paiements répétés à certains fournisseurs. La Cour a jugé ces pratiques assez graves pour transmettre le dossier à la justice. Confidence d’un parlementaire : « Ce n’est pas la première fois que le responsable d’un CE se retrouvera devant la justice. Mais qui est capable de citer un nom de dirigeant de CE inculpé après un scandale de ce type ? Il n’y en a jamais eu un seul. »
La loi du 20 août 2008 sur la représentativité syndicale, pour la première fois, a obligé les organisations syndicales à présenter leur bilan. Bilan qu’aucun gouvernement n’avait encore osé réclamer depuis la création des syndicats, en 1884 ! Certaines organisations prennent leur temps. FO n’a par exemple toujours pas communiqué un chiffre pour l’année 2010. La FNSEA est allée plus loin, décrétant qu’elle ne commencerait à publier ses comptes qu’à partir de 2012 ! Sans que personne ne les rappelle à l’ordre.
L’argent des syndicats, c’est aussi l’aide publique : 1,3 milliard d’euros, à travers la mise à disposition d’au moins 17 000 fonctionnaires (lire encadré page15), sur les 4 milliards qu’ils perçoivent chaque année. Les syndicats se partagent encore la gestion du paritarisme, c’est-à-dire des grands organismes de la Sécurité sociale, des caisses de retraite, comme la Cnav, régime de base des salariés du privé, de l’Unedic, du 1 % logement. Et bien souvent, ils n’ont aucun compte à rendre, ne tiennent pas de comptabilité. Au détour d’inspections, régulièrement, quelques affaires éclatent. Dans les années 1990, l’Agirc-Arrco (le gestionnaire des retraites du privé) s’était par exemple fait épingler pour avoir mis en place un circuit de facturation de prestations fictives, sans compter les notes de frais illimitées de ses dirigeants syndicaux, le tout aux frais des cotisants. En 2000, on découvrait encore que la Caisse de retraite interentreprises (CRI) avait investi 213 000 euros dans l’achat d’un cheval de course !
La formation professionnelle, c’est moins connu, est un autre fromage des syndicats. Les entreprises ont l’obligation de consacrer un pourcentage de leur masse salariale, pour la formation des adultes : 27 milliards, versés à un organisme spécial, l’OPCA, qui peut rétrocéder 1,5 % des sommes collectées aux syndicats. Ils se partagent ainsi une quarantaine de millions d’euros chaque année. Les spécialistes s’accordent à dire depuis longtemps que les aides à la formation bénéficient avant tout aux cadres des grandes entreprises, au détriment des PME. Ils dénoncent un système antiredistributif, sans impact avéré sur les parcours professionnels. D’après le ministère du Travail, seuls 10 % des chômeurs suivent une formation.
En juillet 2007, un rapport du sénateur Bernard Seillier concluait qu’il serait « logique de supprimer l’obligation légale pour le plan de formation », rappelle Alain Mathieu, le président de Contribuables associés, dans son dernier livre, Ces mythes qui ruinent la France. Un accord syndicats-patronat de septembre 2003 avait prévu d’examiner les moyens de supprimer cette obligation légale. Rien n’a jamais été fait. « Le pire, c’est que cette paix sociale si cher payée n’a jamais empêché les syndicats de bloquer les réformes. On ne compte plus, depuis vingt-cinq ans, les projets de loi des gouvernements approuvés par le Parlement et abandonnés à la suite de manifestations orchestrées par les syndicats », constate encore Alain Mathieu. Sans compter les réformes « édulcorées », comme celle des régimes spéciaux, en 2008. D’après la Cour des comptes, les avantages annexes obtenus par les cheminots et électriciens après la réforme de leur régime de retraite ont coûté plus cher que les gains procurés. Idem avec la réforme des retraites de 2010, qui devait corriger les inégalités entre les retraites du privé, calculées sur la moyenne des vingt-cinq meilleures années de la carrière, et celles du public, qui ne tiennent compte que des six derniers mois de salaire pour le calcul des pensions.
« Aucune question n’est taboue. Celle du calcul de la pension sur les six derniers mois de salaire dans la fonction publique se pose évidemment », déclarait François Fillon au Figaro en janvier 2010, lors du lancement de la réforme. Les syndicats avaient immédiatement réagi. Le 3 mars, Éric Woerth, alors ministre du Travail, les rassurait : « Les six mois, c’est un sujet qui fâche, donc je ne sais pas s’il faut le mettre sur la table. » « Effectivement, la réforme des retraites n’a pas remis en question les plus importants des privilèges accordés aux fonctionnaires », regrette Alain Mathieu. « Le 13 décembre, les syndicats appelaient à manifester contre le plan de rigueur du gouvernement, ironise un parlementaire. Eux, depuis 2008, n’ont pas connu la rigueur. Il est peut-être temps de se poser des questions, à l’heure où l’on taxe les sodas pour un gain de quelques dizaines de millions, alors que le financement du « dialogue social » continue de coûter chaque année 4 milliards à la collectivité. » Josée Pochat »
Valeurs Actuelles
1% c’est faux, je le sais je suis agent EDF et le CE en question est le CE de plusieurs autres entreprises comme la SOREGIE, en tout une vingtaine d’entreprise, il bénéficie à plus de 650000 personnes,
il faut savoir aussi que EDF créé après la guerre tous comme les PTT et les syndicats des eaux communaux ont permis le raccordement de pratiquement tous le territoire français, et que le prix de l’électricité en France reste l’un des moins cher d’Europe, nos aînés savent tous ça,
Pour ma part je regrette que la course au profit nous jettes les uns contre les autres
Nous sommes tous en bas de l’échelle
EDF est depuis quelques années privatisé en partie, nos moyens de travail ne sont pas à la hauteur de votre sécurité
Beaucoup d’activitées sont réalisés par des entreprises extérieur qui vous coûte plus cher, mais qui rapporte à quelques uns
Je m’arrêterai la car je peux être licencié
Ils faut savoir aussi que les gens qui font installer des panneaux photovoltaique, même s’il ne gagne pas d’argent font grimper le prix de l’électricité car EDF est obligé de racheter le courant produits à près de 3 fois le prix que vous le payé et ce 3 fois, se sont tous les abonnés qui payent, en gros vous payez les panneaux des autres qui eux ne gagne rien si ce n’est que de faire marcher le business, on pourrait appeler ça de la manipulation
Allez bonne nuit à tous