Joseph Goebbels : « En tant que socialistes, nous sommes opposés aux juifs, car nous voyons dans les Hébreux l’incarnation du capitalisme, et le mauvais usage des biens de la nation. »
Et ceci :
« Nous sommes socialistes, nous sommes ennemis du système économique capitaliste d’aujourd’hui qui exploite les économiquement faibles, avec ses salaires injustes, son évaluation indécente de la valeur d’un être humain en fonction de sa richesse et de ce qu’il possède au lieu de ses responsabilités et de ses performances, et nous sommes tous déterminés à détruire à tout prix ce système”. – Adolf Hitler, le 1er mai 1927 (disputé : cette citation serait d’un autre influent politicien Nazi, Gregor Strasser)
Dans son journal intime, dans les années 20, Goebbels écrit : « si je devais choisir entre le bolchévisme et le capitalisme, en analyse finale, je me sentirais mieux de choisir le bolchévisme que de vivre éternellement esclave dans un régime capitaliste.« (1)
« La bourgeoisie des affaires ne connait rien d’autre que le profit. Pour eux, la ‘mère patrie’ n’est qu’un mot vide. » Hitler (2).
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Les Congés payés, inventés par Hitler, copiés par le Front populaire.
Dans ses mémoires (3), le géneral Léon Degrelle, ancien responsable du contingent belge de la Waffen-SS, explique comment Adolf Hitler a reçu le soutien enthousiaste de la classe ouvrière allemande :
« Une des premières réformes du code du travail dont bénéficièrent les travailleurs allemands fut l’établissement des congés payés. Le parti de gauche français Front populaire, en 1936, a bruyamment revendiqué avoir inventé le concept des congés payés, et chichement, seulement pour une semaine par an. Mais Adolf Hitler a initié l’idée, en deux ou trois fois plus généreuse, dès le premier mois où il est arrivé au pouvoir en 1933″.
Hitler introduit la semaine de 40 heures, copié ensuite dans toute l’Europe, deux heures de pause dans la journée de travail, le paiement des heures supplémentaires à un taux majoré, l’obligation d’un préavis d’un mois pour licencier un salarié, avec pour ce dernier un délai de 2 mois pour contester un licenciement abusif, un représentant du personnel pour les entreprises de plus de 20 salariés.
Le 30 avril de chaque année, la veille de la « Grande fête nationale du travail », les membres du Comité d’entreprise étaient remplacés lors de nouvelles élections.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Alain Leger pour Dreuz.info.
(1) Anthony, The Devil’s Disciples: Hitler’s Inner Circle, 1st American ed. New York, New York: W. W. Norton & Company, 2004. p. 142.
(2) Overy, R.J., The Dictators: Hitler’s Germany and Stalin’s Russia, W. W. Norton & Company, Inc., 2004. p. 230.
(3) Comment Hitler arriva au pouvoir et lança une révolution sociale. ihr.org
C’est du socialisme pur jus, mis en place par le parti du National Socialisme en Allemagne, repris par l’Internationale socialiste française.
Pas seulement les internationalistes, les nationalistes aussi reprennent ces idées. « La banque, la finance, les grandes entreprises… » Ils tiennent tous le même discours et accusent tous les mêmes personnes. A aucun moment ils se demandent si ce n’est pas leur fameux « modèle » social français qui plombe la France. L’idée de « partage » et de « redistribution » se retrouve même dans les discours de l’UMP.
Quelle prose extraordinaire !!!
On dirait du Marine le Pen… ou du Philippot !!!!
Pourquoi tant de votes négatifs ? La politique du FN est belle et bien Nationale et Socialiste. Oui ces propos sont tout à fait ceux de Philippot.
Pardon, mais il me semble plutot lire là un résumé des discours de Mélanchon ou Besancenot
Oui ces propos pourraient être ceux de Mélenchon aussi, ce sont les mêmes. Même Léa Salame a remarqué qu’ils tenaient un discours identique. Je n’arrive pas à croire que les électeurs frontistes ne s’en rendent pas compte. Le FN, surtout Philippot et Marine, sont de parfaits socialistes.
MLP et Phillipot soutiennent les grèves , ça ne gène pas non plus leurs électeurs !
Oui ça aussi je ne comprends pas que les électeurs frontistes l’ignorent.
S.Ravier demande le retrait de la loi travail !
Loi travail qu’ils jugent « ultra-libérale ». C’est à tomber par terre.
SI Hitler avait dit que le ciel était bleu, vous auriez aussi dit que c’est une aberration ?
Cette méthode vous déshonore Dreuz, vous valez mieux que ça. Il est idiot de penser qu’Hitler est le mal absolu et que tout ce qu’il a fait et fait est donc ou mauvais ou idiot. Hitler était attaché à la nation, comme vous (et moi), on va ne pas la discréditer pour cette raison. C’est d’ailleurs ce qu’à fait l’idéologie dominante depuis la défaite des fascismes.
De la dignité, de l’honnêteté, combattons ce que l’on hait avec dignité.
UnRoumain, Honte à vous.
J’aurais aimé une réponse au lieu d’un anathème.
En vous paraphrasant: Il est idiot de penser qu’Hitler n’est pas le mal absolu.
Le but de cet article n’est pas de démontrer que Hitler avait raison ou tort, mais de montrer la proximité du NSDAP avec le socialisme.
D’ailleurs la vraie extrême-droite, effacée des mémoires par les grands réécriveurs pour y caser le NSDAP, était le DNVP, les nationaux-allemands, présidé à l’époque par Alfred Hugenberg.
Les nazis sont arrivés au pouvoir associés à ce DNVP, suite à des manoeuvres de von Papen, Hitler chancelier et seulement 2 ministres nazis.
Hitler a ensuite persuadé le président Hindenburg que de nouvelles élections devaient être organisées, à la suite desquelles le NSDAP occupe tous les ministères et évince le DNVP.
Le NSDAP était socialiste et anti-capitaliste.
« Les gens oublient souvent que les nazis étaient des socialistes. En Union soviétique c’étaient des internationaux-socialistes, en Allemagne c’étaient des nationaux-socialistes. Ce sont deux branches du socialisme. C’est la même chose, avec seulement une légère différence d’interprétation. »
Vladimir Boukovski
Je suis tout à fait d’accord avec vous Paulot sur ce point. Je me déçois juste de l’article, que je juge sans grand intérêt et pas à la hauteur d’autres articles comme ceux de Millière. Je conchie le socialisme comme probablement tous les lecteurs de Dreuz, mais je n’aime pas la méthode employée par l’article, car c’est une méthode qui est utilisée aujourd’hui pour décrédibiliser et « diaboliser » tout ce qui a trait à l’identité et à la nation, que je chéris.
Pas tout à fait :
En Union soviétique c’étaient des socialistes-internationaux, en Allemagne c’étaient des socialistes-nationaux :
https://www.youtube.com/watch?v=tS55AlUclKw
Socialisme, nationalisme, et délire racial !
http://www.courrierinternational.com/article/2009/05/06/histoires-de-vaches-et-de-monstres-nazis
En fait, Hitler aimait les chiens et la musique de Mozart, et il n’y a aucun mal à aimer les chiens et la musique de Mozart (bien au contraire).
Une fois ce point établi, il est trompeur de dire qu’Hitler était attaché à la nation. Hitler était surtout attaché à la destruction des autres nations dont il estimait, soit qu’elles menaçaient l’Allemagne, soit que leur conquête et l’anéantissement de leur peuple fût nécessaire à la survie de cette dernière.
C’est tout de même très différent du simple et légitime patriotisme, de la légitime défense de la nation et de l’identité nationale.
A l’inverse, de même que je ne sais plus quel écrivain célèbre, que je me garderai bien d’approuver, a affirmé « qu’Hitler avait déshonoré l’antisémitisme », Hitler a déshonoré le nationalisme, en tant que défense de la nation et non volonté de destruction des autres nations.
Et certes, il est grand temps de retrouver le discernement des vraies menaces, et de se défendre contre l’hitlérisme contemporain, et non contre un hitlérisme fantasmé et désormais disparu.
Hitler et ses amis racontent des énormités. Il vous dit que le soleil tourne autour d’une terre plate et vous gobez tout. Un socialiste ne défend jamais sa nation, le socialisme vise à détruire les nations.
UnRoumain, je m’adresse à vous. Dreuz informe ceux qui veulent bien aller sur le site que le nazisme est une forme de socialisme (issu de la gauche) et non de l’extrème-droite comme prétendument affirmé dans beaucoup de milieux bobos d’après guerre. Le nazisme = le socialisme national Le communisme = l’international socialisme. Héritiers actuels = Front de gauche, NPA, Parti comuniste
Il est certain que pour un smicard d’aujourd’hui, une grande partie de ce qui est dit dans cet article fait mouche et peut séduire. il est cependant dommage de devoir attendre un dictateur pour qu’un salarié ait la sécurité de l’emploi, des congés payés ( vu les salaires misérables versés aux travailleurs); rien à dire non plus sur le fait que l’on ne respecte que les gens riches et non pas les gens intègres.
Je préfère également les heurs sups. payées que l’esclavage ou le chantage à l’emploi. On peut également préférer la richesse générée par la production plutôt que par le boursicotage et le placement immobilier ( surtout quand on a du mal a se loger), Il n’y a vraiment que sur la vision qu’hitler a des juifs et de ses conséquences ( je n’oublie pas non plus les autres minorités ayant été persécutées pour d’autres motifs plus fallacieux les uns que les autres).
J’ai vu du bon socialisme en Israël, justement, dans les kibboutz; et je n’ai pas encore compris pourquoi ce système n’a pas fonctionné comme il aurait dû. Bosser pour ceux qui ne bossent pas n’est pas ma tasse de thé, redistribuer l’argent ou les biens de ceux qui bossent à ceux qui ne foutent rien est loin d’être une solution ( socialisme de nos jours) mais bosser pour pouvoir bouffer et se loger sommairement ne me plait pas non plus ( capitalisme d’aujourd’hui )…….nous sommes à la croisée des chemins et il ne va pas falloir se louper! Après le communisme et le nazisme et ses millions de morts ( qui ont fait naitre le capitalisme), gare à l’islamisme.
nrv2000: Le capitalisme n’est pas né du nazisme! Que racontez-vous? Nos sociétés libérales vous laissent la possibilité de créer dans celles-ci un espace socialiste non autoritaire, un kibboutz. A ceux qui le désirent de le créer! L’inverse n’est pas vrai: un kibboutz n’aurait pas la possibilité d’exister dans une économie planifiée par la tête de l’Etat.
@jam butty
mon opinion (qui n’engage que moi ) est que le capitalisme nait après la WW2 (et non pas du nazisme.. me serai-je mal exprimé ?), la reconstruction d’un monde dévasté ayant généré une énorme manne financière.
Par contre je suis d’accord avec vous sur votre notion d’espace socialiste non totalitaire .
OK nrv2000, lu! Bien à vous.
Le socialisme ne marche nulle part. Le kibbutz n’a pas marchéparce que le socialisme ne marche pas. Il est contre nature, contraire à la nature de l’homme si vous voulez, car les inégalités sont de l’essence même de la nature des choses, et aucune loi égalitaire n’y changera rien.
L’Allemagne a vaincu la France et la Grande Bretagne en 1940 alors qu’elle était au plus mal juste 10 ans auparavant ! C’est bien la preuve que le modèle économique du national-socialisme fonctionne ! S’il est possible d’appliquer ce modèle sans en reprendre ni l’antisémitisme, ni le totalitarisme, ni la volonté hégémonique et expansionniste, peut-on objectivement être contre ?
En fait, non, il ne fonctionne pas. Je mets entièrement de côté, pour un moment, les étiquettes (socialisme, nazisme…) et l’antisémitisme. Si on ne s’intéresse qu’au fonctionnement économique du Reich, on s’aperçoit qu’il n’a tenu que grâce à l’autoritarisme d’Hitler (si vous, chefs d’entreprise, ne faites pas ce que je veux, alors on fera comme en URSS et on nationalisera vos sociétés) et grâce au pillage des peuples conquis (qui passait par leur extermination par la faim).
Il est clair qu’un tel système ne peut tenir que fort peu de temps, et au prix d’une fuite en avant qui le condamne à plus ou moins brève échéance.
Toutes proportions gardées, c’est la même chose pour la Russie actuelle, qui compense une économie désastreuse et un isolationnisme prononcé par un militarisme agressif à l’extérieur. Et par le pillage : les convois « humanitaires » envoyés par Poutine en Ukraine occupée sont repartis en Russie en emportant des usines démontées. Exactement à la manière d’Hitler…
Je vous conseille « The Wages of Destruction » d’Adam Tooze, qui est une histoire économique du nazisme (existe en traduction française) : c’est remarquable.
Au passage, à plusieurs reprises, en lisant ce livre, on jurerait qu’il parle de l’économie française…
Merci pour votre réponse qui a le mérite d’être claire et objective. Je lirais l’ouvrage que vous m’avez conseillé si le temps me le permet. Cordialement.
C’est les Belles Lettres qui l’ont publié en français (le titre m’échappe, mais ils n’ont qu’un seul livre d’Adam Tooze !). Il est moins cher en version originale si vous lisez l’anglais…
Staline a aussi affamé l’Ukraine
Mao aussi, les dirigeants de la Corée du Nord aussi !
L’argument de la fuite en avant ne tient pas, ou il alors il est pertinent mais il faut dire que le capitalisme est lui aussi une perpétuelle fuite en avant. Le modèle économique national socialiste n’est pas plus condamné que notre modèle actuel qui est une fuite incessante à l’endettement et qui n’est pas plus viable en théorie que le modèle d’Hitler.
Les faits démentent votre affirmation. Le nazisme a duré douze ans, soit un clin d’oeil dans l’histoire de l’humanité. Le capitalisme est apparu au XIVe siècle, et même avant selon certains historiens.
La fuite vers l’endettement que vous dénoncez n’est effectivement pas viable, mais c’est un épisode tout à fait conjoncturel, qui n’a que quelques années et qui ne durera pas. L’endettement non maîtrisé n’est nullement consubstantiel ni nécessaire au capitalisme.
Robert je n’ai pas lu ce livre dont vous parlez par contre j’ai lu les trois livres de P.F De Villemarest exploits et bavures de la CIA ou il démontre qu’Hitler a bien été aidé par les américains et que le matériel passait par la Russie .Quant au socialisme le livre de Éric Zemmour sert de bréviaire il donne les noms de ceux qui on aidé les allemands en France c’est à dire les collabos
J’ai un gros doute sur les affirmations de cet auteur, ou alors il faut s’entendre sur ce que signifie aider : ne pas déclarer la guerre immédiatement ? tenter de contenir avant d’en venir au conflit ouvert ?
Mais admettons que vous ayez raison, et que « la CIA ait envoyé du matériel à Hitler ». Où voulez-vous en venir ? Si le nazisme s’est effondré alors même que les Etats-Unis lui auraient apporté une aide économique, alors à plus forte raison, cela signifie que le modèle économique nazi n’était pas viable !
Concernant Zemmour, ce n’est pas un historien. C’est un journaliste et un pamphlétaire. Il dit beaucoup de choses justes, et aussi pas mal de choses fausses.
Si vous voulez approfondir l’histoire de la Seconde guerre mondiale, il faut lire des historiens spécialisés et non Zemmour.
Eliran: Incroyable. Vous êtes prêt à vous soumettre au premier dictateur venu. Est-on si mal économiquement dans nos sociétés socio-libérales pour en arriver là? Elles ne vous offrent pas le fuhrer à adorer, je pense que c’est là ce qui manque aux gens en perte de valeurs spirituelles.
Jam Butty, je pense que vous, comme d’autre, avez mal lu mon post. En aucun cas je ne cherche à faire l’apologie du nazisme, système totalitaire et criminel à rejeter et à combattre ! Cela ne mempechz pas de me poser la question sur l’aspect strictement économique, ce qu’à très bien compris Mr Robert Marchenoir, alors pourquoi pas vous ?
Je ne sais pas si j’ai mal lu votre post, ou si vous l’avez mal écrit… Quand vous écrivez: « le modèle économique du national-socialisme fonctionne », j’entends que vous soutenez une économie planifiée dans une dictature. C’est tout. Bien à vous.
Rhôôôlala, mais on dirait un discours de la cégété!
Ce qui exlique la panique de la gauche envers la démocratisation d’Internet.et ldes sites de reinformation
Le but de cet article étant de remettre en place les insultes de nazillons de Gauche et de leur merdia, toujours prêt à utiliser le mots nazisme ou fascisme (issu de communisme), quand ils n’ont plus rien à dire contre la droite. Le portrait des Socialistes est fait : Hitler puis Les dictateurs Russes, drôle de cheminement.
C’est avant tout le délire déflationniste des gouvernements conservateurs des années 30 qui ont amené Hitler au pouvoir.
L’Allemagne avait souffert de l’ineptie économique qui a fait d’un krach en 1929 une catastrophe économique mondiale par une politique suicidaire de déflation compétitive (la déflation c’est la bombe atomique de l’économie, çà tue tout à coup sûr).
Suite à 2008, on est dans le même scénario aujourd’hui amorti par la FED qui a fait le QE, par les protections sociales en France mais ce n’est pas vraiment le cas dans les tous les pays miniers.
Au Brésil, en Afrique du Sud et même en Russie la situation est assez mauvaise (et pas qu’a cause de la guerre avec l’Ukraine).
Le vrai problème est quand le capitalisme est géré par des crétins en économie ou au service de quelques milliardaires.
En dépit de bienfaits comme les congés payés, la semaine de 40h, les préavis, oserais-je dire qu’Adolf ne remonte pas dans mon estime pour autant ?
« bienfaits comme les congés payés, la semaine de 40h, les préavis » ? J’ai du rater une étape, car je ne vois là que des effets catastrophiques et pas le moindre bienfait.
Ces choses que vous citez ont contribué à vos 5 millions de chômeurs, il est désolant que ne le voyez pas tout comme il est désolant que vous ne compreniez pas que les congés « payés » c’est vous qui les payez, pas votre employeur, la semaine de 40heures c’est pour les fainéants et les bras cassés pas pour les gens courageux, et le préavis n’est confortable que parce qu’on ne retrouve pas de travail à cause des lois qui tuent l’emploi.
Je pense qu’il y avait mieux à faire comme article dénonçant la parenté entre socialo-communisme et nazisme.
Des angles d’attaque comme la volonté affichée de ces idéologies de remodeler, rééduquer l’humanité et de créer un « homme nouveau », avec l’omniprésence et l’omnipotence de l’Etat mobilisé pour parvenir à ce but monstrueux, le culte de la personnalité, etc. existent.
L’interventionnisme de ce genre d’Etats totalitaires dans le domaine économique n’est – hélas – qu’un des aspects de la question.
Par ailleurs, tous les dictateurs de l’Histoire ont toujours dû composer un minimum avec le peuple, sans quoi ils auraient été rapidement balayés ; la célèbre maxime romaine : « du pain et des jeux » en témoigne.
« Je pense qu’il y avait mieux à faire comme article dénonçant la parenté entre socialo-communisme et nazisme. » : n’hésitez pas à nous soumettre un article.
J’ai donné des pistes, issues d’articles que j’ai lus sur la question.
Je ne manquerai pas de vous transmettre les références d’articles ou d’ouvrages détaillant ces aspects, quand j’en aurai sous la main.
Que ce soit ceux d’hier, d’y a pas longtemps ou ceux d’aujourd’hui, sous divers dénomination, ils sont tous les mêmes, c’est à celui qui exploitera les plus faibles et on le retrouve dans les plus petites structures, comme la famille. Les gouvernants sont des pantins, tout comme les dictateurs d’hier et d’aujourd’hui, les pantins des banquiers, ex-URSS compris et les soi-disant démocraties d’aujourd’hui, nous sommes tous des esclaves des banquiers
C’est avant tout le délire déflationniste des gouvernements conservateurs des années 30 qui ont amené Hitler au pouvoir.
Quand allez-vous déclarer que l’Allemagne nazie n’a pas pu renaître de ses cendres aussi vite, malgré la volonté de fer de Hitler, une dette de guerre sur laquelle la France, notamment, s’est montrée intransigeante et psycho-rigide, dirait-on aujourd’hui, une crise économique inimaginable avec une inflation inouïe où un simple timbre de 1 DM pouvait dans l’urgence recevoir un tampon rapide pour indiquer qu’il valait 1.000, 10.000, 1.000.000 DM les jours suivants ? Qu’il a bien fallu quelqu’un pour leur donner un énorme coup de pouce, des gens insoupçonnables qui avait même des sympathies nazies antisémites (Henry Ford) ? Que Rolls-Royce fabriquait des moteurs d’avion pour la Luftwaffe en même temps que pour les avions alliés ? Que des usines de General Motors ont accepté de recevoir des noms allemands pour ne pas se voir confisquer par « nationalisation socialiste » par Hitler ? Que les Américains ont peut-être contribué à la montée du Nazisme en aidant Hitler financièrement pour commencer « déjà » à détruire l’Europe ? Que dire de la liaison entre Wallis Simpson et l’éphémère roi d’Angleterre, Edouard VIII, qui subitement se met à avoir des sympathies pour les idées nazies ? Que dire du bouquet de roses qu’elle recevait régulièrement de Ribentropp, alors ambassadeur du IIIème Reich à Londres en espérant amadouer le Royaume-Uni et le faire adhérer à ses thèses ? Que dire de General Electric qui fournit des câbles de transmission d’information aux sous-marins allemands alors qu’un autre constructeur américain fournit les munitions à l’armée de son pays -oh, les patriotes ! – pour détruire les mêmes sous-marins ? Que le gouvernement américain a remboursé une assez grande partie des usines américaines installées sous des noms allemands sur le sol allemand ? Qu’il a volontairement fait échapper certains Nazis pourtant « méritants » aux procès de Nuremberg pour mieux les recycler dans la Neues Europa, une conception sans frontières d’une nouvelle Europe, débarrassée des ringardises des vieilles traditions culturelles nées de la création des frontières et de la civilisation judéo-chrétienne qui a pourtant eu un rôle beaucoup plus pacifique et civilisateur, malgré son détournement au fond fort mineur par des pâles imitateurs d’Hitler tels que Mussolini et les Oustachis croates ? Hitler qui considérait du reste le christianisme et en particulier le catholicisme, comme une religion molle, fade, sans virilité et sans éclat ? Qui encensait le paganisme nordique tout comme l’Islam dont il s’est bien servi ?
Des Américains qui ont détourné Hallstein, Nazi pourtant redoutable et promis à Nuremberg, pour le faire devenir Ministre d’Adenauer pour torpiller et affaiblir dès ses débuts ce qui allait devenir ce triste Moignon Européen, flanqué de Jean Monnet et le même Adenauer qui avaient me semble-t-il émargé à la CIA ?
N’y a-t-il pas des similitudes avec la politique américaine actuelle qui est devenu un des pays les plus rapaces et cupides au monde, à qui il faut le monde entier et qui agite tantôt le drapeau de la démocratie ou la menace dictatoriale pure et dure selon les intérêts du moment ? N’apparaissent-ils pas comme des va-t-en-guerre plutôt que comme des libéraux économiques et intellectuels ?
Je suis un libéral convaincu et je ne crois le libéralisme possible aux Etats-Unis que lorsque qu’il les arrange et uniquement eux. Je n’appelle pas ça le libéralisme. Loin de moi l’idée abjecte de tout socialisme et de toute idéologie aplatissante et abêtissante dérivée de celui-ci mais force est de constater pourtant qu’il y a maintenant depuis longtemps dans les élites américaines une fascination très malsaine pour cette espèce de « sameness », sur le modèle américain bien sûr, tout le monde en train de consommer du Coca, des hamburgers et des idées « progressistes » prédigérées. Oui, heureusement qu’Internet est là et qu’en croisant les informations, on finit par avoir une idée de qui ils sont exactement. En ce moment, voyez-vous, j’ai beaucoup de sympathie pour les Polonais, qui voient le défilé de l’Otan sur leur territoire avec un contingent allemand qui leur met dans la bouche un sale goût de déjà-vu, tout en craignant le voisin russe qui leur met les nerfs à fleur de peau. Il faudra bien reconnaître par un révisionnisme sain, qu’à côté des 6 millions de Juifs massacrés en Pologne, il y a eu aussi presque la moitié de ce chiffre de Polonais non juifs massacré dans autant d’horreur car considéré juste un cran à peine moins nuisible que les Juifs eux-mêmes. Ce discours je ne pensais pas l’avoir avant que certaines personnes ne m’opposent des opinions qui, au bout du compte, me semblaient tenir la route. Depuis j’ai cherché et j’ai trouvé que les choses étaient finalement beaucoup plus complexes que ces dualismes simplistes pour chiens de Pavlov. Leur découverte est pour le moins perturbante. Et si l’Amérique aussi, était aussi un peu beaucoup socialiste, et pas simplement depuis quelques présidents tendance démocrate, et pas simplement Obama ? Le socialisme c’est la même tristesse pour tous, sauf pour quelques uns qui seront plus égaux que… enfin je vous laisse le soin de finir la célèbre phrase d’Orwell, dont la vision ressemble étrangement et de très près à ce que nous sommes en train de vivre à l’échelon mondial : America vs Eurasia (Russia + China).