Publié par Jean-Patrick Grumberg le 2 juin 2016
Glamour : Femme de l'année
Glamour : Caitlyn Jenner, « femme » de l’année

Seulement 28% de jeunes hommes de 30 à 35 ans osent se déclarer sans complexe « totalement hommes » (contre 65% pour les hommes de plus de 65 ans) parce que se sentir homme est devenu politiquement incorrect.

Les « mâles dominants » sont victimes du syndrome Caitlyn Jenner, élu « femme » de l’année avec pénis, par le magazine Glamour.

Les premières victimes de la théorie du genre n’osent plus trop appartenir à la gente masculine : puisque la machine infernale et machiavélique qui lave les cerveaux et les zizis a donné à croire qu’il n’existe pas de différence entre les femmes et les hommes, ils n’osent pas affronter le politiquement correct.

Aucune valeur n’a été autant attaquée par la gauche que la famille et le genre.

Ainsi, selon une étude YouGov la masculinité disparaît doucement mais surement chez les jeunes générations :

Chez les moins de 30 ans, 13% se voient à mi chemin entre un homme et une femme !

Des américains devaient dire comment ils se voient, sur une échelle de 0 à 6, où 0 est « complètement masculin » et 6 « complètement féminin ».

  • 65% des hommes de plus de 65 ans ont déclaré être « complètement masculins »,
  • Seulement 28% des hommes âgés de 30 à 44 ans, et 30% des hommes de 18 à 29 ans déclarent la même chose.
  • Chez les moins de 30 ans, 13% se voient à mi chemin entre un homme et une femme !
  • 12% des moins de 30 ans se voient légèrement féminins.
  • Seulement 4% des plus de 65 ans disent qu’ils se voient féminins.

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Les baby boomers ont été élevés avec une mère au foyer, mais très vite, dans les années 70, ils ont été exposés à la révolution féministe des années 70, qu’ils ont intelligemment accepté parce qu’elle prenait ses racines dans une cause juste et facile à présenter.

2015 a vu la théorie du genre prendre son essor, poussée par une frange microscopique (et frustrée) de l’extrême gauche LGBT, et sa dimension contre nature, artificielle, sortie de cer-veaux dérangés a tout de même commencé à faire douter les hommes de leur bon droit à être un homme.

De récentes études sont consacrées à un phénomène relativement nouveau : celui de jeunes femmes qui appartiennent à des catégories professionnelles supérieures préfèrent se mettre en couple avec des hommes mûrs.

Après la vague des Bimbo super diplômées des années 90, la vague « wealthy woman seek (not Sugar) Daddy », et maintenant les hommes qui ne se sentent plus très hommes, les LGBT apprendront bien vite que chasser le naturel, il revient au galop.

Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-Patrick Grumberg pour Dreuz.info.

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En 2016, le film Zardoz serait très attaqué : des femmes sautent sur Sean Connery lorsqu’elles découvrent qu’il a des poils, contrairement aux « hommes » de leur planète

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